Eugène Parlier

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Eugène Parlier
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Eugène Parlier
Biographie
Nationalité Suisse
Naissance
Montreux (Suisse)
Décès (à 88 ans)
Montreux (Suisse)
Taille 1,77 m (5 10)
Période pro. 19481966
Poste Gardien de but
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1948-1949 Cantonal Neuchâtel
1949-1954 Servette Genève
1955-1959 Urania Genève Sport 091 0(0)
1960-1964 FC Biel-Bienne 108 0(0)
1964-1965 Lausanne-Sports 002 0(0)
1965-1966 Étoile Carouge
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1952-1960 Suisse 021 0(0)
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris).
Dernière mise à jour : 10 février 2014

Eugène Parlier est un footballeur suisse né le à Montreux et mort le [1] à Montreux[2]. Gardien de but très populaire, il est surnommé Gégène[3],[4].

Biographie[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

En sélection[modifier | modifier le code]

  • 21 sélections
  • le 26 juin 1954, à Lausanne, devant 31 000 spectateurs, lors de la Coupe du monde, la Suisse est éliminée par l’Autriche (7-5) en quarts de finale. Eugène Parlier est le gardien de l’équipe vaincue[4].
  • le 10 octobre 1954 à Budapest, devant 100 000 spectateurs, la Hongrie, décidée à effacer, devant son public, sa récente déconvenue en finale de la Coupe du monde bat la Suisse (3-0). Face à ceux qui restaient, malgré leur défaite, les meilleurs footballeurs du monde, Parlier avait effectué 64 plongeons et arrêté un penalty tiré par Ferenc Puskás, un maître en la matière[4].

Clubs[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Eugène Parlier est décédé », sur 24 Heures.ch, (consulté le )
  2. Eugène Parlier, 88. In: NZZ am Sonntag, 5. November 2017, S. 21.
  3. Sabine Kennel, « Aux buts et au bois », Scènes de ménage, Radio télévision suisse (RTS) « Eugène Parlier, dit Gégène »,‎ (lire en ligne [vidéo])
  4. a b et c Dino Di Meo, « Les quinze Coupes du monde revisitées Suisse 1954 : Gégène électrise les foules. Grâce à son gardien, la Suisse atteint les quarts. Et l'Allemagne triomphe. », Libération,‎ (lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]