Ferdinand Virieux

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Ferdinand Virieux
Fonctions
Conseiller d'État vaudois
–
(21 ans, 10 mois et 18 jours)
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance L'Étivaz
Date de décès (à 68 ans)
Lieu de décès Lausanne
Nationalité Drapeau de la Suisse Suisse
Parti politique Parti radical-démocratique
Diplômé de Académie de Lausanne et Université de Leipzig
Profession Avocat, substitut du procureur général, juge cantonal, directeur de la Banque cantonale vaudoise
Religion Protestant
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Ferdinand Virieux, né le à L'Étivaz et mort le à Lausanne, est un avocat, un juge, un directeur de banque et une personnalité politique suisse, membre du Parti radical-démocratique[1],[2].

Biographie[modifier | modifier le code]

De confession protestante, originaire de Carouge, Ferdinand Virieux est le fils de Joseph Virieux et de Catherine Piccard. Il épouse Albertine Chevalley. Il fait des études de droit à l'académie de Lausanne et à Leipzig et obtient sa licence en 1879 avant de faire un stage d'avocat dans l'étude de Louis Ruchonnet. Ayant obtenu son brevet en 1881, il travaille comme avocat à Yverdon dès 1883, puis comme associé d'Eugène Ruffy à Lausanne dès 1885. Il est en outre substitut du procureur général dès 1886 et juge cantonal dès 1889. Il est le directeur de la Banque cantonale vaudoise de 1912 à son décès et membre du conseil de la Banque nationale suisse. Il a le grade de lieutenant-colonel dans l'Armée suisse[1],[2].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Membre du Parti radical-démocratique, Ferdinand Virieux est élu conseiller d'État le  ; il y est responsable du département de justice et police, puis de celui de l'nstruction publique et des cultes dès 1900 et de celui des finances entre 1901 et le [2],[3].

Références[modifier | modifier le code]

Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
  1. ↑ a et b « Base de données des élites suisses au XXe s. », sur www2.unil.ch (consulté le ).
  2. ↑ a b et c « Ferdinand Virieux » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
  3. ↑ « Histoire du Conseil », sur www.vd.ch (consulté le ).
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