Discussion:Violence

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Une erreur fondamentale de raisonnement est de ne pas distinguer "agressivité" et "violence" (la violence à un caractère acquis, au sens culturel...)

PROPOSITION DE MODIFICATION[modifier le code]

J'ai trouvé l'article trop orienté défense des animaux & des minorités. Ce qui n'est pas un mal, loin de là, mais donne des informations peu synthétiques sur ce que pourrait être une définition. Le jugement du lecteur doit être libre si notre définition doit être la plus large possible.

Ma proposition : Réorganisation des catégories de violences, dans le même mouvement que la suppression du pamphlet contre la violence envers les animaux. En effet chacun doit être libre, une fois informé de ce qu'est la violence, de reconnaître et juger la violence, qu'elle soit faite aux animaux, aux hommes, aux groupes, aux pays, etc.

Je me suis inspiré de l'article existant car il faut tenir compte du contexte dans lequel est écrit cet article, qui correspond aussi à notre société.


La violence est un terme général employé pour décrire un comportement aggressif, non-amical, non-pacifiste, bélligérant, ennemi, autrement dit violent, qui provoque la douleur, la peine.

La violence peut être :

  • verbale: des insultes, des mots qui blessent.
  • physique: des gestes violents qui font mal, des gifles, coups de poings, coups de pieds, armes blanches, armes à feu.
  • symbolique: une situation de domination légitime ou non d'une personne sur une autre, d'un groupe de personnes sur un autre, mais mal vécue par l'une des deux parties; exemples: autoritarisme d'une hiérarchie d'entreprise ou d'armée, organisation politique d'un pays, vie de famille mal vécue par un membre de la famille.
  • conjugale: quand le comportement d'un conjoint est identifiable à l'une des violences décrites ci-dessus (bien souvent physique) sur l'autre conjoint.
  • raciste: quand la victime d'une forme de violence est choisie par le violenteur uniquement sur des critères raciaux ou nationaux.

La violence caractérise l'aggressivité. Un comportement coléreux, aggressif, peut être perçu comme violent, et peut devenir violent.

La violence peut être légitimée. La légitime-défense, quand la victime de violence se défend par la violence, ou encore lorsqu'une armée en guerre provoque des morts violentes sous la responsabilité d'un Etat, dans le cadre des traités internationaux de guerre.

Elle peut être non légitimée comme la violence gratuite qui est un acte motivé par des causes psychiques internes au bélligérant, et juridiquement non recevables pour le gracier car il aura agit sans raison; auquel cas un traitement psychiatrique du violent devient nécessaire. Non légitimée quand l'acteur de la violence agit sciemment avec préméditation afin de commettre un délit: vol, kidnapping; auquel cas un traitement juridique et social du violent devient nécessaire.

Voir aussi[modifier le code]

Voir aussi[modifier le code]


Alors, qui pense quoi ?

--Joachim 21 sep 2004 à 15:42 (CEST)

Je n'ai pas bien compris, cette histoire de citation, de diplomatie, qu'est ce que ça veut dire ? (Je réponds sur la page de discussion) --Joachim 18 oct 2004 à 18:17 (CEST)

Raison du revert[modifier le code]

Si j'ai fait un revert pour revenir à la version du 31 janvier 2007, c'est parce que le contributeur IGOR_REITZMAN et plusieurs IP (que je soupçonne être la même personne) ont ajouter une analyse de cette personne [1] qui est le même nom que le contributeur enregistré. Comme il n'est aucunement fait mention qu'il soit issu du milieu académique, que les livres qu'il a publié l'ont été en autopublication (si je ne me trompe pas) et qu'il n'a selon moi que très peu de notoriété (présence sur des sites perso et celui d'associations), je juge son travail comme inédit et ne pouvant donc être présent sur Wikipédia.

Bien évidemment, si quelqu'un y voit une objection, je suis ouvert à la discussion. Sanao 14 mars 2007 à 21:14 (CET)[répondre]


Devoir effacer le texte de l'autre et prévoir un espace de discussion n'est pas cohérent[modifier le code]

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Une réponse tardive à Raison du revert[modifier le code]

Un grand merci à Jérémie, de m'avoir permis de connaître enfin la raison invoquée pour justifier l'élimination de mon texte en mars dernier et le retour à la version du 31 janvier 2007. Ancien dans la pratique des sciences humaines (on peut trouver quelques éléments biographiques dans le journal des arrivants), je suis un nouveau-né à Wikipedia. C'est hier seulement que j'ai découvert et utilisé cette possibilité de se présenter aux autres contributeurs dans le Journal. Puisque c'est la faiblesse de ma crédibilité externe ("très peu de notoriété") qui fut invoquée pour justifier l'effacement de mon texte, une logique élémentaire impliquerait que soient comparés les titres et les publications des deux contributeurs. Mais je me défie de l'argument d'autorité qui serait particulièrement malvenu dans un projet convivial comme Wikipedia. Il me semblerait plus judicieux de permettre aux Wikipediens sociologues de comparer les textes et de voir celui qui apporte la plus grande clarification sur un terme aussi essentiel. En effaçant purement et simplement la page que je proposais, Sanao – que je salue – a fait obstacle à ce que d'autres puissent à leur tour entrer dans la réflexion. Mais moi-même, j'avais donné l'exemple en effaçant ce texte qui me choquait pour installer le mien. Ce qui se passe ici doit se produire souvent, dès qu'il ne s'agit pas simplement d'ajouter des éléments ou de rectifier l'orthographe de quelques mots. Mais Sanao n'est pas plus coupable que moi. C'est le système qui doit être revu. Pourquoi ne pas admettre la coexistence provisoire de 2 textes concurrents, de façon à ce que les Wikipediens aient l'occasion de faire fonctionner leur esprit critique. Je vais y songer dès ce soir. Merci à Jérémie. --IGOR REITZMAN 26 août 2007 à 18:34 (CEST)[répondre]

Léger élargissment[modifier le code]

Bonjour,

j'ai un peu élargi l'article "légitimation et points de vue" (au pluriel) afin qu'il ne soit pas seulement juridique et religieux (vue la "vastitude" du sujet), avec quelques liens de plus.

Bonne année 2008, --Spiridon MANOLIU (d) 31 décembre 2007 à 12:24 (CET)[répondre]

Je modifie le passage sur la position des religions. On ne peut pas dire que le sacrifice est une façon d'instrumenter la violence : on recours au sacrifice dans un contexte de crainte de la violence de la divinité. C'est une violence orientée contre la violence. On ne peut non plus dire que certaines religions prohibent la violence et 2 lignes plus bas qu'aucune religion ne prohibe la guerre. Vicq (d) 24 février 2008 à 20:19 (CET)[répondre]

Barbecue ?[modifier le code]

D'où ça sort cette histoire de barbecue (dans violence personnelle, l'exemple est :"Par ex : aller à un barbecue alors que la semaine a été dure et que l'on préférerait passer l'après-midi en famille et pas au barbecue") ? Ca a l'air vecu ! Mais je ne croit pas que ce soit très wikipedia comme exemple !!!

Violence instituante et instituée[modifier le code]

Jusqu'ici la violence est par trop présentée sous des aspects particuliers. Je me suis permis d'ajouter quelques lignes sur la violence fondamentale, que des auteurs appellent aussi la violence banale ou fondatrice. C'est tout de même le point de départ de toutes les violences. René Girard le pensait aussi et il était donc bon, comme c'est déjà fait, de mentionner ses analyses, mais son interprétation est très personnelle et il convient donc de donner un cadre de lecture plus général, ce que j'ai tenté de faire brièvement. ANONYME, 1er juin 2009.


Étymologie[modifier le code]

J'ai remis l'étymologie du mot violence, fait part Jean-François Malherbe, Docteur en philosophie de l'Université catholique de Louvain et en théologie de l'Université de Paris.

Si cette définition vous gènes, et que vous avez un doctorat, vous pouvez en discuter : vous pouvez aussi proposer quelque chose d'autre mais de fondé. Mais retirer l'étymologie est un sabotage de la page.

Quand à la neutralité : il ne faut pas confondre neutralité du texte, et neutralité des faits : le monde n'est pas lisse et tout rose, il faut restituer les faits. ( on ne va pas par exemple atténuer la véracité de la shoah ou des guerres , on est d'accord )

--Kalki101 (d) 6 décembre 2009 à 13:37 (CET)[répondre]

Ce qui ne va pas[modifier le code]

"La violence désigne le comportement faisant emploi de la force, même verbale, afin de contraindre. " NON :

  • Comme vous pouvez le voir dans le reste de la page, il y a des violences psychologiques, des "forces" , c'est à dire que ce n'est pas son emploi qui la défini : mais le fait que la violence EST une force.
  • il n'y pas que des contraintes, première phrase est mauvaise. Contraindre est le deuxième mot qui ne va pas : il ferme déjà des portes à la compréhension de ce qu'est la violence.

(la violence n'est pas QUE la guerre , les méchants nazi, ou la bagarre : je caricature pour montrer la vision de cette première phrase dans la psyché d'un conformiste)

En tout je préfère une définition plus générale au début, (tel que l'étymologie) : puis vous pouvez ensuite citer et réduire a ce que vous voulez. --Kalki101 (d) 30 janvier 2010 à 11:21 (CET)[répondre]


Phrase incompréhensible[modifier le code]

La phrase : "La socialisation des organismes sociaux obligent à se conformer, le synonyme en biologie est ici domestication avec des exemples de domestication génétique sur plusieurs génération, de même que tout système organisé doit dans la pensée humaine ainsi que dans la pensée de celui qui veut avoir l'ascendant est de contrôler et d'exercer un pouvoir - sans pouvoir de plus sans empêcher (non-agir), ce qui équivaut dans la forme à un système fermé et hiérarchique conduisant à une vision du monde , qui peut même être a l'opposé des intentions des personnes composant cette organisation (ex : la gauche)."

est parfaitement incompréhensible à cause d'un usage incorrect de la grammaire et de la ponctuation. Que l'auteur se manifeste et y remédie.

Neutralité[modifier le code]

Par souci d'objectivité, j'ai reformulé certaines phrases à cause de l'utilisation abusive du terme "nous" dans cet article (qui est nous ?). Il faudrait éviter de modifier Wikipédia comme s'il s'agissait d'une dissertation.

Shilling (d) 30 juillet 2012 à 18:23 (CEST)[répondre]

L'article me convient.[modifier le code]

Je n'ai sûrement pas un avis très aiguisé, mais cet article me convient ! On voit beaucoup d'avis différents, scientifiques, psycologiques, philosophiques. Manifestement, à part peut être la violence animale, tous les points de vues sont abordés dans cet article. C'esttrès complet. Merci, vous m'avez bien aidé dans mes recherches.

Typologie des violences[modifier le code]

Il semblerait que le mot d'amphibien ne soit pas à sa place dans ce contexte ; dans le doute je ne l'ôte pas mais j'invite les auteurs de cet article à l'examiner. Par ailleurs, je trouve extraordinaire qu'en ce début de XXIe siècle, on puisse parler de violence en parlant si peu des travaux de René Girard, fondamentaux en la matière. --Nicolas Messina (d) 22 janvier 2013 à 14:59 (CET)[répondre]

Philosophie[modifier le code]

J'ai ajouté quelques réflexions plus fondamentales, donc plus philosophiques - avec e.a. références de Jean-Marie Muller qui est le spécialiste en langue française sur la question. Il est important de distinguer violence et force, violence et lutte, etc. et de mieux préciser ce qu'est la violence. J'ai ajouté quelques remarques sur la non-violence qui permet de mieux comprendre la violence a contrario.--SDVBruno 20 février 2013 à 10:23 (CET)

Suppression de la section :dans les sociétés primitives[modifier le code]

Cette section n'est pas suffisamment compréhensible et n'est qu'un point de vue discutable. La première phrase est contradictoire et sans références, et bien trop imprécise : de quelle violence parle-t-on ? Eviter le : ... a compris que... A restructurer, clarifier, référencer avant de publier ! Voici le texte que j'ai effacé :--SDVBruno 20 février 2013 à 10:42 (CET)

Dans les sociétés primitives[modifier le code]

Dans les sociétés primitives la violence ne faisait souvent qu’un avec la proximité du dieu - néanmoins les violences entre tribus, comme celles d'Australie, n'avaient pas de rapport avec la proximité du dieu selon Alain Testart.

À l'époque moderne, ce dieu n’apparaît plus, et la violence n’est plus exutoire : elle est privée de bouc émissaire (victime divinisée) et condamnée à l’escalade. Hölderlin, au temps de Hegel et de Clausewitz, a compris le danger de cette proximité des hommes entre eux. Car le dieu qui se mêlait aux hommes, chez les Grecs par exemple, c’était le dieu de la réciprocité, des doubles mimétiques, de la folie contagieuse. Il s’appelait Dionysos (c’est lui sur qui Nietzsche avait parié). Ce nom est celui que les Grecs ont donné à l’effroi que leur causait la promiscuité divine[1].

Histoire de la violence[modifier le code]

Je crée ce sujet pour discuter de l'intérêt d'une section sur l'histoire de la violence.

J'ai tout d'abord ajouté à l'article un court paragraphe sur le sociologue Norbert Elias, référence incontournable dans l'histoire des idées autour de la violence, mais surtout un plus long paragraphe sur l'apport de travaux récents en histoire du XIXème siècle (réputé dans l'imaginaire comme une époque de diminution de la violence), notamment du courant de l'histoire des sensibilités. Il y a je pense encore beaucoup a rajouté à propos de l'évolution des perceptions, des justifiations et des modes de violences à différentes périodes.--EME RomainC (discuter) 28 décembre 2020 à 17:02 (CET)[répondre]

Lien mort[modifier le code]

Violence à l'école: http://www.petitmonde.com/Doc/Article/Une_solution_pour_diminuer_la_violence_a_l_ecole_le_programme_Vers_le_pacifique

Première image malveillante[modifier le code]

L'image "Taux de violence physique pour 100 000 habitants par pays en 2002" n'a aucun rapport avec la violence. La citation associée indique « Mortalité et charge de maladie estimées en 2002 [archive] ». Ce n'est pas du tout la même chose : on peut considérer que la précarité et les guerres sont des choses violentes, mais dire "mortalité=violence" n'a aucun sens.

  1. Cette information ressort des échanges entre René Girard et Benoît Chantre dans Achever Clausewitz, éditions Flammarion, septembre 2007, (ISBN 978-2-35536-002-2)