Georges Tournon
Pour les articles homonymes, voir Tournon.
Cet article est une ébauche concernant un peintre français.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Georges Tournon
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 65 ans) Doué-la-Fontaine |
| Nom de naissance |
Georges Constantin Alexandre Tournon |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Maître |
Raymond Tournon, son père |
| Père | |
| Fratrie |
Georges Tournon né le dans le 6e arrondissement de Paris et mort le à Doué-la-Fontaine[1] est un peintre français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Georges Tournon est le fils aîné du peintre et décorateur Raymond Tournon et de la portraitiste Éléonore Marche, que ce dernier a épousée le à Gaillac. Il aura deux frères : Raymond Tournon (1901-1975), également peintre, décorateur de théâtre et de cinéma, et Jean-François Tournon (1905-1986), escrimeur, médaille de bronze aux Jeux olympiques, puis arbitre international.
Collections publiques[modifier | modifier le code]
- Gaillac, musée des Beaux-Arts.
- Grenoble, musée de l'Ancien Évêché : Marchand de violettes, dessin.
- Paris :
- ministère de la Défense, hôtel de Brienne : Prisonnier boche, 1919, huile sur toile.
- Sénat, palais du Luxembourg : Le Père Louis, fleurs artificielles, huile sur toile.
- Strasbourg, Commission centrale pour la navigation du Rhin : Danseuse de corde, huile sur toile[2].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Archives en ligne de Paris, 6e arrondissement, année 1895, acte de naissance no 3228, cote V4E 8502, vue 6/28, avec mention marginale de décès
- Catalogue interministériel des dépôts des Œuvres d'Art de l'État[source insuffisante].
