Eygurande

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Eygurande
Eygurande
Blason de Eygurande
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Didier Beaumont
2020-2026
Code postal 19340
Code commune 19080
Démographie
Gentilé Eygurandais, Eygurandaises
Population
municipale
690 hab. (2021 en augmentation de 1,17 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 44″ nord, 2° 27′ 10″ est
Altitude Min. 709 m
Max. 904 m
Superficie 34,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Ussel
Législatives Première circonscription
Localisation
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Eygurande

Eygurande (Eiguranda en occitan), est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Eygurandais et les Eygurandaises.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom d'Eygurande (attestation de 1300 Aygurandia[1]) vient du toponyme gaulois *egoranda (ou *equoranda[2]) dont l'évolution la plus fréquente en France est Ingrandes. Egoranda devait fondamentalement signifier "limite" et correspondait souvent à la frontière entre deux peuples gaulois.

À l'époque gauloise, Eygurande était située à la limite entre les Lémovices et les Arvernes, qui devint ensuite limite entre les diocèses de Limoges et de Clermont-Ferrand, puis entre le Limousin et l'Auvergne, enfin, entre la Corrèze et le Puy-de-Dôme lors de la création des départements en 1790.

Par mécoupure, Eiguranda a été interprété, dans l'occitan local récent, comme Las Gurandas[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Massif central à 743 mètres d'altitude, Eygurande, parsemée des champs Corréziens est à la limite du département du Puy-de-Dôme, et de la Creuse. La commune est arrosée par le ruisseau de la Barricade.

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 113 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ussel à 17 km à vol d'oiseau[7], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 156,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Eygurande est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (33 %), prairies (29,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Eygurande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Eygurande.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 355 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 2] situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[22]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Eygurande est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Site préhistorique occupé à l'époque gallo-romaine.

Châtellenie appartenant aux seigneurs d'Ussel au Moyen Âge. Puis aux Villelume, Amable de Villelume, dame d'Eygurande vend ce fief le à Anne de Lévis duc de Ventadour.

En 1584 : construction de la "Maison de notaire" dite tour Choriol.

Lors de la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention, la commune change de nom pour La-Montagne.

En 1922 : construction de la chapelle Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame-d'Eygurande.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 J.-m. Choriol    
1791 1792 Valette    
1792 1793 J. Sudrie    
1793 1796 G. Levadour    
1796 1800 J. Simonnet    
1800 1816 J.-m. Choriol    
1816 1825 G. Levadour    
1825 1832 A. Choriol    
1832 1835 J.-p. Simonnet    
1835 1852 A. Longy    
1852 1855 M. Constanty    
1855 1899 François Longy Républicain Conseiller général du canton d'Eygurande (1867-1899)
         
    Annet Thomas Rad. Conseiller général du canton d'Eygurande (1925-1940)
         
mars 2001 mars 2008 René Bertrand DVD  
mars 2008 mars 2014 Daniel Estival[26] DVD  
mars 2014 mai 2020 Jeannine Vivier   Retraitée
mai 2020 En cours Didier Beaumont   Enseignant

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28]. En 2021, la commune comptait 690 habitants[Note 3], en augmentation de 1,17 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 000991908912921990983992983
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0039561 0001 0201 1321 1221 0771 0071 067
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0231 0211 020962864835838888787
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
810805791827794779720701678
2018 2021 - - - - - - -
686690-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Production du fromage : La fromagerie des Chanterelles est installée au lieu-dit les Renards sur la commune. Dans le respect des traditions, c'est là que se sont fabriqués la Fourme des Chanterelles, Meule, bleu, CorrÉzien, P'titDome...

Fourme limousine sur Monestier Merlines.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame d’Eygurande[modifier | modifier le code]

En 1942 : petite chapelle se trouvant à Eygurande, elle est appelée aussi Vierge à l'Enfant qui a été un lieu de pèlerinage.

Le pèlerinage existe toujours et si les personnes présentes sont en nettement moins nombreuses d'année en année, ce pèlerinage a lieu le 1er dimanche du mois de septembre.

Église Saint-Loup-de-Limoges[modifier | modifier le code]

Petite église romane nommée Saint-Loup-de-Limoges des XIVe – XVIIe siècles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[31].

Fontaine de dévotion de la Vierge[modifier | modifier le code]

Fontaine à proximité de la chapelle de la Vierge, au bâti sommairement maçonné, elle rend toute datation impossible et est couverte d'une ancienne meule de moulin et fermée par un battant en bois portant une croix. Elle devenue fontaine de dévotion en 1720, lors de l'invention d'une statuette de la Vierge à l'Enfant dans un pré situé à proximité, la statuette aurait alors été nettoyée dans l'eau de la fontaine. C'est un lieu de pèlerinage encore important aujourd'hui.

Croix du cimetière[modifier | modifier le code]

Construite au troisième quart du XIXe siècle, c'est une croix érigée vraisemblablement à la suite de la translation du cimetière vers 1861, 1862.

Massif des Agriers[modifier | modifier le code]

Le massif des Agriers est un ensemble forestier remarquable permettant des promenades très agréables dans une nature préservée.

Le massif des Agriers est composé de terrains provenant de la baronnie de Châteauvert, de biens de sections des communes de Couffy-sur-Arsonne, Eygurande, Lamazière-Haute et d’acquisitions plus récentes complémentaires.

Avant la Révolution, les sols Agriers, conservés à l’état naturel de bruyères et de genévriers étaient mis à disposition, exclusivement comme parcours à moutons par le tenant du fief, aux paysans, en échange de corvées.

Ce massif qui culmine à 915 m au Puy du Vareyron, bien propre d’un groupement syndical forestier, est géré par l’Office national des forêts.

D’une superficie totale de quelque 600 hectares, en majeure partie destinée à la production forestière : peuplement résineux, introduction du hêtre, le massif des Agriers réserve 130 hectares à la conservation du paysage originel, au tourisme et aux activités de plein air :

  • au puy du Vareyron, table d’orientation développant 360° de panorama notamment sur les monts d’Auvergne et du Limousin
  • arbre-repère, récemment réimplanté en remplacement de l’arbre des tûtes
  • chalet d’accueil et aire de repos, point de départ de randonnées
  • pièce d’eau
  • arboretum de 4 ha, 60 espèces introduites feuillus et résineux
  • carrefour de la croix des 4-Arbres
  • la plaine des Filles : monument rustique à légende
  • aire de détente de Chez Nanet avec « le puits à banlève »
  • aire de la Pierre du Loup à Lachaud.

Fontaine abreuvoir[modifier | modifier le code]

Fontaine-abreuvoir en granit située à la Vialatte.

Moulin de Puyloubec[modifier | modifier le code]

Construit au troisième quart du XIXe, c'est le premier moulin avec parties agricoles porté sur la carte de Cassini, vendu comme bien national. Détruit, il a été deuxième moulin porté sur le cadastre de 1819. Il a ensuite été entièrement reconstruit vers 1850/1860 avec reprises et adjonction de bâtiments de ferme. Le chaume de la toiture a été remplacé par du fibro-ciment, une seule paire de meules sur deux autrefois est encore en activité aujourd'hui.

Le rez-de-chaussée du moulin est occupé par le mécanisme du moulin et le four à pain, le logement du meunier et les meules sont à l'étage.

Maison de notaire dite Tour Choriol[modifier | modifier le code]

Maison primitive construite en 1584, vraisemblablement pour le sieur Choriol, notaire royal (les Choriol sont notaires à Eygurande de la fin du XVIe siècle à 1846), sans doute composée d'une seule pièce par étage avec escalier de distribution en vis en demi-hors-œuvre, bâssière et cave voûtée en rez-de-chaussée. Escalier détruit et modification des ouvertures et de la distribution avec aménagement d'une aile en retour abritant un escalier d'accès aux étages sans doute dans la seconde moitié du XIXe siècle. La partie haute de l'ancienne tour d'escalier est refaite en brique, sans doute en même temps que la charpente. Cuve à lessive en terre déposée dans le grenier. Restauration en cours en 1989.

Plateau de la Bourgeade[modifier | modifier le code]

Plateau situé au lieu-dit la Bourgeade, à Eygurande.

Plan d’eau de l’Abeille[modifier | modifier le code]

Lac artificiel de loisirs situé entre Merlines et Eygurande construit dans les années 1970.

Pont Charraud[modifier | modifier le code]

Vieille substruction gallo-romaine se trouvant au pont Charraud.

Menhir du Pialou[modifier | modifier le code]

Menhir ancien se trouvant à Eygurande.

Site gallo-romain du Montcheny[modifier | modifier le code]

Site de l'époque gallo-romaine se trouvant au lieu-dit le Montcheny, à Eygurande.

La gare[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Eygurande Blason
Écartelé : au 1er de gueules à trois bandes d'or, au 2e d'or à trois chevrons de sable, au 3e de gueules à trois étoiles d'or, au 4e d'argent au lion de gueules, sur le tout échiqueté d'or et de gueules de six tires[32].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 5
  2. Cf. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, PUF, 1969, coll. Que sais-je ?, p. 40., et Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Edition Errance, 1994.
  3. Yves Lavalade, Les Noms de lieux des Pays d'Ussel et d'Eygurande (Corrèze) : Chaveroche, Lignareix, Mestes, St-Angel, St-Etienne-aux-Clos, St-Exupéry-les-Roches, St-Fréjoux, St-Pardoux-le-Vieux, Ussel, Valiergues ; Aix, Couffy-sur-Sarsonne, Courteix, Eygurande, Feyt, Lamazière-Haute, Laroche-près-Feyt, Merlines, Monestier-Merlines, St-Pardoux-le-Neuf, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2019.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Eygurande et Ussel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ussel-Lamartine » (commune d'Ussel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Ussel-Lamartine » (commune d'Ussel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Eygurande », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Eygurande », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. « Les maires de Eygurande », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  26. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Eglise paroissiale Saint-Loup-de-Limoges », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Héraldique médiévale », sur worldhistory.org (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Yves Lavalade, Les Noms de lieux des Pays d'Ussel et d'Eygurande (Corrèze) : Chaveroche, Lignareix, Mestes, St-Angel, St-Etienne-aux-Clos, St-Exupéry-les-Roches, St-Fréjoux, St-Pardoux-le-Vieux, Ussel, Valiergues ; Aix, Couffy-sur-Sarsonne, Courteix, Eygurande, Feyt, Lamazière-Haute, Laroche-près-Feyt, Merlines, Monestier-Merlines, St-Pardoux-le-Neuf, Éditions de l'Esperluette, Limoges, 2019.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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