Familles d'Adhémar
Pour les articles homonymes, voir Adhémar.
Il existe plusieurs familles d'Adhémar, ou d'Azémar, dont certaines sont subsistantes.
Maison d'Adhémar (Dauphiné)[modifier | modifier le code]
Famille éteinte de la noblesse française.
Famille d'Adhémar (Rouergue)[modifier | modifier le code]
Famille de la noblesse française dont deux branches sont subsistantes.
Famille d'Adhémar (Gard)[modifier | modifier le code]
La famille d'Adhémar, ou d'Azémar, originaire de Saint-Maurice-de-Cazevieille, dans le Gard, est subsistante. Ancienne extraction 1477[1],[2],[3],[4].
- Pierre Melchior d'Adhémar (1740-1821), officier, sous-préfet de l'arrondissement d'Uzès (1803), préfet du Var (1806), baron de l'Empire (1810), conseiller de préfecture du Gard (1812-1821)
Famille d'Azémar de Fabrègues (Hérault)[modifier | modifier le code]
La famille d'Azémar de Fabrègues, originaire de Saint-Martin-de-Londres, dans l'Hérault, est subsistante. Ancienne extraction[2],[5].
Les branches de Labaume, de Montréal sont éteintes.
Famille d'Azémar (Vivarais)[modifier | modifier le code]
- Famille d'Azémar (Dazémar), baron de l'Empire 1811[6], famille éteinte
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 1er, pages 49 à 50 Adhémar de Saint-Maurice de Cazevielle (d')
- Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, tome 1 [lire en ligne].
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 2007, page 28
- Arnaud Clement, La noblesse française, Academia, 2020, page 49 : « Adhémar (d') (olim d'Azémar de Saint-Maurice de Cazevielle), Languedoc : ancienne extraction 1477, suivie depuis Bernard Azémar. Maintenue noble 1666, le 11 janvier 1669 par Bezons sur preuves de 1477. La famille d’Azémar reprit le nom d’Adhémar par ordonnance royale du 18 janvier 1817, cassée sur protestation de la famille d’Adhémar de Cransac et de Panat par ordonnance du 2 juin 1819, puis rétablie par arrêt de la Cour de Nimes le 6 juin 1839 et par arrêt de la Cour de Cassation du 8 mars 1841. Preuves pour les Ecoles Royales Militaires le 1er mai 1782 et devant Chérin le 1er mai 1784. Baron de l'Empire le 15 août et 28 décembre 1810. Confirmation du titre de Comte le 26 mai 1854. Postérité de Pierre-Melchior (1740-1821). D’or à trois bandes d’azur ».
- Arnaud Clement, La noblesse française, Academia, 2020, page 77
- Arnaud Clement, La noblesse française, Academia, 2020, pages 76 à 77
