Discussion catégorie:Article du projet Psychologie d'importance inconnue

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Fugue dissociative[modifier le code]

La fugue dissociative peut à mon avis être définie comme un refuge suite à un ébranlement dû à une puissante déception émotionnelle.

Il s'agit à mon sens d'une forme de résilience après un choc émotionnel stupéfiant. Le sujet se protège ainsi délibérément d'une maltraitrance émotionnelle de la part du "maltraitant", avec lequel il rompt le contact émotionnel et réel. D'où repli en un lieu retranché et refus d'entrer en relation avec le maltraitant s'il se présente... pour le "consoler"..., D'où aussi fugue éventuellement.

Dans le triangle de Karpman, la "victime" refuse le conflit et se retire.

Ceci peut se vivre entre adultes comme entre adulte et enfant dans ce que j'appelle "l'engrenage des troubles de l'attachement" ,dont j'expliquerai ultérieurement ma manière de considérer les familles souffrant de troubles de l'attachement" (au départ des travaux de Bolwby entre autres).

Lorsque l'enfant "présente" des troubles de l'attachement et que le parent retrouve dans le comportement de l'enfant des blessures archaïques personnelles, ce dernier risque d'être loin du tuteur de résilience nécessaire (Cyrulnik) et la maltraitance réciproque comme le harcèlement sont proches.

Mais l'un des deux acteurs peut aussi entrer en "fugue dissociative" pour éviter le conflit qui risquerait de devenir plus traumatisant encore.

-- PierreR 23 janvier 2008 à 01:28 (CET)