Discussion:Végétarisme hindou

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Justifications des révocations successives[modifier le code]

J'ai retiré la citation: L'ahimsâ est fondé sur une injonction védique : « माहिंस्यात सर्व्-भुतानि – mâhimsyât sarva-bhoutâni – qu'on ne nuise à aucun être vivant. » Celle-ci avait été ajoutée par un IP maintenant exclus. S'il s'agit effectivement d'une injonction védique, il faudrait pouvoir trouver où (certains abusent du terme 'védique'9. Le fait que celle-ci soit écrite de manière erronée मा हिंस्यात्सर्वा भूतानिet mā hiṃsyāt sarvā bhūtāni seraient correct. Une chose est certaine: les indiens de l'époque védique n'étaient pas végétariens.--Zhuangzi (discuter) 14 novembre 2014 à 21:44 (CET) Il ne fait aucun doute non plus qu’il y avait des sacrifices d’animaux, voire d’êtres humains, puisque toute la religion et les textes védiques sont centrés autours de ceux-ci. La citation en question est introuvable dans les textes védiques, mais je l’ai effectivement trouvée dans un commentaire à la Samkhya Karika 2, dans laquelle le Véda est critiqué pour son impureté, à cause, précisément, des sacrifices, qui n’étaient plus au goût du jour. La question posée dans ce commentaire, la Tattva-kaumudi (https://archive.org/stream/anenglishtransla00vaacuoft#page/6/mode/2up, paragraphe 11) à propos de l’opposition entre cette injonction, traduite ici par « on ne doit pas tuer d’animaux » et celle affirmant « Tuez l’animal pour l’agnishtoma ». Le commentateur conclue que le sacrifice animal apporte bien du mauvais karma, mais qu’il est nécessaire au rituel védique. Ce dernier mène au ciel, mais pas à la délivrance, but de l’hindouisme qui était inconnu à l’époque védique.--Zhuangzi (discuter) 15 novembre 2014 à 18:06 (CET)[répondre]

Ces blanchiments sont injustifiés (d'autant que les références sont là). Il est totalement faux de dire qu'à l' époque « védique » (jargon « indianiste » occidental qui ne représente rien pour les premiers concernés : les Hindous), le Moksha était inconnu pour l'« hindouisme » (hindouisme de quelle époque, alors ?). Les Upanishad le prouvent. Je vous invite d'ailleurs à lire à ce titre quelques ouvrages d'Ananda Coomaraswamy, qui, dans son Hindouisme et bouddhisme, dénonce bien toutes les erreurs et interprétations occidentales sur la philosophique védique et ses valeurs rituelles, interprétations qui n'ont aucune valeur aux yeux de ceux qui connaissent leurs Védas par cœur et ne vivent que pour eux : les brahmanes orthodoxes. Ici, le titre de l'article est sur le végétarisme hindou (quelles sont les références védiques du végétarisme préhistorique en Inde), non sur le « védisme » (et tous ces aspects ritualistes, sanglants ou non, prouvés ou imaginés : dans son Hindouisme, anthropologie d'une civilisation, Madeleine Biardeau, soutenant autrefois la thèse d'un védisme sanguinaire, a fini par admettre, dans les dernières éditions de son ouvrage, qu'il s'agissait d'une mésinterprétation d'indianistes obsédés par les invasions aryennes et la culture iranienne antique, et qu'en réalité le refus des rituels sanglants par le Bouddha et ses valeurs furent en fait très bien vus par les brahmanes, qui étaient déjà pour la plupart tous végétariens ; la pratique des rituels sanglants était une pratique de certains roitelets indiens : n'oublions pas que les Tirthankara du jaïnisme sont tous des roitelets qui abandonnent, comme Neminath, leur statut de prince pour celui d'ascète itinérant, sadhu, par refus de participer à des rituels sanglants ; mais cela ne veut pas dire que le rituel sanglant est un fait généralisé sur l'ensemble de la population indienne de l'époque...). Soit dit en passant, le sanskrit peut s'écrire en faisant des phrases avec tous les mots réunis en un seul corps (et il n'y a pas de faute d'orthographes possibles). Bien à vous.--78.244.170.213 (discuter) 4 janvier 2015 à 21:12 (CET)[répondre]
Inutile de raconter n'importe quoi. माहिंस्यात सर्व्-भुतानि – mâhimsyât sarva-bhoutâni était bel et bien écrit n'importe comment. Donnez la ref pour Biardeau. Je sais que quelques fondamentalistes ont nié l'existence des sacrifices alors que les védas parlent précisément des sacrifices. Si vous trouvez des sources sérieuses à ce propos, rien ne vous empêche de les citer.--Zhuangzi (discuter) 4 janvier 2015 à 22:07 (CET)[répondre]
Les sources, elles sont nombreuses, en voici une (mais vous la supprimez sans cesse...) : The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana, de Swami Satya Prakash Saraswati, éditions Govindram Hasanand, Delhi ; pour Biardeau, j'ai donné la référence : c'est son livre Hindouisme, Anthropologie d'une civilisation (sa postface) ; je vais d'ailleurs rajouté cette référence. --78.244.170.213 (discuter) 4 janvier 2015 à 22:12 (CET)[répondre]
Cher Zhuangzi : je ne comprends pas vos blanchiments répétés et entiers : le végétarisme hindou (c'est-à-dire concernant les non-jaïns indiens de l'époque antique) existait bel et bien à l'époque védique (protohistoire indienne) ; et il n'y a aucune raison encyclopédique de refuser des maximes védiques qui annoncent ce point-de-vue. Si vous avez des arguments autres et référencés – réfutant le fait que les Védas parlent aussi d'une posture végétarienne, rajoutez-les (pas besoin d'ailleurs de blanchir les autres références affirmant l'inverse...) : il n'y a aucune raison valable de les abolir d'office. Car il est bien clair, pour qui connaît un minimum la civilisation indienne, que ce qu'on appelle les rituels sanglants sont des pratiques qui ont bien existé et existent toujours en Inde (hindoue), mais qui ne concernent et n'ont toujours concernés qu'une minorité d'Hindous, d'ailleurs peu sensibles à la philosophie brahmanique et ignorant tout des Upanishad (Upanishad qui sont les fondements de la métaphysique hindoue, faut-il le rappeler)... et, de plus, cet article est sur les justifications hindoues du végétarisme et la compréhension hindoue du végétarisme, non un article sur le védisme ou des règles rituelles, etc... Enfin, le Samkhya Karika ne dit jamais que le Véda est impur... (les brahmanes n'ont d'autorité philosophique que s'il respectent intégralement l'autorité du Véda... et le Samkhya fait parti des darshana/philosophies brahmaniques) : il dit en revanche que les pratiques rituelles, garantes de l'Ordre cosmique, ne sont pas pour autant libératrice du cyle des réincarnations ; cela est faux de dire que la philosophie Samkhya est anti-Véda alors qu'elle utilise et se base sur des Upanishad védiques...
Le jargon indianiste, qui n’est pas uniquement occidental – c’est un peu raciste de croire que seuls les occidentaux ont l’esprit scientifique et que tous les hindous seraient fondamentaliste – n’inclut pas l’époque des Upanishad dans l’époque védique, il s’agit déjà de l’époque brahmanique. Je n’ai rien contre le fait de mentionner l’opinion de certains swamis, mais elle doit être mise en contexte et en aucun cas apparaître comme la seule. Votre mépris des indianistes montre bien que vous savez que cette opinion n’est pas scientifique, ‘encyclopédique’. La ref http://www.ivu.org/news/march2000/hinduism.html est un blog peu sérieux. L’article du wiki anglais que vous citez en ref contredit vos propos. Affirmer que le cheval de l’ashvamedha n’était pas sacrifié et qu’il ne s’agit même pas de cheval est absurde. Ce sacrifice est décrit en long et en large dans les textes et attesté historiquement. Ni dans la postface, ni ailleurs Biardeau affirme que les sacrifices étaient interdits. Coomaraswamy non plus. Prakash Saraswati a un point de vue particulier qui ne reflète en rien la vision des indianistes et des hindous non-fondamentalistes. Vous affirmez que votre texte माहिंस्यात सर्व्-भुतानि – mâhimsyât sarva-bhoutâni est écrit correctement?--Zhuangzi (discuter) 4 janvier 2015 à 22:48 (CET)[répondre]
On dit par ailleurs une Upanishad et pas un Upanishad, LA Samkhya-Karika et pas LE. Les textes sanskrits que vous citez dans l'article sont tous écrits de manière erronée, ce qui montre le manque de sérieux et sont tous hors contexte. J'ai déjà mis le texte de la Samkhya Karika plus haut: https://archive.org/stream/anenglishtransla00vaacuoft#page/6/mode/2up Il vous suffit de cliquer pour vérifier que les sacrifices animaux posaient problèmes à l'époque brahmanique (comme cela commencait à être le cas à l'époque des Upanishad.) Si la Manusmriti que vous citez affirme que les animaux ne doivent être accomplis que dans le cadre des sacrifices védiques, c'est bien qu'ils n'ignoraient pas l'existence de sacrifiques animaux.--Zhuangzi (discuter) 4 janvier 2015 à 23:24 (CET)[répondre]
Les sources sont claires, et vous ne les lisez pas (Madeleine Biardeau est explicite sur sa postface : On n'a strictement aucune preuve archéologique de rituels sanglants concernant des chevaux en Inde (on en a en Iran : mais pas en Inde)... Que le rituel sanglant soit un fait généralisé sur l'ensemble de la population indienne de l'époque védique est faux... Donc, on peut bien croire les brahmanes quand ils disent qu' "Ashva" n'est pas un « Cheval », mais son autre sens : « Empire, Cosmos »). Ne faites pas semblant de connaître ce que vous n'avez jamais lu : Ananda Coomaraswamy a longtemps dénoncé les compréhensions biaisées des traducteurs et indianistes occidentaux, qui, hélas, continuent à sévir, en étudiant l'hindouisme comme une religion morte, basée sur des périodes historiques, au lieu d'en comprendre la réalité et la compréhension vécues. Et, encore une fois, vous vous méprenez sur la nature de cet article : il ne s'agit pas d'un article sur le "védisme", ni sur les "rituels védiques" : le nom de l'article est végétarisme hindou, et ces maximes védiques sont toujours utilisées de nos jours pour justifier le végétarisme hindou (le nom de cet article !) dans les milieux hindous, brahmaniques. D'ailleurs, si les rituels sanglants étaient si indispensables et incontournables dans les Védas (qui constituent l'Autorité sacrée incontournable de toutes les branches de l'hindouisme), on se demande bien alors pourquoi les brahmanes (qui sont des sacrificateurs) sont végétariens ?... A cause de l'influence du bouddhisme (les pays bouddhistes ne sont guère végétariens) ou du jaïnisme (religion qui a toujours eu très peu de membres) ? C'est ce que prétendaient, autrefois, les indianistes... (Je ne méprise pas les indianistes : ce sont plutôt les indianistes (surtout ceux du XIXème siècle : convaincus de la supériorité de la « race » blanche iranienne sur la « race » noire, indo-dravidienne), qui méprisent les Hindous et leur religion en prétendant mieux la comprendre que les brahmanes ne peuvent le faire eux-mêmes...). Il y avait déjà une tension interne sur la question, au sein des milieux brahmaniques, concernant l'efficacité rituelle, et la nature des « choses » à sacrifier. Je ne nie pas qu'il y ait des rituels sanglants dans le cadre « hindou » ; il y en a encore (mais des rituels sanglants qui ne concernent ni des chevaux, ni des vaches et ni des hommes... : pourtant, ces trois-là sont les seules « victimes » sacrificielles dont on parle dans les Védas...) : mais ce n'est pas le sujet de l'article Végétarisme hindou, de toute façon. Alors, au lieu de supprimer des maximes védiques : pourquoi vous ne rajoutez pas les sources du Samkhya promouvant ou indiquant le Végétarisme hindou ? (C'est pourtant le sujet de l'article...).--78.244.170.213 (discuter) 5 janvier 2015 à 13:53 (CET)[répondre]
Arrêtez d’écrire n’importe quoi. Mille ans séparent l’époque védique proprement dite de l’époque des upanishads et du Bouddha. L’ashvamedha concernait UN cheval. Comment trouver des traces archéologiques ? Les sacrifices usuels concernaient surtout des chèvres, parfois d’autres animaux, selon les rituels, les buts, etc. Encore une fois, l’ashvamedha est bien documenté. Que l’on en fasse une interprétation mystique n’a rien à voir avec la réalité historique. Que vous opposiez celle-ci à la « réalité de l’hindouisme » est ridicule. Les brahmanes n’ont pas moins l’esprit scientifique que les autres. Que certains affirment que les sacrifices animaux n’auraient pas existé et sortent des phrases de leur contexte en niant l’immense majorité des textes affirmant l’inverse est une chose (en général, ceux-ci prétendent aussi que les indiens de l’époque védique possédaient des avions et l’arme nucléaire), mais présenter cette vision absurde comme la seule vérité encyclopédique est ridicule. Ce n’est pas en racontant n’importe quoi et faire passer les indiens pour des rigolos que vous agirez de façon positive pour la cause végétarienne. Présentez les choses comme elles sont vraiment (vous pouvez mentionner ces extrémistes), inutile de nier la réalité des textes et de l’histoire. J’ai le livre de Coomaraswamy sous les yeux. Je l’ai vraiment lu, contrairement à vous. Il est critique vis-à-vis des « occidentaux », mais il ne se décridibilise pas en racontant n’importe quoi. « On a compris que la déité est implicitement ou explicitement une victime volontaire. Ceci est reflété dans le Rite humain, où le consentement de la victime, qui a dû être humaine à l'origine, est toujours assuré suivant les formes. » p.14--Zhuangzi (discuter) 5 janvier 2015 à 15:14 (CET)[répondre]
Entre deux, j'ai également vérifié la postface de Biardeau. Cette pseudo-citation n'existe pas. Vous avez tout simplement menti, ce n'est pas très glorieux.--Zhuangzi (discuter) 14 juillet 2015 à 11:29 (CEST)[répondre]
La postface de l'ouvrage Hindouisme, anthropologie d'une civilisation de Madeleine Biardeau indique bien pourtant que le bouddhisme, avec ses valeurs de non-violence, était en fait bien vu par les milieux brahmaniques. C'est un Mea culpa bienvenu. --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 19:48 (CEST)[répondre]
Vous avez tout simplement mis une fausse citation de Biardeau et affimez l'inverse de ce que Coomaraswamy a dit, comment discuter avec quelqu'un qui ment?--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 10:07 (CEST)[répondre]

Traductions tendencieuses[modifier le code]

Pour être concret, si vous voulez absolument faire figurer ces réinterprétation du véda (dont je ne vois pas bien le rapport avec le végétarisme), il faudrait les insérer sous un chapitre intitulé Réinterprétations néohindouistes ou quelque chose comme ça. Votre source Swami Satya Prakash Saraswati est membre de l’Arya-Samaj, un mouvement hindouiste radical. En ce qui concerne les citations, outre le fait que la transcription est bidon voire complètement fausse dans certains cas, les traductions sont fausses ou faussée parce que retirées du contexte :

  • comment expliquez-vous que les traducteurs de « Aghnyâ yajamânasya pashûnpahi » Yajur-Veda 1.1, traduisent par : Guard thou the cattle of the Sacrificer. http://www.sacred-texts.com/hin/wyv/wyvbk01.htm (yajamanasya ‘du sacrifiant’ disparait de la traduction) ou Do thou protect the cattle of the sacrificer http://www.sacred-texts.com/hin/yv/yv01.htm et que ce passage s’inscrit dans un paragraphe où on prie Rudra de protéger les biens du sacrifiant ? Idem pour les autres passages Yajur-Veda 6.11 où il est demandé au dieu de protéger le bétail et d’accomplir la prière du sacrifiant http://www.sacred-texts.com/hin/wyv/wyvbk06.htm et Yajur-Veda 14.8 où l’on demande a dieu de faire pousser les plantes, « protéger le bétail » faire pleuvoir etc. http://www.sacred-texts.com/hin/wyv/wyvbk14.htm
  • La phrase « Il ne faut pas abattre l'animal ongulé qui hennit, se déplaçant avec une vitesse plus rapide que la plupart des animaux. » Yajur-Veda 13.48 est dans un contexte où on demande au feu (Agni) de tuer l’ennemi http://www.sacred-texts.com/hin/wyv/wyvbk13.htm
  • « Nous devons détruire ceux qui mangent de la chair crue ou cuite, la viande impliquant la destruction des hommes et des femmes, des fœtus et des œufs. » est tiré d’un chant incantatoire pour protéger une femme enceinte et cette phrase est une demande que les démons mangeurs de chair ne mangent pas le fétus. La traduction est (Atharva-Veda 8.6.23) : https://archive.org/stream/atharvavedasamhi02whituoft#page/496/mode/2up
  • Ceux qui se nourrissent de chairs d'humain, de cheval ou d'un animal, et ceux qui détruisent Aghnya [la vache], doivent être sévèrement punis. » — Rig-Veda, 10.87.16. est une demande à Agni de tuer l’ennemi qui s’attaque à nous http://www.sacred-texts.com/hin/rigveda/rv10087.htm
  • « Puissent tous les bipèdes et quadrupèdes gagner de la force et de la nourriture. » — Yajur-Veda 11.83. Il est écrit « puisse NOS bipèdes et quadrupèdes… » C’est le dieu que l'on prie de nous donner à manger et de la force ! http://www.sacred-texts.com/hin/wyv/wyvbk11.htm

Bref, tout le chapitre Veda est bidon, c'est comme je le disais une tentative de biaiser les textes, comptant sur le fait que personne ne vérifiera. Certains Swamis radicaux tentent simplement de projeter de manière anachronique un végétarisme sur une époque où il n'existait pas encore. La cause végétarienne n'en sort pas grandie. La vérité suffirait. Quoi qu'il en soit ce chapitre n'a rien à faire en l'état dans une encyclopédie. Ashva ne signifie JAMAIS "empire", c'est le rite du sacrifice du cheval que l'on laisse aller un an durant, les pays traversés devant se soumettre, qui fait que l'empire s'étend. Vérifiez dans tous les dicos et les textes que vous voudrez --Zhuangzi (discuter) 6 janvier 2015 à 03:16 (CET)[répondre]

Tous vos blanchiments sont injustifiés (car vous n'apportez aucune preuve) et obscurantistes (car vous blanchissez des références) : l'ouvrage The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana, de Swami Satya Prakash Saraswati (éditions Govindram Hasanand, Delhi) est clair sur l'absence de rituels sanglants au nom des Védas.
Si vous avez vraiment sous les yeux l'ouvrage de Coomaraswamy, Hindouisme et bouddhisme, citez-le. Pour ma part, je peux le faire :

« Il y a [dans le bouddhisme] un enseignement éthique pour les laïques, avec commandements et défenses sur ce qu'il faut faire ou ne pas faire, mais rien qui puisse être décrit comme une « réforme sociale » ou une protestation contre le système des castes. La distinction qui est faite à maintes reprises entre le « vrai Brâhmane » et le simple Brâhmane de naissance est celle qu'affirmaient déjà sans cesse les livres brahmaniques. (...) Ce n'est pas pour établir un nouvel ordre, mais pour restaurer un ordre ancien que le Bouddha est descendu du ciel. »

Bouddha luttait contre les rituels sanglants. Il fut approuvé par les brahmanes (mais pas les prêtres qui pratiquaient des rituels sanglants). Ces citations védiques sont toujours utilisées pour justifier le végétarisme chez les Hindous. Si cela ne vous plaît pas, tant pis, mais c'est la réalité. --78.244.170.213 (discuter) 14 janvier 2015 à 20:49 (CET)[répondre]
Je vous ai déjà répondu, y-compris pour Saraswati, qui écrit n'importe quoi, les preuves sont toutes là, cliquables plus haut. Votre citation de Coomaraswamy est complètement hors-sujet (où est le rapport avec le végétarisme?) et vos réflexions sur Bouddha et les brahmanes n'ont aucuns sens: vous affirmez sérieusement que les sacrifices brahmaniques étaient exécutés par des non-brahmanes et que les brahmanes approuvaient Bouddha? Dino Castelbou, vous n'êtes pas sérieux. Voici quelques citations de Comaraswamy, qui parle beaucoup du sacrifice dans son Hindouisme et bouddhisme (mais bizarrement, vous n'avez trouvé aucune citation en rapport avec le sujet:
  • « Ceci est reflété dans le Rite humain, où le consentement de la victime, qui a dû être humaine à l'origine, est toujours assuré suivant les formes. Dans l'un ou l'autre cas, la mort de la victime est aussi sa naissance, en accord avec la règle infaillible qui veut que toute naissance ait été précédée d'une mort. Dans le premier cas il y a naissance multiple de la déité dans les êtres vivants, dans le second ils renaissent en elle. Mais, même ainsi, il est reconnu que le sacrifice et le démembrement de la victime sont des actes de cruauté, voire de perfidie24. »
  • "Le Sacrifice (yajna) dont il s'agit est une répétition mimée et rituelle de ce que firent les Dieux au commencement ; il constitue à la fois un péché et une expiation. Nous ne comprendrons pas le Mythe tant que nous n'aurons pas accompli le Sacrifice, ni le Sacrifice avant d'avoir compris le Mythe. (…)C'est pourquoi, dans le Sacrifice, celui qui l'offre s'identifie à la victime."
  • "Le Sacrifice, de même que les paroles liturgiques qui le rendent valable, doit être compris (Erlebt), si l'on veut qu'il soit pleinement effectif. Les actes physiques peuvent, par eux-mêmes, comme tout autre travail, assurer des avantages temporels. Sa célébration ininterrompue maintient en fait le « courant de prospérité » (vasor dhâra) sans fin qui descend du ciel comme la pluie fertilisante, laquelle, passant dans les plantes et les animaux, devient notre nourriture et retourne au ciel dans la fumée de l'offrande consumée." (où on apprend clairement que les indiens n'étaient pas végétariens)
  • "La racine sham se trouve aussi dans shamayitri, le « boucher » qui « apaise » la victime dans le rituel extérieur"

Dans Yaksha, vol.2, p.21, Coomaraswamy parle du sacrifice du cheval ainsi que de son INTERPRETATION ultérieure dans la b.Up. Voir aussi p. 28 « There is certainly sufficient evidence for a practise of human sacrifice to trees (tree spirits) in early India. », p.31 « the sacrificial horse… » Encore une fois le végétarisme est une cause noble, c'est scandaleux de la décridibiliser en racontant n'importe quoi et citant des radicaux de l'extrême droite indienne comme Saraswati.--Zhuangzi (discuter) 14 janvier 2015 à 21:18 (CET)[répondre]

Références insuffisantes[modifier le code]

Bonjour, l'ajout suivant en RI utilise des références de manière insuffisante (pas de numéro(s) de page(s)). Qui plus est cela me semble être un POV tel que c'est formulé puisque la consommation de viande est tolérée pour les trois castes sauf les brahmanes (et même ces derniers peuvent manger la viande issue d'un sacrifice)[1]--Asterix757 (discuter) 24 juin 2015 à 21:47 (CEST) :[répondre]

Les Hindous ne pratiquant pas le végétarisme, ne sont pas de ceux désirant quitter le cycle des réincarnations, – le Samsara –, état limité d'existence, de renaissances, où il y a rétribution des karma/« actions » : Manger de la viande, en se réclamant de l'« hindouisme » (terme venant d'Occident), signifie que l'on ne souhaite point réaliser un des quatre buts de la vie selon l'hindouisme orthodoxe : le Nirvana, ou état de « Délivrance »/Moksha, état suprême d'existence d'union avec l'Infini où l'on est délivré des réincarnations en tant qu'humain/animal ou végétal [2]. En effet, Les différentes branches philosophiques de l'hindouisme (comme, par exemple, la philosophie Yoga), exigent l'Ahimsâ (Non-violence universelle) comme éthique racine incontournable pour toute autre démarche religieuse, de pratique spirituelle minimale vers le cheminement vers le Nirvana (le végétarisme y est donc vu comme une norme de base, évitant les réincarnations difficiles à vivre, qu'elles soient humaines, animales, etc.) [3].

citations tronquées[modifier le code]

Cette habitude de réécrire les textes pour leur faire dire autre chose est bien lassante et décridibilise une cause pourtant noble: De même que dans le mode d'alimentation promu par le jaïnisme, les règles alimentaires des Upanishad sont basées sur l’Ahimsâ, la « Non-violence » (universelle) : dans le Rudraksha Jabala Upanishad du Sama-Véda, on précise que l'on doit s'abstenir des produits issus de la violence ou nuisance envers la moindre vie, comme la chair animale, les œufs (par respect pour la vie embryonnaire et afin de ne pas s'approprier ce qui vient des poules) et les racines (ail, oignon, carottes, etc.), car la cueillette des végétaux du sol est considéré comme la mise à mort de la plante entière [4].[réf. nécessaire] En fait il est écrit: {{QUI PORTE DES rudraksha doit s'abstenir de...}}. Pour Dans la méditation sur le Yajnayajniya Saman du Chandogya Upanishad (Sama-Véda), l'injonction est « de ne plus jamais consommer de chair animale »[5].[réf. nécessaire], il est écrit: Pour celui qui médite sur le Yajnayajniya Saman, l'injonction est "ne consomme pas de viande durant une année" ou "Ne consomme plus jamais de viande"[réf. nécessaire], ce qui n'est vraiment pas la même chose. De plus écrire UN upanishad montre le manque de sérieux.--Zhuangzi {{cit|:

« Ahimsâ parmo dharma — la Non-violence (Ahimsâ) est la première (parmo) des religions (Dharma). »

Cette citation est bidon. "parmo" n'existe pas (paramo, probablement) et dharma devrait avoir une désinence. (discuter) 20 avril 2016 à 11:49 (CEST)[répondre]

Réponse : le Rudraksha Jabala Upanishad dit en effet que celui qui porte les rudraksha doit s'abstenir de chair animale et de racine ; mais pourquoi ? Il faut bien préciser que c'est par respect de l'Ahimsa, et indiquer la logique de ce vœu. L'expression "AHIMSA PARAMO DHARMA" se retrouve de nombreuses fois dans la Mahabharata. C'est une expression sanskrite qui existe, la preuve : http://www.hindupedia.com/en/Ahimsa_Paramo_Dharma . --78.244.170.213 (discuter) 21 avril 2016 à 13:49 (CEST)[répondre]
Ahiṃsā paramo dharmaḥ est la vraie phrase. Le texte sanskrit est très mal transcrit sur le lien que vous donnez, ce qui fait douter de son sérieux. Encore une fois on dit LA Rudraksha Jabala Upanishad. Puisqu’il s’agit d’un vœu, cela montre que ce n’est pas général.--Zhuangzi (discuter) 21 avril 2016 à 21:18 (CEST)[répondre]
Cette citation est une réalité de l'hindouisme : http://www.sanskritimagazine.com/indian-religions/hinduism/ahimsa-paramo-dharma-half-truth/ J'ignore pourquoi elle vous ennuie autant. --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 10:34 (CEST)[répondre]
Oui, et encore une fois, vous l'aviez écrite n'importe comment et vous renvoyez à chaque fois vers des sites peu sérieux.--Zhuangzi (discuter) 23 avril 2016 à 12:54 (CEST)[répondre]
Le jaïnisme emploie l'expression AHIMSA PARMO DHARMA (et non PARAMO) : 1. http://www.jainsamaj.org/rpg_site/literature2.php?id=309&cat=42 2. http://ejainism.com/ahimsa.html; les deux sont valables (le a est silencieux). --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 19:37 (CEST)[répondre]
Vous confondez prakrit et sanskrit sans connaître ni l'un ni l'autre, à chaque fois que vous mettez une citation sanskrite, (comme le mahimsyat plus haut), c'est n'importe quoi. C'est comme pour vos fausses ref, vos fausses citations etc.--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 10:16 (CEST)[répondre]

Comme on le voit sur l'image jaïne d'un lion et d'un taureau tenant la roue du dharma : http://mokshasadhana.blogspot.fr/2013/12/few-jain-beliefs-with-quotes-and-meaning.html : il est écrit "अहिंसा परमो धर्म:" et "परमो" est écrit "paramo" mais on prononce "parmo". C'est du prakrit, mais il est écrit de la même façon en sanskrit (ce sont des Indiens (jaïns et hindous) qui m'ont révélé cette maxime. Bref, हिन्दू धर्म में अहिंसा का बहुत महत्त्व है.--78.244.170.213 (discuter) 25 avril 2016 à 14:18 (CEST)[répondre]

Arrêtez de dire n'importe quoi, paramo, c'est paramo en sanskrit, même s'il se prononce parmo en hindi. Si cela vous intéresse, apprenez le sanskrit, ou au moins la devanagari, vous verrez que le texte que vous venez de donner en devanagari est effectivement écrit comme je l'ai fait: Ahiṃsā paramo dharmaḥ Que les termes sanskrits soient écrits correctement est l'indice minimal pour juger du sérieux des textes. Désolé pour vous si vous ne lisez rien de sérieux.--Zhuangzi (discuter) 25 avril 2016 à 15:51 (CEST)[répondre]

à propos de Swami Satya Prakash Sarasvati[modifier le code]

Swami Satya Prakash Sarasvatî est un universitaire devenu sannyasin, non un membre du RSS. Il était admirateur de Maharishi Dayananda Sarasvatî, fondateur de l'Arya Samaj, organisation de renouveau hindou (lié à renaissance bengali) prônant l'égalité de tous les êtres humains et l'autonomisation des femmes (thèmes basés scrupuleusement sur les Védas) qui initia à l'indépendance de l'Inde et à l'amélioration du statut des intouchables (deux éléments que l'on retrouvera plus tard dans l'action du Mahatma Gandhi, qui fut assassiné par un membre du RSS). Swami Satya Prakash Sarasvatî est l'opposé du fanatisme du RSS, mais un homme de science : http://teladan-dharma.blogspot.fr/2007/12/swami-satya-prakash-saraswati.html --78.244.170.213 (discuter) 21 avril 2016 à 14:16 (CEST)[répondre]

fanatique, peut-être pas, mais l'arya samaj est clairement un mouvement fondamentaliste. Les traductions si tendencieuses qu'elles sont ridicules (voir plus haut "traductions tendencieuses") de Swami Satya Prakash Saraswati montrent qu'il est tout sauf un scientifique. Vous avez remis vos citations tronquées, Dino Castelbou!--Zhuangzi (discuter) 22 avril 2016 à 12:15 (CEST)[répondre]
L'interprétation de Swami Satya Prakash Sarasvatî (qui n'est pas un nationaliste, mais un universitaire) n'a rien d'excessive : dire que les medha, « offrande », sont des allégories non-violentes me semblent le contraire d'un fanatisme : de toute façon, on déclare déjà dans les Upanishad qu'il s'agit bien de métaphores : comme dans la Mudgala Upanishad (appartenant au Rig-Véda) :

« Par “Victime sacrificielle du feu, l'Homme cosmique se métamorphosa en Totalité”, c'est la création des espèces vivantes qui est évoquée. (...) Par l'expression “les dieux, en sacrifiant, posèrent les principes du culte sacrificiel”, on affirme la fin de la création et la libération. »

— Mudgala Upanishad (Rig-Véda)[6]

Les informations que j'ai mises (et que vous avez blanchies) viennent du Wikipédia anglais : Je ne vois aucune raison de les supprimer, elles montrent une facette de l'hindouisme et de son interprétation végétarienne (sujet de l'article). Faut-il croire que l'on est plus tolérant dans le Wikipédia anglais ? --78.244.170.213 (discuter) 22 avril 2016 à 13:04 (CEST)[répondre]
Bonjour, c'est un point de vue minoritaire, et vous lui donnez une importance disproportionnée. --Asterix757 (discuter) 22 avril 2016 à 13:40 (CEST)[répondre]
Le wiki anglais https://en.wikipedia.org/wiki/Diet_in_Hinduism n'affirme rien de tel, bien au contraire: "Pruthi states that meat consumption, including that of horse meat and beef, is evidenced in the texts of Vedic times." L'Arya samaj a bel et bien encouragé le développement de parti tels que le RSS, que vous qualifiez vous-même de fanatiques[7]--Zhuangzi (discuter) 22 avril 2016 à 14:47 (CEST)[répondre]
Le BJP est la droite hindoue : on ne qualifie pas en France un parti de droite comme Les Républicains (parti français) (ex-UMP) d'être un groupe fanatique, à ma connaissance...--78.244.170.213 (discuter) 22 avril 2016 à 20:08 (CEST)[répondre]

Encore une fois (mais pourquoi discuter vous ne lisez jamais les réponses, l'article BJP vers lequel vous renvoyez affirme exactement l'inverse: " Créé en 1980, le BJP est un parti de droite nationaliste hindoue considéré comme l'aile politique du Rashtriya Swayamsevak Sangh (RSS)." L’arya-samaj est anti-islam et anti-chrétien, il n’est pas seulement nationaliste (ce qui est compréhensible, puisqu’il est né sous la colonisation anglaise), il lie ce nationalisme au fait d’être hindou, ce que vous reconnaissez vous-même puisque vous avez glosé « nationalisme » par hindutva.--Zhuangzi (discuter) 23 avril 2016 à 13:24 (CEST)[répondre]

Sauf que l'hindutva ne demande ni aux chrétiens ni aux musulmans de cesser de l'être... L'Inde actuelle est sous mandat d'un gouvernement du BJP, et la constitution indienne reconnaît toujours la charia comme source du droit pour les musulmans indiens (la charia s'applique en Inde aux questions de statut personnel (mariage, divorce, héritage et autorité parentale))... --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 19:28 (CEST)[répondre]
Discuter avec vous ou avec Lepen, qui prétendra toujours ne pas être raciste....--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 10:27 (CEST)[répondre]
J'aide et fais partie d'une association d'aide aux réfugiés syriens (Languedoc Solidarité avec les Réfugiés) : vous m'insultez aveuglément. --78.244.170.213 (discuter) 24 avril 2016 à 11:57 (CEST)[répondre]
Décidément vous ne comprenez rien, je ne dis pas que vous êtes lepeniste, mais que vous adhérez aveuglément à des thèses fondamentalistes mais en niez les faits.--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 13:56 (CEST)[répondre]

Blanchiment injustifié[modifier le code]

Voici une partie de l'article végétarisme hindou sans cesse blanchie ; les informations ci-dessous viennent du Wikipédia anglais et de sources de qualité. Je laisse au lecteur le soin de voir la qualité de ces informations, qui permettent de comprendre les sources du végétarisme dans l'hindouisme (les Hindous forment la majorité des végétariens sur la Terre)... --78.244.170.213 (discuter) 22 avril 2016 à 13:47 (CEST)[répondre]

Véda

Beaucoup de textes du Véda décrivent les sacrifices d'êtres vivants dans un contexte sacrificiel, comme celui du cheval (Ashvamedha) dans le Yajur-Véda (TS 7.1-5, VSM 22–25) et le Rig-Véda (RV 1.162-163)[8] ou celui d'homme mâle (Purushamedha) dans le Yajur-Veda (VS 30–31).

Néanmoins, un universitaire devenu sannyasin, Swami Satya Prakash Saraswati, considère que le terme de Medha, « offrande »[9], a un autre sens dans ce contexte, qui est celui d'« acte accompli » ; par exemple, le mot signifiant Gau (« Vache ») signifie aussi la « Terre », et le Yajna dédié à préserver la Terre et son environnement est appelé Yajna Gomedha (mais il ne s'agit point d'un sacrifice consistant à abattre une vache)[10].

Pour le Purushamedha (« offrande d'un homme/mâle »), la Chandogya Upanishad (3,16) donne une interprétation mystique du Purushamedha comme une métaphore de la vie elle-même, et le compare aux diverses étapes de la vie pour les oblations qui sont offertes (il ne s'agit pas d'un abattage d'homme mâle). Swami Satya Prakash Sarasvatî fait valoir que la liste des animaux énumérés en victime sacrificielle est aussi symbolique que la liste des victimes humaines énumérées pour le Purushamedha [11]. Cela se confirme dans une Upanishad où l'on indique : « Par “Victime sacrificielle du feu, l'Homme cosmique se métamorphosa en Totalité”, c'est la création des espèces vivantes qui est évoquée. (...) Par l'expression “les dieux, en sacrifiant, posèrent les principes du culte sacrificiel”, on affirme la fin de la création et la libération. » (Mudgala Upanishad, Rig-Véda)[12].

Et concernant le rituel Ashvamedha (« offrande du cheval »), il écrit :

« Dans les termes d'analogie cosmique, ashva est le soleil. (...) Il est identique à Varuna, le Suprême. Le terme Medha est synonyme d'hommage. Il est devenu plus tard synonyme d'oblations, dans la langage du rituel. [13] »

Selon Dayananda Sarasvatî, l'Ashvamedha est considéré comme une allégorie ou un rituel pour s'unir au « Soleil intérieur » (le Prana) [14].

Upanishad

De même que dans le mode d'alimentation promu par le jaïnisme, les règles alimentaires des Upanishad sont basées sur l’Ahimsâ, la « Non-violence » (universelle) : dans le Rudraksha Jabala Upanishad du Sama-Véda, on précise que l'on doit s'abstenir des produits issus de la violence ou nuisance envers la moindre vie, comme la chair animale, les œufs (par respect pour la vie embryonnaire et afin de ne pas s'approprier ce qui vient des poules) et les racines (ail, oignon, carottes, etc.), car la cueillette des végétaux du sol est considéré comme la mise à mort de la plante entière [15].

Dans la méditation sur le Yajnayajniya Saman du Chandogya Upanishad (Sama-Véda), l'injonction est « de ne plus jamais consommer de chair animale »[16].

LES RAISONS DE CE BLANCHIMENT ONT SUFFISAMMENT ETE EXPLIQUES PLUS HAUT. MERCI DE VOUS CALMER.--Zhuangzi (discuter) 22 avril 2016 à 14:32 (CEST)[répondre]
Vos réponses m'apparaissent insuffisantes. Vous avez supprimé des sources de qualité. Pourquoi ? De plus, nul besoin d'attendre l'Arya Samaj pour voir déclarer que les Medha ("sacrifices") védiques sont des métaphores et des allégories : les Upanishad le disent déjà (et Adi Shankara aussi...) --78.244.170.213 (discuter) 22 avril 2016 à 19:59 (CEST)[répondre]
Bonsoir, merci d'apporter ces références si vous y avez accès. Par ailleurs, comme indiqué par Zhuangzi vous détournez certaines de vos sources. Cordialement --Asterix757 (discuter) 22 avril 2016 à 22:38 (CEST)[répondre]
Les références que je m'applique à mettre sont blanchies à chaque fois. Que dire de plus ? --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 10:40 (CEST)[répondre]
Les brahmanas n’ont pas supprimé les sacrifices, qui étaient bien réels, ils leur ont ajouté une dimension magico-mystique leur conférant des pouvoirs par la connaissance de ces correspondances que vous appelez métaphore. A l’époque des upanishad viendra de surcroît des notions et valeurs telles que le moksha et l’ahimsa provenant des samnyasins et des shramanes bouddhistes et jaïnas. Le végétarisme s’est alors peu à peu imposé aux brahmanes et aux membres des hautes castes (mais Rama par ex. pourtant dans un ermitage, ne peut s’empêcher d’aller chasser le cerf). Affirmer de manière complètement anachronique que les sacrifices n’ont jamais existé est est de la mauvaise foi. Il n’est bien entendu pas inutile de mentionner ces points de vue particuliers, mais c’est le seul que vous voyez alors qu’il est ultra minoritaire et vous n'essayez jamais de prendre du recul et un regard neutre. Votre démarche est propagandiste. Vous renvoyez à l’article anglais de l’ashvamedha, qui fait bien la différence entre les faits et la réinterprétation « revivalist » de l’arya-samaj, alors que vous ne retenez à chaque fois que celle-ci.--Zhuangzi (discuter) 23 avril 2016 à 13:55 (CEST)[répondre]
Hélas, je pense que vous vous trompez (car il est vrai que le milieu indianiste européen a longtemps ignoré l'avis des brahmanes sur la question de leur propre foi, de leurs propres mythes). J'ai fréquenté, en Inde, de nombreux brahmanes, qui m'ont déclaré que le végétarisme est une valeur brahmanique, même dans les temps reculés, les âges "védiques" (le jaïnisme et le bouddhisme n'auraient jamais réussi à imposer le végétarisme aux brahmanes, si les Véda eux-mêmes ne le "demandaient" pas : or l'Ahimsâ est bien présent dans les Upanishad, ne serait-ce que dans cette expression védique : "Toutes les créatures sont Brahman"). La valeur d'Ahimsâ n'est pas proprement jaïne ou bouddhiste, elle est aussi brahmanique (panindienne même : le sikhisme et le soufisme indien ne l'ignorent pas non plus). Râma, par exemple, chasse effectivement des "animaux", lors de son exil dans la forêt : mais ces "animaux" sont en fait des rakshasa dangereux, vampires malfaisants, etc. déguisés en animaux sauvages grâce à leur pouvoir de Maya, d'"illusion", démons déguisés en animaux au service du cruel démon-roi Ravana (comme le démontre ce clip indien, en 1:24 : https://www.youtube.com/watch?v=9Fin8kP8FrU). Un des noms de Râma est Rakshavânara Sangâthine, "sauveur des sangliers et des singes", titre qui témoigne de sa qualité "avatarique", c'est-à-dire toute compatissante. Au revoir. --78.244.170.213 (discuter) 23 avril 2016 à 19:10 (CEST)[répondre]
C'est trop mélangé dans votre tête pour discuter. Vous confondez la période védique et la période brahmanique (celle des brahmana et des Upanishad), vous confondez brahmanes et samnyasin (c'est le propre d'un samnyasin brahmane d'abandonner les sacrifices), vous apportez des thèmes sans aucun rapport avec le végétarisme, comme l'ashvamedha et le sacrifice humain. Et vous remettez encore une citation sanskrite écrite n'importe comment (Rakshavânara Sangâthine), encore pour faire comme si, comme à l'époque ou vous n'écriviez que des copié-collés--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 10:35 (CEST)[répondre]

Voici la liste des noms de Râma : http://hinduism.about.com/od/godsgoddesses/a/108-Names-Of-Lord-Rama.htm (n°65). Râma est bien le "Sauveur des sangliers et des singes" (Rakshavânara Sangâthine), et le Mahatma Gandhi se plaisait à réciter les noms de Râma et à souligner la compassion infinie envers les êtres du Seigneur Râma.--78.244.170.213 (discuter) 24 avril 2016 à 12:18 (CEST)[répondre]

Je vous dit que ce terme est écrit n'importe comment, et vous le remettez tel quel selon une de vos sources toute aussi bidon, où les termes sont tous écrits n'importe comment, ridicule...--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 13:38 (CEST)[répondre]

Sacrifice védique (yajna) d'après le Mahatma Gandhi[modifier le code]

Voici une citation intéressante de Mohandas Karamchand Gandhi, qui prouve que le rituel sanglant généralisé n'est en rien une certitude du monde védique :

« Yajna désigne un acte ayant pour but le bien d'autrui, accompli sans l'espoir d'aucune récompense, temporelle ou spirituelle. « Acte » doit être pris ici dans son sens le plus large, il comprend la pensée et la parole aussi bien que l'action proprement dite. Par autrui, il faut entendre non seulement l'humanité, mais tout ce qui vit. Par conséquent, en nous plaçant également au point de vue de l' ahimsâ, ce ne sera pas un yajna que de sacrifier des animaux, même si c'est avec l'intention de servir l'humanité. Peu importe que les sacrifices d'animaux figurent, comme certains le disent, dans les Védas. Il nous suffit de savoir que ces sacrifices ne répondent pas aux criterium fondamentaux de la Vérité et de la Non-violence. »

— Lettres à l'ashram, Mohandas Karamchand Gandhi, éditions Albin Michel

Le Mahatma Gandhi est un trésor de sagesse et démontre que sans Ahimsa, le sacrifice (yajna) ou l'oblation (medha) ne sont absolument rien.--78.244.170.213 (discuter) 24 avril 2016 à 12:13 (CEST)[répondre]

Il reconnait effectivement que les sacrifices animaux dans les védas et que ce n'est pas une raison pour faire des sacrifices, ce qui est l'avis de beaucoup. Il ne triche pas en réinterprétant les védas pour leur faire dire tout autre chose.--Zhuangzi (discuter) 24 avril 2016 à 13:44 (CEST) PS. Je sais que vous êtes très jeune, mais comprenez que vos citations de cahier d'écolier ne sont pas des infos encyclopédiques.[répondre]
J'ai demandé par mail à un ami indien faisant partie de la communauté des Bishnoï ce qu'il y avait à répondre concernant l'idée qu'il y aurait des rituels sanglants dans les Védas, voici sa réponse : "Tell them it is not in original vedas. It started by some selfish pandits by misinterpretating and changing veda teachings. But it was soon identified and removed by great saints like Jambhoji, Krishna, Rama, Buddha, Shankaracharya, Dayanand Saraswati and other Bhakti period saints and poets... Veda does not allow or recommend sacrifice of animals, humans and even green plants." Je pense que cet avis est respectable et mérite l'attention (et dépasse très largement les sphères de l'arya samaj, dont le fondateur était respecté par Rabindranath Tagore en personne [17]). Doit-on penser que les Bishnois interprètent mal leurs propres textes sacrés ? Je n'ai pas cette prétention.--78.244.170.213 (discuter) 25 avril 2016 à 14:38 (CEST)[répondre]
Ben oui, ce qu'ils racontent est faux, désolé.... Si vous voulez participer à l'encyclo, alors essayez de lire des textes vraiment encyclopédiques... ou lisez au moins le véda (pas les upanishads), vous verrez--Zhuangzi (discuter) 25 avril 2016 à 15:44 (CEST)[répondre]
Le livre de Dayananda Saraswati se trouve ici https://archive.org/details/satyarthprakashl00dayauoft . Il ne parle pas seulement violemment contre la bible et le coran, il critique aussi l’immense majorité des hindous qui prient les dieux (idolâtrie selon eux), le vishnuisme (p. 357) et le shivaisme (P.356). Il rejette aussi la Bhagavadgita comme texte de référence parce que celle-ci est selon lui contre le véda, ainsi que le bouddhisme (« this vicious religion », p. 300). Il raconte aussi que les indiens de l’antiquité possédaient des armes à feu et d’autres armes plus efficaces encore (p. 292-293). Inutile de préciser qu’il est farouchement contre le mélange des castes. Une citation : « Thus the authority of Aryavarta was supreme over all the kingdoms of the earth upto Emperor Yudhister s celebration of universal rejoicings (rajsuya yajna) and the Mahabharata (Great War, 5000 years ago.) For, we read in the Mahabharat that King Bhagdatta of China, King Babruwahana of America, King Vidalaksha with cat-like eyes of Europe, the King of Greece, King Shalya of Persia and the like kings came to join in the Great War & Emperor Yudhister’s feast of paramountcy. » (p.291, c-à-d p.315 du pdf)--Zhuangzi (discuter) 27 avril 2016 à 01:14 (CEST)[répondre]

suppression de références[modifier le code]

Voici un texte et des références qui ont été supprimés dans la partie Veda de l'article :

Des textes du Véda décrivent, selon des historiens occidentaux, les sacrifices d'êtres vivants dans un contexte sacrificiel, comme celui du cheval (Ashvamedha) dans le Yajur-Véda (TS 7.1-5, VSM 22–25) et le Rig-Véda (RV 1.162-163)[18] ou celui d'homme mâle (Purushamedha) dans le Yajur-Véda (VS 30–31).
Néanmoins, à l'époque moderne, cette interprétation ne fait pas l'unanimité et est contestée par des hindous (qui considèrent que l'on déforme ainsi le message originel de leur religion [19]). Ainsi, certains nationalistes [20] comme Swami Satya Prakash Saraswati, un universitaire devenu sannyasin, interprètent les textes en donnant aux mots d'autres sens : il considère que le terme de Medha, « offrande »[21], a un autre sens dans ce contexte, qui est celui d'« acte accompli » ; par exemple, le mot signifiant Gau (« Vache ») signifie aussi la « Terre », et le Yajña dédié à préserver la Terre et son environnement est appelé Yajna Gomedha (mais, selon lui, il ne s'agit point d'un sacrifice consistant à abattre une vache)[22]. Selon Dayananda Saraswati (en), « Garder la nourriture pure ou garder ses sens sous contrôle, rendre la nourriture pure, faire un bon usage des rayons du soleil ou garder la terre exempte d'impuretés [propre], tout cela s'appelle Gomedha Yajna »[23].
De même, selon H. H. Gurudev Dr. Kateswami, les indianistes occidentaux, comme Max Müller, font une mauvaise interprétation du Véda et voient des rituels sanglants là où il y a des métaphores qui parlent d'autre chose, d'un rite particulier comme la tonsure (et que l'on prend à tort, selon lui, pour une offrande de vache) [24].
Dans le Yajur-Veda (1.1), on peut lire  : Aghnyaa yajamaanasya pashoonpahi, « Les animaux sont Aghnyâ, – à ne pas tuer. Protégez les animaux » et de nombreuses injonctions védiques appellent à la non-violence envers les animaux (Atharva-Veda 10.1.29, Yajur-Veda 13.49, Yajur-Veda 14.8, Yajur-Veda 40.7, etc.) ; dans l' Atharva-Veda (10.1.29), on peut lire : « C'est définitivement un grand péché de tuer des innocents. Ne tuez pas nos vaches, nos chevaux et nos gens. » [25].
Dans la littérature védique, les mangeurs de chair animale sont connus sous le nom de Rakshasa, de Pishacha, de Vetala, de Dakini[26], etc., qui sont tous des démons ennemis des dieux [27].

J'ai repris et donné ces informations car l'interprétation d'un Véda sanguinaire est contestée en Inde, est loin de faire l'unanimité chez les hindous (d'ailleurs, les rituels védiques dont on parle sont faits pour atteindre les buts de la vie comme kâma ("éros"), artha ("gain matériel"), mais pas pour atteindre moksha (la délivrance des naissances et des morts), qui ne s'obtient pas par des rituels. La non-violence (ahimsa) seule est la base éthique qui permet d'atteindre la délivrance des réincarnations ou moksha : ces rituels précisément n'ont pas de valeur libératrice, mais enchaînent au monde aussi. La non-violence au contraire est libératrice). Bien à vous (et à l'utilisateur qui a effacé ma contribution aussi, car je suis sûr qu'il participe à Wikipédia pour améliorer cette encyclopédie, ce qui est mon but aussi) --Kamal Bundho (discuter) 26 janvier 2018 à 11:49 (CET)[répondre]

  1. Tara Michaël, Les voies du yoga, Points, , p. 96.
  2. Hindouisme, anthropologie d'une civilisation, Madeleine Biardeau, éditions Flammarion.
  3. Yoga, immortalité et liberté, Mircea Eliade, éditions Payot.
  4. 108 upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.581.
  5. 108 upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.179.
  6. 108 Upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.439.
  7. "In independent India, the Arya Samaj has become a movement of Hindu nationalism and has encouraged the growth of political parties such as the Hindu Mahasabha and the Bharatiya Janata Party, which have advocated that India become a Hindu state rather than a secular and multireligious state. (See also Bharatiya Janata Party; Brahmo Samaj; Dayanand Sarasvati; Hindu Mahasabha; Raj; Rastriya Svayamsevak Sangh.)" Bruce M. Sullivan, Historical Dictionary of Hinduism, Scare crow Press, 1997, p. 31
  8. (en) « Ashvamedha - Wikipedia, the free encyclopedia » (consulté le ).
  9. http://www.spokensanskrit.de/index.php?tinput=meda&link=m
  10. The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana, de Swami Satya Prakash Saraswati, éditions Govindram Hasanand, Delhi
  11. The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana by Swami Satya Prakash Saraswati, p. 415; 476
  12. 108 Upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.439.
  13. The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana by Swami Satya Prakash Saraswati, p. 415; 476 : the word in the sense of the Horse Sacrifice does not occur in the Samhitas [...] In the terms of cosmic analogy, ashva is the Sun. In respect to the adhyatma paksha, the Prajapati-Agni, or the Purusha, the Creator, is the Ashva; He is the same as the Varuna, the Most Supreme. The word medha stands for homage; it later on became synonymous with oblations in rituology, since oblations are offered, dedicated to the one whom we pay homage. The word deteriorated further when it came to mean 'slaughter' or 'sacrifice'
  14. D'après Wikipédia anglais : "as a bahuvrihi, saptāśva "having seven horses" is another name of the Sun, referring to the horses of his chariot (sun chariot); akhandjyoti.org glosses 'ashva' as "the symbol of mobility, valour and strength" and 'medha' as "the symbol of supreme wisdom and intelligence", yielding a meaning of 'ashvamedha' of "the combination of the valour and strength and illumined power of intellect"
  15. 108 upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.581.
  16. 108 upanishad, traduction et présentation de Martine Buttex, éditions Dervy, p.179.
  17. https://books.google.fr/books?id=8zrxlH1Tl24C&pg=PA35&lpg=PA35&dq=arya+samaj+rabindranath+tagore&source=bl&ots=dCkBQbmH3p&sig=9tiU4I2Fw156VIqdeImnxUlPq58&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiM37DI56nMAhWCthoKHUsJDrwQ6AEIOTAE#v=onepage&q=arya%20samaj%20rabindranath%20tagore&f=false
  18. Ashvamedha[source insuffisante].
  19. https://www.hindujagruti.org/news/2031.html
  20. (en) Bruce M. Sullivan, Historical Dictionary of Hinduism, Scare crow Press, , p. 31
  21. (sk) « SpokenSanskrit »
  22. (en) Swami Satya et Prakash Saraswati, The Critical and Cultural Study of the Shatapatha Brahmana, Delhi, Govindram Hasanand.
  23. http://www.vedicgranth.org/misconceptions-on-vedas/misconception-3---violence-against-animals-meet-eating-etc/non-violence-to-animals
  24. https://www.hindujagruti.org/news/2031.html ; « « Go » [vache] signifie les cheveux et « Dân » signifie couper ; ainsi Godân est la coupe des cheveux. Dans les traditions Shrout et Gruha, l'importance est accordée à la tonsure. Aussi le rituel de Chudâkarma signifie la coupe des cheveux. » – Gurudev Dr. Kateswamiji (Sanatan Chintan , Year 1, Issue 47, page 1)
  25. http://www.vedicgranth.org/misconceptions-on-vedas/misconception-3---violence-against-animals-meet-eating-etc/non-violence-to-animals
  26. Les dâkinîs sont « des démons-femelles, mangeuses de chair crue. (...). Pûtanâ, le démon qui voulut empoisonner Krishna, était une Dâkinî », Alain Daniélou, Mythes et dieux de l'Inde, le polythéisme hindou, Champs essais (ISBN 978-2-0812-3216-7), p. 438.
  27. http://www.vedicgranth.org/misconceptions-on-vedas/misconception-3---violence-against-animals-meet-eating-etc/non-violence-to-animals ; Kravy da –kravya [ meat obtained from slaughter] + Ada [ the eater]— the meat eater. Pisacha — pisita [meat] +asa [eater]—the meat eater. Asutrpa — Asu [breath of life] + trpa [one who satisfies himself on]—one who takes others life for his meals. Garba da and Anda da – the foetus and egg eaters. Mans da – the meat eaters. Meat eaters have always been looked down in Vedic literature. They have been known as Rakshasas, Pisacha and so on….All these words are synonyms of demons or devils that have been out-cast from the civilized human society."