Fresnières

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Fresnières
Fresnières
Carte postale du village vers 1910.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Jean-Claude Gout
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60258
Démographie
Population
municipale
159 hab. (2021 en diminution de 3,05 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 22″ nord, 2° 48′ 54″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 98 m
Superficie 2,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Fresnières
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Fresnières
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Fresnières

Fresnières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Fresnières est un village rural du Santerre du nord de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à 9 km à vol d'oiseau au sud de Roye, 24 km au sud-ouest de Ham, 14 km au nord-ouest de Noyon, 22 km au nord de Compiègne et 39 km au nord-est de Clermont.

Il est desservi par la RD 149 qui me relie à Roye et à Lassigny, et par la RD 160, d'intérêt plus local.

En 1850, Louis Graves indiquait que « la commune de Fresnières est assise dans la plaine de la région septentrionale du canton, qui se lie au pays de Santerre ; le village ne forme qu'un eseule rue rendue impraticable en hiver par la nature trop argileuse du sol : cet état permanent de dégradation des chemins, qui empêche les communications, est une cause d'appauvrissement pour le pays. Il n'y a point d'eau sur le territoire, qui est couvert de bois au nord et à l'ouest[1] ».

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Crapeaumesnil Rose des vents
Beuvraignes
Somme
N Amy
O    Fresnières    E
S
Canny-sur-Matz Lassigny

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fresnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (10,1 %), forêts (1,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 68, alors qu'il était de 68 en 2014 et de 60 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 95,6 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fresnières en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Fresnières en 2019.
Typologie Fresnières[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 95,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 4,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 655, 674 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesiam de Fraxino (vers 1136) ; Fenerioe (1146) ; Fresnerioe (1184) ; Frainieres (vers 1300) ; Freniere (XVIIe) ; Frenières (1730) ; Fresnières (XIXe)[15].

Le nom du village semble dérivé d'un lieu planté de frênes (fraxinus)[16]. De l'oil fraisne et du suffixe collectif -iére : « bois de frênes »[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Un château fort doté de huit tours se trouve au Moyen Âge à Fresnières[1]. Un second château fort semble avoir existé au lieu-dit le Château de Plaisance. À la fin du XIXe siècle, on y voyait encore les vestiges d'une enceinte circulaire de vingt mètres de diamètre, entourée de fossés larges et profonds, au centre desquels se trouvait une motte d'au moins cent soixante mètres de circonférence, dans laquelle se trouvaient des fondations du bâtiment[16].

Louis Graves indiquait en 1850 « il y a dans le village un emplacement qu'on croit avoir été occupé par un établissement de Templiers : on y trouve beaucoup d'ossements, et on y a recueilli des médailles romaines[1] ».

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Le duc du Châtelet, seigneur de Fresnières, obtient du roi Louis XIV des subsides pour reconstruire l'église, dont le chantier s'achève en 1730[1]. Il fait démolir l'ancien château fort, « ruiné par les guerres », qu'il remplace par un nouveau [1].

Sous l'Ancien Régime, Fresnières fait partie du bailliage et du grenier à sel de Roye, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1850, Fresnières compte 58 maisons et ses habitants sont principalement des bûcherons et des laboureurs[1].

Le Père Enfantin a des émules à Fresnières, où un phalanstère est construit sans toutefois être achevé[16].

En 1911, le village compte 55 maisons, 46 ménages et 155 habitants[18].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dès le début de la guerre, le village est envahi le par l'armée allemande et il se trouve sur la ligne de front ensuite, notamment lors de la course à la mer. Parmi la partie des habitants demeurés sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne[18].

La commune est continuellement prise sous le feu des bombardements[18].

Elle est temporairement libérée le , lors du retrait allemand de l'Opération Alberich, et demeure en zone avancée alliée sous contrôle militaire strict. Des essais de canons de tranchées y sont réalisés en en présence des généraux Humbert et Pétain. Occupée à nouveau le , Fresnières, totalement rasée, n'est définitivement libérée que le [18]. Des monuments tels que le petit château Renaissance ou l'église, il ne reste aujourd'hui plus rien. Quelques traces de tranchées subsistent dans le bois des Loges tout proche.

Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fresnières est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1920 mars 1977 Gaston Bussy    
mars 1977 mars 2008 Marcel Baudry    
mars 2008 mai 2020 M. Claude Fournier[22]   Agriculteur
mai 2020[23] En cours
(au 13 septembre 2022)
Jean-Claude Gout   Cadre retraité

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Lassigny, de Plessis-de-Roye, Gury et de Crapeaumesnil dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[24] (RPI).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 159 habitants[Note 3], en diminution de 3,05 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192178234217243255259265240
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
229240231226249203182178159
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
14616015335889087105102
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8811810194113123158168168
2018 2021 - - - - - - -
164159-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 80 hommes pour 84 femmes, soit un taux de 51,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
3,8 
90 ou +
2,4 
5,0 
75-89 ans
8,3 
8,8 
60-74 ans
13,1 
30,0 
45-59 ans
19,0 
18,8 
30-44 ans
22,6 
10,0 
15-29 ans
14,3 
23,8 
0-14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église de l’Assomption Notre-Dame, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale en 1929-1930 sur les plans de l’architecte Prêtre. Elle préserve un souvenir de l'édifice précédent sous son porche : une plaque commémorative rappelant sa restauration en 1822-23 grâce aux dons du comte d’Artois et du duc d’Angoulême.
    L'édifice, mélange de style néo-roman et de style art déco, est bâti en pierres taillées avec bossage et comprend le traditionnel massif de façade avec porche encadré par un baptistère et l’accès au clocher, une nef unique de trois travées, un transept débordant et une abside à cinq pans[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le nom de certains seigneurs de Fresnières nous est parvenu. Emile Coët indique que « la famille du Châtelet posséda longtemps la terre de Fresnières[16] » :

  • Claude du Châtelet, seigneur de Fresnières et de Moyencourt, se marie avec Louise La Chaussée. Leur fils, Laurent, seigneur de Fresnières, se marie le , à Louise de Saint-Simon[16].
  • Anne-Marie du Châtelet, fille de Laurent du Châtelet et de Catherine Favier de Bains, se marie le avec Jacques-François Choiseul, lieutenant général au gouvernement de Champagne ; elle meurt le , âgée de soixante-un ans, à l'abbaye Saint-Pierre de Poulangy, diocèse de Langres. Parmi ses douze enfants, on note Jacques du Châtelet, seigneur de Fresnières, conseiller au grand Conseil. Il épouse en 1669, Madeleine Niquery, qui meurt le , sans lui laisser d'enfants[16].

La maison du Châtelet est maintenue dans l'état de noblesse par un jugement du 11 janvier 1706[16].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fresnières » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnières - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnières - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 58-59, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Fresnières et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Fresnières », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 230.
  16. a b c d e f g et h Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, A. Mennecier lieu=Compiègne, , 462 p. (lire en ligne), p. 206-208, sur Gallica.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1246.
  18. a b c et d « Fresnieres dans la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
  19. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Les maires de Fresnières », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Fresnières », Cartes de France (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. Stephane Lebarber, « Pétition pour une classe supplémentaire à l’école maternelle de Lassigny : Les parents d’élèves réclament l’ouverture en septembre d’une quatrième classe dans cet établissement, qui accueille non seulement les enfants de Lassigny, mais aussi ceux de Plessier-de-Roye, Gury, Crapeaumesnil et Fresnières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnières (60258) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. Dominique Vermand, « Fresnières, église de l’Assomption Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).