Discussion:Union des juifs pour la résistance et l'entraide

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Il est très surprenant de ne voir aucune critique du communisme de la part de cette organisation:

  • L’antisémitisme officiel sous Staline,
  • Les pogromes en Pologne.
  • Les violations systématiques des Droits de l’Homme par les PC
  • Les guerres impériales soviétiques, particulièrement celle d’Afghanistan.

Le 22 février 2012, condamnant l’annulation du colloque anti-israélien à Paris VIII, elle publie un communiqué intitulé « Non à l’entrave à la liberté d’expression et de débat à l’Université » qui «trouve inadmissible « que l’Université française ne puisse, contrairement aux traditions acquises, être un lieu où la liberté de débat et d’expression soit totale ». Elle apporte donc sa signature à côté de tous ceux qui demandent les interdictions, la fin des libertés et le boycott d’Israël, de ses institutions, de ses chercheurs et autres intellectuels.

Elle signe également à côté de Noam Chomsky - qui soutient la totale liberté de parole pour le négationiste Robert Faurisson Vidal-Naquet: De Faurisson et de Chomsky– et veut réactualiser le débat sur la réalité de la Shoah. Cette politique ne sous-entendait-elle pas qu'Israël est bien l'adversaire obsessionnel de cette organisation dans ce monde-ci.

--Ben-Meir (d) 23 février 2012 à 12:36 (CET)[répondre]

Salut Ben-Meir
Voici un bon gros POV sans utilité !
Faut-il rappeler que cette page sert à améliorer l'article et non de tribune politique anticommuniste ou sioniste.
Si des sources universitaires analysent les rapports de l'UJRE avec le monde communiste ou avec la poltique de l'Etat d 'Israël, on peut continuer cette discussion, mais sinon, c'est totalement inutile.
Cordialement,
--D.N. (d) 23 février 2012 à 13
57 (CET)
Bonsoir Dominique
Je ne connaissais pas cette organisation juives de la résistance, d’où ma surprise !
Pourquoi ces communistes avaient-ils besoin de se regrouper en tant que Juifs ?
Quelle est la signification du mot «juif», qui n’est certainement pas une identification religieuse, ni nationale puisque le «J» est en petit caractère (les communistes se sont opposés tant aux sionistes qu’aux bundistes).
La survivance d’une telle organisation ne serait-elle que nostalgie… ou alors bien plus au regard des évènements reporté?
Si l’on veut que ce texte soit intelligible il faut impérativement le développer afin de montrer ce groupe:
1.Dans son histoire
2.Dans sa survivance comme organisation « politique »
En se rangeant aux côtés des organisateurs de ce «colloque universitaire» : "Des nouvelles approches sociologiques, historiques et juridiques à l'appel au boycott international : Israël, un Etat d'apartheid ?" qui n’a rien ni d’un colloque, ni d’universitaire comme le rappelait le Président de Paris VIII Pascal Binczak.
En se rangeant aux côtés de Stéphane Hessel, qui affirmait le 21 janvier dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung: «La politique d’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec la politique d’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une politique relativement inoffensive...», ou encore aux côtés de l’activiste radical pro-palestinien Jean Bricmont qui veut réhabiliter le droit de parole des «négationistes» cette organisation devient une véritable curiosité, au risque d’y voir une même une certaine complicité avec les idéologies contre lesquelles elle a lutté autrefois et ce, au nom d'une haine extrême: Israël.
Un développement s'impose
Merci
--Ben-Meir (d) 25 février 2012 à 22:54 (CET)[répondre]