Discussion:Violet

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Archivage[modifier le code]

Belgique, Québec[modifier le code]

Le 1 juin 2010 à 20:47 Utilisateur:Nikofontn (discuter|contributions) a ajouté le passage suivant (archive) :

« Si en France on emploie couramment le terme violet pour décrire cette plage de couleurs, au Québec et en Belgique on emploie plus généralement le mot mauve à cet effet. »

Il y a depuis longtemps une demande de référence, j'en ai moi-même cherché une activement, et la délimitation du champ chromatique violet m'apparaît peu claire dans tous les pays. J'ai trouvé des sources en abondance pour montrer qu'on emploie les trois termes violet, pourpre, mauve dans tous les pays francophones. Je crois que cette affirmation péremptoire est de nature à confondre les efforts de clarification basés sur des sources, plutôt que d'apporter une information. PolBr (discuter) 3 septembre 2014 à 20:53 (CEST)[répondre]

élaboration personnelle[modifier le code]

le 5 janvier 2017 à 18:22‎ Notification ThibautB : ajoute en tête de la section définition

« Le violet correspond à la dernière couleur visible dans l'arc en ciel pour l'oeil humain : sa fréquence en limite de perception arrive encore à exciter un peu les cônes S (bleu) et est quasiment le double de la fréquence d'absorption des cônes L (rouge) ce qui les fait légèrement réagir aussi (on approche la première harmonique de leur fréquence de résonance). Ainsi, en synthèse additive, le mélange bleu + rouge reproduit l'effet du violet.

La manière particulière dont nous percevons cette couleur explique les difficultés développées dans cet article : confusions existantes d'une culture à l'autre, sensation simultanée de couleur froide et chaude, mauvaise qualité en synthèse additive. »

  1. Aucune source pour cette élaboration.
  2. Elle contredit la définition sourcée qu'elle précède, en limitant la couleur violette à un rayonnement monochromatique.
  3. Il faut vraiment une référence pour « la première harmonique de leur fréquence de résonance », s'agissant de récepteurs optochimiques.

Si des sources venaient appuyer cette élaboration, elle serait mieux placé en conclusion de la définition, qu'en son début. PolBr (discuter) 5 janvier 2017 à 23:30 (CET)[répondre]

Moi je n'aurais pas dit le double mais 1,5 fois plus un peu comme la dominante en musique a une fréquence 1,5 fois plus grande que l'octave. Sylvainmot (discuter) 14 mai 2023 à 17:27 (CEST)[répondre]

Les longueurs d'onde négatives[modifier le code]

Moi je trouve que ça ne va pas de parler de longueurs d'onde négatives sans expliquer pourquoi. Il faut expliquer qu'on est obligé d'exprimer la gamme des violets pourpres en valeurs négatives parce que ce sont des couleurs non spectrales qui se situent au-delà du bleu-violet et qui ne sont pas par conséquent monochromatiques. Alors on est obligé de les relier à leurs complémentaires qui elles sont spectrales entre le vert et le jaune, d'où les valeurs négatives. Comment voulez-vous que quelqu'un qui découvre le sujet comprenne la raison de ces valeurs négatives ? Sylvainmot (discuter) 14 mai 2023 à 20:51 (CEST)[répondre]

Désolé d'être rabat joie à nouveau. Vous avez écrit : "Quand on repère les couleurs par longueur d'onde dominante et pureté d'excitation, on indique une longueur d'onde négative, parce que l'intersection de la droite qui relie le point représentatif de la couleur à la courbe du lieu spectral sur le diagramme de chromaticité se trouve de l'autre côté du blanc." C'est pas ça ! On indique une longueur d'onde négative pour les violets quand il n'y a plus de longueur d'onde tout simplement ! C'est-à-dire quand on sort du spectre du fait que le violet pourpre ne peut être obtenu que par un mélange de bleu et de rouge et non-plus par une seule longueur d'onde. C'est juste ça. Quel intérêt il y aurait d'exprimer une couleur monochromatique en regardant la longueur d'onde de sa complémentaire ? Le fait que les normes internationales disent que le violet est à -564 prouve que ce violet n'est pas monochromatique. Sinon ils auraient donné le chiffre positif de la longueur d'onde. Donc la limite du spectre n'est pas ce violet mais un violet plus proche du bleu. cqfd. Sylvainmot (discuter) 15 mai 2023 à 18:26 (CEST)[répondre]

Ce que vous dites n'est nullement en contradiction avec la phrase que vous critiquez. PolBr (discuter) 15 mai 2023 à 18:43 (CEST)[répondre]

Ah bon alors c'est pas clair. Où est marquée l'idée que si le violet dépasse la limite du spectre alors on est obligé d'écrire une longueur d'onde négative qui correspond à sa complémentaire située entre le jaune et le vert comme le violet normalisé à -564 ? Sylvainmot (discuter) 15 mai 2023 à 18:51 (CEST)[répondre]

Je vous remercie de vos corrections de syntaxe dans l'article ; mais votre résumé d'édition « On indique des longueurs d'onde négatives quand il n'y a plus de longueur d'onde tout simplement c'est-à-dire quand la couleur violette n'est plus spectrale », ainsi que votre réponse ci-dessus, promeuvent une notion de la couleur spectrale qui y inclut toutes les couleurs qui peuvent se reproduire avec une longueur d'onde dominante et du blanc, ce qui est fort inhabituel. PolBr (discuter)

Je ne sais pas ce qui vous laisse croire que j'inclus des couleurs désaturées ou délavées avec du blanc. Je n'ai jamais évoqué ça une seule fois. Je ne parle que des couleurs qui se situent à proximité de la courbe du diagramme de chromaticité, pas celles qui sont à l'intérieur. Et puis d'ailleurs qu'est-ce que ça change concrètement à notre propos ? Je ne regarde que les couleurs qui sont proches de la courbe et qui sont donc les plus pures. Et moi je vois du violet près de la ligne droite qui relie les deux extrémités du spectre. --Sylvainmot (discuter) 15 mai 2023 à 19:13 (CEST)[répondre]

Ça y est je crois que j'ai compris. C'est quand j'ai dit la ligne droite que vous avez pensé à n'importe quelle ligne droite qui relie une couleur avec sa complémentaire dans le diagramme. Mais moi évidemment je ne parlais que de la ligne droite des pourpres qui relie les deux extrémités du spectre le bleu-violet et le rouge. Sylvainmot (discuter) 15 mai 2023 à 19:24 (CEST)[répondre]

  1. Cette discussion n'a rien à voir avec le sujet de l'article.
  2. Vous parlez de longueur d'onde dominante, comment la déterminez-vous ?
PolBr (discuter) 15 mai 2023 à 19:44 (CEST)[répondre]
Ça a à voir avec le sujet puisque je parle de la ligne des pourpres et des violets dans le diagramme de chromaticité. Comment je fais pour déterminer les longueurs d'onde dominantes ? Je ne fais rien. Je me fie à celles qui sont écrites sur le diagramme de chromaticité. La seule chose que je fais c'est observer les couleurs peintes sur ce diagramme et reconnaître les bleu-violet, les violets, les violets pourpres, les pourpres, les roses et les rouges magenta. Et je me dis que si ces couleurs sont bien représentées alors la limite du spectre c'est d'un côté le bleu outremer et de l'autre le rouge. Quand la norme de colorimétrie dit que le violet est à -563, je les crois et je regarde à quoi correspond le 563 et je tombe sur un vert-jaune. Le violet complémentaire de ce vert-jaune n'est pas monochromatique. Mais je ne sais pas quelle est la vraie limite du spectre peut-être entre 440 et 380. Pour le rouge c'est peut-être entre 620 et 680. Comment le savoir ? Si les spécialistes ne peuvent pas mesurer de manière précise cette limite, quelle théorie pourrait me permettre d'avancer un chiffre magique ? Si je dis pour rigoler que c'est 440 pour le bleu-violet comme le la 440 et que c'est 660 pour le rouge comme le mi 660 la quinte du la, on pourrait me prendre pour un fou et il-y-aurait de quoi. Mais qui sait ? Moi je parie que c'est environ 450 et 630 pourquoi pas ? Suivent les longueurs d'onde pour chaque couleur primaire : bleu 450, bleu céleste 490, vert 530, jaune 580, rouge 630. Sur le diagramme on voit à peu près une raie de lumière jaune autour de 580 et une raie de lumière bleu céleste autour de 490. Donc ça colle à peu près. La limite à peine perceptible des bleu outremer irait environ jusqu'à 400 et celle des rouges jusqu'à 700. La progression serait exponentielle d'où les écarts qui augmentent en allant de + 40 à + 50 environ avec une moyenne de 45. En calculant les logarithmes décimaux multipliés par 1000 on obtient des valeurs quasi régulières en progression arithmétique entre + 36 et + 37 en moyenne : 2653, 2690, 2724, 2763, 2799. En ajustant on obtient 2653, 2690, 2727, 2764, 2801. Les longueurs d'onde avec la formule inverse (10 puissance L/1000) seraient alors plus précisément : 450, 490, 533, 580, 632. Je sais ça sert à rien et c'est sans-doute faux mais ça me fait plaisir. Sylvainmot (discuter) 15 mai 2023 à 20:30 (CEST)[répondre]