Frédéric Koch
| Frédéric Koch | |
| Naissance | Ancien 8e arrondissement de Paris |
|---|---|
| Décès | (à 59 ans) Montpellier |
| Origine |  France
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| Arme | Infanterie |
| Grade | Général de brigade |
| Distinctions | Officier de la Légion d'honneur |
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Frédéric Koch, né le à Paris[1],[2] et mort le à Montpellier, est un militaire français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Né à Paris de Jean-Baptiste Koch (1782-1861), chef de bataillon, et Françoise Césarine Guillemot. Il entre à Saint-Cyr en 1848[3]. Puis il fait toute sa carrière dans l'infanterie : nommé sous-lieutenant du 6e régiment d'infanterie légère le 1er octobre 1850, capitaine lors de la Guerre de Crimée en 1855, nommé chef de bataillon lors de la guerre franco-allemande de 1870, colonel du 102e régiment d'infanterie le 9 juillet 1882 et promu finalement général de brigade le 29 mars 1889 à la 61e brigade d'infanterie[4].
Il épouse Henriette Marie Monard (1843-1932) le 26 octobre 1871[5].
À la suite d'une chute de cheval, il meurt le 20 mars 1890[6],[7],[8]. Ses obsèques ont lieu au temple protestant de Montpellier avant le transfert de sa dépouille sur Paris[9]. Il est inhumé, en compagnie de son épouse, au cimetière du Père-Lachaise (91e division)[10].
Postes[modifier | modifier le code]
- 6e régiment d'infanterie légère [5]
- 81e régiment d'infanterie de ligne[5] ;
- 141e régiment d'infanterie de ligne[5] ;
- 102e régiment d'infanterie[5] ;
- 61e brigade d'infanterie[6].
Grades[modifier | modifier le code]
- Sous-lieutenant (1er octobre 1850)[5] ;
- Lieutenant (30 décembre 1852)[5] ;
- Capitaine (1er septembre 1855)[5] ;
- Capitaine adjudant-major (2 mai 1859)[5] ;
- Chef de bataillon (11 septembre 1870)[5] ;
- Lieutenant-colonel (26 juin 1877)[5] ;
- Colonel (9 juillet 1882)[5] ;
- Général de brigade (29 mars 1889)[3],[6].
Décorations[modifier | modifier le code]
- Chevalier (11 avril 1870)[11] ;
- Officier de la Légion d'honneur (7 juillet 1885)[11].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jules Moiroux, Le cimetière du Père Lachaise, Paris, S. Mercadier, (lire en ligne)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- La date du 10 février 1830 est gravée sur sa sépulture tandis que les archives de la légion d'honneur indiquent le 5 juin 1830.
- « Faits divers », Journal de l'Ain, , p. 3 (lire en ligne)
- « Nouvelles diverses », Journal des débats littéraires et politiques, , p. 3 (lire en ligne)
- « Province et étranger », Le Gaulois, , p. 3 (lire en ligne)
- « Sépultures communales individuelles de militaires de toutes époques et de morts pour la France » (consulté le )
- « Mort tragique du général Koch », Le Petit Journal, , p. 1 (lire en ligne)
- « Nouvelles étrangères », L'Impartial, , p. 1 (lire en ligne)
- « Mort du Général Koch », Le Petit Illustré,
- « Nouvelles diverses », Journal des débats littéraires et politiques, , p. 3 (lire en ligne)
- Moiroux 1908, p. 207
- « Cote LH/1404/88 », base Léonore, ministère français de la Culture
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la vie publique :
