Dominique Bachelet

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().

Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

La mise en forme de cet article est à améliorer ().

La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».

Dominique Bachelet
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Conservation Biology Institute (d) ( - )
Université d'État de l'OregonVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinction

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Dominique Bachelet est scientifique senior en changement climatique et professeure associée à l'Oregon State University.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance, éducation et débuts[modifier | modifier le code]

Bachelet passe la majeure partie de son parcours universitaire en France à étudier la biologie végétale, l'écologie et la pathologie[1]. Elle obtient un DEUG B (Diplôme d'études universitaires générales) en 1976 à l'Université des Sciences et Techniques[1]. En 1978, elle valide une maîtrise en biologie végétale et en 1979, termine son DEA (Diplôme d'études approfondies). Elle passe son doctorat en 1983 à l'Université d'État du Colorado[1].

Carrière[modifier | modifier le code]

Bachelet est écologiste quantitative de 1988 à 1994 au laboratoire de recherche environnementale de l'Environmental Protection Agency à Corvallis[1]. Elle travailler à l'Oregon State University en 1988, en qualité de professeure associée[2] dans les domaines du changement climatique, des incendies et de l'écologie[1]. Pendant son séjour à l'OSU, elle est également directrice de la science du changement climatique de 2007 à 2008 au Nature Conservancy, puis en 2009, elle devient responsable scientifique du changement climatique au Conservation Biology Institute[2]. De 2013 à 2015, elle donne des dizaines de présentations à des organisations de sciences environnementales parlant du changement climatique et de ses impacts sur l'écosystème[1].

Elle travaille pour rendre la science plus accessible, en créant des ressources Web avec diverses organisations scientifiques[1],[3]. Elle retourne à l'Oregon State University en 2017, mais a poursuivi son travail de sensibilisation, obtenant des informations précieuses pour les étudiants, les scientifiques et les universitaires[1].

Travaux[modifier | modifier le code]

Bachelet est connue pour ses travaux axés sur les impacts du changement climatique et des perturbations associées sur la végétation et les bilans de carbone[4], par exemple, son travail faisait partie du premier modèle dynamique global de végétation MC1. Ses contributions au domaine de la "science du changement climatique, en particulier en utilisant la modélisation de simulation de la réponse de l'écosystème au changement environnemental" sont à la base de son élection en tant que membre de l'American Association of the Advancement of Science[1]. Son travail de modélisation est essentiel pour faire progresser les modèles de feu mondiaux et comprendre les multiples interactions entre la biosphère et l'atmosphère[5].

Bachelet travaille dans un certain nombre de projets de collaboration avec l'État de l'Oregon, l'Institut de biologie de la conservation et le bassin de données, qui visent à communiquer des informations sur le changement climatique à la communauté.

  • Emballage des informations utilisables sur le changement climatique pour l'armoise (2015)[6]
  • Outil de sélection de lots de semences climato-intelligents (2016), Création d'outils climatiques utiles et utilisables (2016) [7],[8]
  • Gestionnaires d'armoise et outils sur le changement climatique (2014) [9]
  • Création d'un indice de vulnérabilité des sols pour identifier les zones sensibles à la sécheresse (2011 à 2013)[10]
  • Estimation des pools et des flux de carbone à l'aide d'une DGVM avec affectation des sols prescrite : contribution du MC1 au projet Land Carbon (2012 à 2016) [11]
  • Scénarios intégrés du climat, de l'hydrologie et de la végétation pour le nord-ouest et projection des effets futurs de la gestion des terres, des perturbations naturelles et du CO 2 sur l' empiétement ligneux dans les grandes plaines du nord dans un climat changeant (2012 à 2014)[12],[13]
  • Vulnérabilité des sols au climat futur dans la coopérative de conservation du paysage des Rocheuses du Sud, avec des implications pour le changement de la végétation et le cycle de l'eau (2015)

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

  • Membre de l'Association américaine pour l'avancement des sciences, 2017[1]
  • À l'Oregon State University, elle a remporté le prix des services de 10, 20 et 25 ans pour ses contributions au campus[1].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Dominique Bachelet parle français et anglais. Bien qu'elle soit souvent occupée par ses recherches sur le terrain, elle aime les activités de plein air comme la randonnée, le vélo et le kayak de mer[1].

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a b c d e f g h i j k et l (en) « Dominique Bachelet », sur College of Agricultural Sciences (consulté le )
  2. ↑ a et b « Dominique Bachelet's Home Page », www.fsl.orst.edu (consulté le )
  3. ↑ (en) Biological et D, « Dominique Bachelet | Ph D | Oregon State University, Oregon | OSU | Department of Biological and Ecological Engineering », ResearchGate (consulté le )
  4. ↑ (en) Smith, Kolden, Prichard et Gray, « Recognizing Women Leaders in Fire Science », Fire, vol. 1, no 2,‎ , p. 30 (DOI 10.3390/fire1020030)
  5. ↑ (en) Hantson, Arneth, Harrison et Kelley, « The status and challenge of global fire modelling », Biogeosciences, vol. 13, no 11,‎ , p. 3359–3375 (ISSN 1726-4189, DOI 10.5194/bg-13-3359-2016, Bibcode 2016BGeo...13.3359H, lire en ligne)
  6. ↑ (en) Melanie, « Packaging Usable Climate Change Information for Sagebrush Country », ScholarsArchive@OSU,‎ (lire en ligne)
  7. ↑ « Climate-smart Seedlot Selection Tool: Seed Sources for Reforestation and Restoration in the 21st C -- Conservation Biology Institute », consbio.org (consulté le )
  8. ↑ « Creating Useful and Useable Climate Tools for Sagebrush Land Management Through Scientist and Manager Collaboration », consbio.org (consulté le )
  9. ↑ « Sagebrush Manager & Climate Change Research Group | Galleries | Data Basin », databasin.org (consulté le )
  10. ↑ « Creating a Soil Vulnerability Index for North Pacific LCC », consbio.org (consulté le )
  11. ↑ « Estimating carbon pools and fluxes using a DGVM with prescribed landuse: MC2 contribution to the LandCarbon project », consbio.org (consulté le )
  12. ↑ « Integrated scenarios of climate, hydrology, and vegetation for the Northwest », consbio.org (consulté le )
  13. ↑ « Projecting Future Effects of Land Management, Natural Disturbance, and CO2 on Woody Encroachment in the Northern Great Plains in a Changing Climate », consbio.org (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Dominique_Bachelet&oldid=210450734 ».