Gare d'Eauze
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| Eauze | |
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| Localisation | |
|---|---|
| Pays | France |
| Commune | Eauze |
| Adresse | Allée Julien Laudet (D10a) |
| Coordonnées géographiques | 43° 51′ 39″ nord, 0° 06′ 37″ est |
| Gestion et exploitation | |
| Propriétaire | Centre d'interprétation d'ELUSA Capitale antique (bâtiment voyageurs) Entreprise privée (bâtiment fret) SNCF Réseau (voies) |
| Caractéristiques | |
| Ligne(s) | Port-Sainte-Marie à Riscle Eauze à Auch |
| Altitude | 141 m |
| Historique | |
| Mise en service | |
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La gare d'Eauze est une gare ferroviaire française des lignes de Port-Sainte-Marie à Riscle et d'Eauze à Auch, située sur le territoire de la commune d'Eauze, dans le département du Gers, en région Occitanie.
Elle est mise en service en 1888 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne.
Situation ferroviaire[modifier | modifier le code]
Établie à 141 mètres d'altitude, la gare d'Eauze est située au point kilométrique (PK) 189,178 de la ligne de Port-Sainte-Marie à Riscle, entre les gares de Bretagne-d'Armagnac et de Manciet.
Elle était également l'origine au PK 0,000, de la ligne d'Eauze à Auch, avant la gare de Noulens - Ramouzens.
Histoire[modifier | modifier le code]
La gare d'Eauze est mise en service le par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne, lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la section de Condom à Eauze[1] de la ligne de Port-Sainte-Marie à Riscle, au nord de la gare.
La section d'Eauze à Riscle, au sud de la gare, a ouvert en .
Entre et , elle était également le point de départ de la ligne d'Eauze à Auch.
Le , la section d'Eauze à Gondrin est déclassée.
Service des voyageurs[modifier | modifier le code]
Gare fermée située sur une section de ligne non-déclassée, mais sans circulation.
Service des marchandises[modifier | modifier le code]
Patrimoine ferroviaire[modifier | modifier le code]
L'ancien bâtiment voyageurs est devenu le centre d'interprétation d'ELUSA Capitale antique[2]. L'ancien bâtiment de fret est devenu le local d'une entreprise privée[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Ouvertures et concessions des chemins de fer d'intérêt général et d'intérêt local en France et en Algérie pendant l'année 1888 (situation sommaire, extraite du n° du journal officiel du 10 février 1889) ». dans Revue générale des chemins de fer, volume 12, Dunod, 1889p. 182 extrait (consulté le 14 septembre 2012).
- « La Domus de Cieutat / Centre d'Interprétation d'ELUSA Capitale Antique - Elusa, Capitale Antique »
, sur ELUSA (consulté le )
- Images Google Street View
