Forêt de Beynes
| Forêt domaniale de Beynes | ||||
 Panneau ONF de la forêt domaniale de Beynes | ||||
| Localisation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Coordonnées | 48° 50′ 59″ nord, 1° 51′ 12″ est | |||
| Pays |  France
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| Région | Île-de-France | |||
| Département | Yvelines | |||
| Géographie | ||||
| Superficie | 435[1] ha | |||
| Longueur | 3,4 km | |||
| Largeur | 1,9 km | |||
| Altitude · Maximale · Minimale |
105 m 144 m 71 m |
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| Compléments | ||||
| Statut | Forêt domaniale | |||
| Administration | Office national des forêts | |||
| Essences | chêne pédonculé, hêtre, charme | |||
| Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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La forêt de domaniale de Beynes se trouve dans les Yvelines (France), sur les communes de Beynes et Saulx-Marchais.
Histoire[modifier | modifier le code]
La forêt a été autrefois un massif très giboyeux, les premiers tracés de route de chasse datent de François Ier dont les maîtresses habitaient Beynes[2].
La forêt a pu être aménagée dès le XVe siècle par Guillaume d'Estouteville, seigneur de Beynes que quelques auteurs[Qui ?] ont dit avoir été grand-maître & général réformateur des eaux et forêts de France vers 1425[3].
En 1923, la famille Chabannes la Palice vend la forêt à David David-Weill, banquier[4].
Le , l’État français acquiert la forêt pour la somme de neuf millions cinquante mille francs.
Flore[modifier | modifier le code]
Le chêne (92 %) est l'essence majoritaire de cette forêt domaniale. Parmi les essences minoritaires l'on rencontre le hêtre et le charme (3 %), le bouleau et le tremble (3 %), des fruitiers, et des ormes et divers (2 %).
Installations gazières[modifier | modifier le code]
La forêt est ponctuée d'installations gazières reliées au centre de stockage souterrain et à la station de compression de Beynes[5],[6],[7].
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Site de la ville
- Jacques Tréton, Montainville, joli village du Pincerais, 1997.
- Louis Moréri, Le Grand Dictionnaire historique ou le Mélange curieux de l'histoire sacrée, 1759, p. 256
- Annales des épiphyties, Volumes 8 à 9, INRA, p. 4
- https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/110001385.pdf (« les chênaies paraissent assez banales et sont en maints endroits altérées par les installations de Gaz de France »)
- Véronique Beaugrand, « Gaz : sécurité renforcée sur le site de Beynes », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- http://www.grtgaz.com/fileadmin/grands_projets/beynes/documents/fr/lettre-info-n7-beynes.pdf
