Elizabeth Graeme Fergusson
Pour les articles homonymes, voir Fergusson.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Sépulture | |
| Nationalité | |
| Domicile | |
| Activités | |
| Mère |
Ann Diggs Graeme (d) |
| Archives conservées par |
|---|
Elizabeth Graeme Fergusson, née Elizabeth Graeme, aussi appelée Ferguson, née le à Philadelphie en Pennsylvanie et morte le près de Philadelphie, est une écrivaine américaine.
Biographie[modifier | modifier le code]
Elizabeth Graeme naît le à Philadelphie[2]. Elle est le plus jeune enfant du Dr Thomas Graeme et de sa femme, Ann Diggs[3].
Elle grandit dans une famille riche et influente[2].
Vers 1757, elle se fiance avec William Franklin, fils de Benjamin Franklin, mais l'opposition des deux familles à un tel mariage, ainsi que l'absence de William à Londres avec son père, met fin à cette relation[2]. Entre 1764 et 1765, elle séjourne à Londres, où elle rencontre plusieurs personnalités littéraires et scientifiques de premier plan[2]. Elle traduit Télémaque de Fénelon[2]. Pratiquement aucun de ses écrits n'est publié de son vivant[2].
Le elle épouse Henry H. Fergusson[3], qui passe une grande partie de son temps en Angleterre alors qu'elle reste à Graeme Park[2]. Pendant la Révolution américaine, son mari est loyaliste, alors qu'elle soutient légèrement la cause Whig[2].
Elle meurt le près de Philadelphie[2].
Références[modifier | modifier le code]
- « http://dla.library.upenn.edu/dla/pacscl/ead.html?id=PACSCL_LCP_LCPFergusson » (consulté le )
- Encyclopædia Britannica.
- Hastings 1931, p. 331.
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- (en) George E. Hastings, « Ferguson, Elizabeth Graeme », dans Dictionary of American Biography, vol. 6, (lire en ligne), p. 331-332.
- (en) Joyce Appleby, Eileen Chang et Neva Goodwin, « Ferguson, Elizabeth Graeme », dans Encyclopedia of Women in American History, Routledge, , 800 p. (ISBN 9781317471622, lire en ligne), p. 100
- (en) Encyclopædia Britannica (lire en ligne).
