Glières-Val-de-Borne

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Glières-Val-de-Borne
Glières-Val-de-Borne
Vue de la vallée du Borne depuis les rochers de Leschaux (1 936 m).
Blason de Glières-Val-de-Borne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes Faucigny-Glières
Maire
Mandat
Christophe Fournier
2020-2026
Code postal 74130
Code commune 74212
Démographie
Gentilé Glièroise - Glièrois
Population
municipale
1 827 hab. (2021)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 02″ nord, 6° 23′ 46″ est
Altitude Min. 591 m
Max. 2 408 m
Superficie 71,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bonneville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Glières-Val-de-Borne
Liens
Site web mairie-glieresvaldeborne.fr

Glières-Val-de-Borne est une commune nouvelle française résultant de la fusion — au  — des communes du Petit-Bornand-les-Glières et d'Entremont située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune nouvelle de Glières-Val-de-Borne est située dans le sud-est de la France, au centre du département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Le territoire de la commune s'étend sur les versants du massif des Aravis, entre le plateau des Glières et la chaîne du Bargy, dans une grande combe. Elle est limitée vers le nord par la commune de Saint-Pierre-en-Faucigny, où se situe le passage rétréci des Evaux, et au sud par les étroits d'Entremont.

Elle est l'une des plus grandes communes de la Haute-Savoie, avec 73,12 km2.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Glières-Val-de-Borne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nouveau nom de la commune de Glières-Val-de-Borne a été déclaré en préfecture le et entre en vigueur le [6].

Il est constitué de deux éléments, un géographique et un symbolique, constitutifs de la nouvelle commune. Le nom de « Glières » correspond à un plateau sur lequel un épisode majeur de la Seconde Guerre mondiale au niveau régional s'est déroulé avec le maquis des Glières. Cet élément semble avoir été privilégié pour le nom de la nouvelle commune.

Pour le second élément, des cahiers furent ouverts, en , dans les deux mairies afin que chaque habitant puisse donner son avis sur le nouveau nom à donner. L'appartenance à la grande combe où s'écoule la rivière du Borne, dans laquelle s'est installée dès le XIIe siècle l’abbaye d'Entremont, semble avoir été retenu comme élément constituant de la future identité communale, d'où « Val de Borne ».

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune est créée au par un arrêté préfectoral du [7].

Genèse d’une commune nouvelle[modifier | modifier le code]

Par délibérations des conseils municipaux du , les communes du Petit-Bornand-les-Glières et d'Entremont ont souhaité fusionner[8],[9]. Par arrêté préfectoral du , la commune nouvelle est instituée au [8],[9]. Le centre administratif se situe à la mairie du Petit-Bornand[8],[9] cependant qu'Entremont garde la « maison des services » avec l'agence postale, le point-info-tourisme et permet des démarches administratives avec un relais ordinateur-télé-administratif[10]. Jusqu’aux élections municipales de 2020, la commune nouvelle est administrée par un conseil municipal composé de l’ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes[9].

Un mariage de raison[modifier | modifier le code]

Des critères historiques, géographiques et économiques semblent avoir appuyé la réflexion d'une fusion des deux communes. Au Moyen Âge, les deux paroisses dépendent toutes deux de l’abbaye d'Entremont. L'indépendance se fait en 1772 après l’affranchissement des « Droits féodaux » et elles deviennent des communes en 1774. Au cours de l'occupation française du duché de Savoie (à partir de 1792), les deux communes sont réunies à partir de 1814, dans l’arrondissement et le canton de Bonneville, au sein du département du Mont-Blanc[11]. Entre-temps, depuis 1793, Entremont appartenait au canton du Grand-Bornand et Petit-Bornand à celui de La Roche[11]. En 1860, la Savoie entre définitivement dans le cadre français et les deux communes appartiennent à deux cantons différents, Entremont à canton de Thônes et Petit-Bornand à celui de Bonneville. Depuis le redécoupage des cantons en 2014, Entremont, faisait partie du canton de Faverges.

Les deux communes rurales ont les mêmes préoccupations à savoir la maintenance des écoles, des services publics et de la ruralité qui fait leur similitude absolue. Des réunions de travail ont eu lieu dès le début 2017[12].

De manière générale, les communes d'Entremont et du Petit-Bornand dépendent de l'aire de polarisation — santé, social, bassin d’emploi, Sous-préfecture, centre des impôts, tribunal, gendarmerie, services postaux — de Bonneville et de la vallée de l’Arve. Les deux communes sont aussi membres de droit de l’Association des Glières pour la mémoire de la Résistance et du Syndicat mixte des Glières.

A la question de la création de la commune nouvelle, du changement de canton et du choix de la communauté de communes (Communauté de communes Faucigny-Glières), le conseil municipal d’Entremont a répondu favorablement à l'unanimité (11 voix), Le Petit-Bornand a répondu : 11 voix Pour, 1 Abstention et 3 voix Contre[13].

Fusion et dissensions[modifier | modifier le code]

L’opposition à la fusion est forte, voire rude, tant aussi que les attentes et les objectifs sont variés[13]. À Entremont, d’aucuns souhaitaient une fusion avec le Grand-Bornand, d’autres souhaitaient le statuquo, d’autres encore une fusion avec Le Petit-Bornand, mais en restant dans la Communauté de communes des vallées de Thônes.

Au Petit-Bornand, c’était soit le statuquo, soit la fusion avec Bonneville, soit avec Entremont en entrant dans la Communauté de communes des vallées de Thônes ou avec Entremont en restant dans la Communauté de communes Faucigny-Glières.

Une association, ADELOVE 21, prit la tête de l'opposition à la fusion. Elle se manifeste par la distribution de tracts, de manifestations, mais aussi par presse interposée, ainsi qu'en attestent quelques titres dans la presse locale : « Les deux villages de la vallée du Borne réfléchissent aux termes de leur futur mariage. Mais la question qui fait polémique est de savoir vers quelle famille se tourner… »[14] ; « Mariage arrangé – Des voix s’élèvent haut et fort pour réclamer un référendum. »[15] ; « Pourquoi Entremont, petit grain de sable, doit disparaitre ? »[16] ; « Un mariage arrangé qui divise les élus et les habitants »[17] ; « ADELOVE sollicite de nouveau le Préfet »[18].

En , ADELOVE 21 est à l'initiative d'une pétition pour demander l'organisation d'une consultation citoyenne « pour ou contre la fusion avec Petit-Bornand-les Glières ». Cette pétition, validée par un huissier de justice, recueille plus de 1/5e des signatures du corps électoral, soit 271 électeurs sur 522[réf. nécessaire]. Le maire d'Entremont, Christophe Fournier, refuse d'organiser cette consultation même si le Code général des collectivités territoriales, selon les articles L. 1112-15 et L. 1112-16, le permet.

Par ailleurs, l’association ADELOVE 21 a sollicité par trois fois le Préfet de la Haute-Savoie (en février et ) qui est resté ferme sur sa position prise le [réf. nécessaire]. L'association a engagé deux procédures en référé suspension auprès du Tribunal administratif de Grenoble[réf. nécessaire]. Elle a été déboutée. La procédure, sur le fond, est en cours[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Glières-Val-de-Borne est une commune française du département de la Haute-Savoie, composant la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. Elle devient membre de la communauté de communes Faucigny-Glières[9], créée en 2006, où elle occupera 3 sièges au sein du conseil communautaire.

La commune relève de l'arrondissement de Bonneville[I 1] et de la sixième circonscription de la Haute-Savoie (créée en 2009).

Les deux anciennes communes restent dans leur canton d'origine jusqu'au décret du , quand la commune nouvelle est entièrement rattachée au canton de Bonneville[19].

Liste des communes déléguées de Glières-Val-de-Borne
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Le Petit-Bornand-les-Glières
(siège)
74212 CC Faucigny-Glières 53,42 1 130 (2017) 21
Entremont 74110 CC des vallées de Thônes 18,35 661 (2016) 36

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 500 habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[20]. Toutefois, avec les élections municipales de 2020, la commune nouvelle est dirigée par 23 élus, le nombre de conseillers étant majoré pour le premier mandat qui suit la fusion.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2 janvier 2019 25 mai 2020 Marc Chuard DVD
25 mai 2020 en cours Christophe Fournier LR Suppléant de la Députée Christelle Petex-Levet depuis 2022

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 827 habitants[Note 2], en augmentation de 2,53 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2020 2021
1 7821 8281 827
(Sources : Insee à partir de 2015[21].)

Économie[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Photo en couleurs prise en février 2015.
Vue depuis les chalets des Auges (1782 m) (Plateau des Glières) sur la vallée du Borne, au second plan la chaîne des Aravis et en arrière-plan le mont Blanc.

Le tourisme de masse qui touche les Alpes depuis plus d’un demi-siècle a des conséquences importantes sur la faune, la flore et le réseau hydrologique. Le village reste loin des « concepts-marketing ».

Il est une des approches douces de la découverte de la montagne. Aucun sommet n’est menacé d’équipements mécaniques ou immobiliers.

Dès 1935, des pionniers créent un embryon de Syndicat d’initiative déclarant : « (...) La situation géographique, au centre du département et ses belles montagnes, ses magnifiques forêts doivent faire apprécier le lieu et en faire un centre de villégiature idéal... ».

Le village offre une multitude de possibilités tant par ses randonnées balisées en alpage (environ 130 km – Carte IGN 3430 – Topoguides) que par ses auberges-refuges d'altitude qui reçoivent le randonneur en quête de nature et de sérénité.

Quatre sites d’escalade, en milieu naturel, sont équipés, allant du débutant au plus chevronné (8 A+).

La proximité des grandes stations des Aravis (Le Grand-Bornand, La Clusaz) est un atout pour la commune.

Artisanat[modifier | modifier le code]

De tous temps, les tentatives de créer des emplois pérennes animent les entrepreneurs de la vallée du Borne.

L'artisanat du bois est prépondérant : menuiseries, bûcheronnage-débardage, construction de chalets, tournage sur bois, boissellerie.

Les artisans sont aussi présents dans les domaines de la brocante, des espaces verts, de la peinture-décoration, des tapissiers en ameublement, des travaux publics.

L’agro-pastoralisme[modifier | modifier le code]

Les fermes[modifier | modifier le code]

Le village compte 15 fermes d’élevage de vaches laitières de la race « Abondance » ou « Tarine », de caprins. Les produits de ces fermes sont répertoriés avec le label « Fermier ».

Soit un cheptel d’environ 520 laitières, 260 génisses et 140 ovins et caprins, il est à noter que ces fermes pratiquent l’alpagisme et occupent 90 % de l’espace alpin en été.

L'Inalpe (la Remue, l'Emmontagnée, l'Estive) demeure un grand moment de la vie pastorale, elle s'effectue en mai (suivant l'enneigement). Ovins, caprins et bovins rejoignent l'alpe et la prairie alpine. Glières-Val-de-Borne, au centre de 5 000 hectares d'alpages entretenus et habités par les éleveurs est l'un des pôles fromager et laitier du département. La « démontagnée » s'effectue courant octobre. Le pastoralisme maintient des paysages ouverts et soignés, façonnés par des paysans garants des richesses environnementales.

L'exemple le plus marquant de l’agropastoralisme est le plateau des Glières. Aujourd'hui, cette activité continue d'être pleinement d'actualité. En 2011, sur l'ensemble du massif « Glières-Parmelan », nous retrouvons 43 fermes qui occupent 3 000 ha d'alpages occupés par 1 800 bovins, 200 caprins, 2 000 ovins et une vingtaine de chevaux. Onze de ces fermes servent comme ateliers et fabriquent sur place tomme, fromage de chèvre et reblochon[22].

Les unités pastorales sont regroupées au sein d'associations foncières pastorales privées et publiques pour prendre en compte l'évolution des espaces montagnards et pour tenter de concilier : pastoralisme, tourisme, foresterie, l'utilisation de l'eau, l’environnement[22].

C’est le pays du Reblochon fermier.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Chapelle du hameau de "la Ville" - Dédiée à St-Claude (Pt-Bornand).
Chapelle de la Rivière (Entremont).

En 1115, des chanoines d'Abondance s'installent et créent un prieuré[23].

Les différents édifices sont l’abbaye d'Entremont, l'église Notre-Dame-de-Tous-les-Saints d'Entremont, l'église Notre-Dame-de-la-Visitation du Petit-Bornand, les nombreuses chapelles et oratoires, ainsi que le presbytère du Petit-Bornand-les-Glières, classé monument historique.

L'église abbatiale d'Entremont est un édifice qui se trouvait à cet emplacement, sans nul doute au XIIe siècle et fut remaniée en 1680 sous l'abbatiat de l'abbé de Granery. Elle est remarquable par son mobilier et son grand maître-autel (1685)[24].

La sacristie contient dans un meuble en noyer un ensemble d’orfèvrerie remarquable moins par la quantité (pourtant non négligeable) que par la qualité et l'ancienneté des pièces dont une châsse d'argent du XIIe siècle qui ne déparerait pas le trésor d'une cathédrale gothique[25]. (une visite guidée est organisée chaque lundi de la période estivale).

Site Abbatial

Le cœur du village d'Entremont offre une vue remarquable sur le site abbatial qui fut remanié de 2014 à 2018 sous la direction de la Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève (HEPIA) et du Syndicat mixte d'aménagement de l'Arve et de ses affluents (SM3A). Le site fut Lauréat du Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement de Haute-Savoie (CAUE 74) en novembre 2018.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Stèle Tom Morel, militaire et résistant, chef du maquis des Glières ;
  • Hôtel de France, plaque commémorative ;
  • Hameau du Regard, habitat traditionnel ;
  • Plateau des Auges, habitat d'alpages ;
  • Le jardin médiéval.
  • les fours communaux.

Patrimoine historique et naturel[modifier | modifier le code]

Le plateau des Glières, haut lieu de la Résistance en Haute-Savoie et premier territoire libéré. S'y trouve depuis 1973 le Monument national à la Résistance d'Émile Gilioli, inauguré par André Malraux le 2 septembre et dédié aux résistants morts sur le Plateau et à l'histoire de la Résistance en général. Ce dernier a été inscrit au titre des monuments historiques le [26].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Petit-Bornand :

  • Avril : cérémonies commémoratives des Fusillés.
  • Mai : montée historique de « Paradis » des voitures de collections (Club 4x4 des Glières).
  • Juin : le 18, commémoration de l'Appel du général de Gaulle (à Glières). Fête du four de Termine.
  • Juillet : Fête au village et vide-greniers (dimanche le plus proche du ).
  • Septembre : Fête du four de Termine.
  • Décembre : Fête du four de la Ville, le 1er samedi de l'Avent et le dernier dimanche de l'Avent.

Entremont :

  • Juillet-août : Visite guidée le lundi de l'église abbatiale et du trésor, avec un guide du patrimoine. Atelier de Calligraphie.les mercredis.
  • Juillet-août: visite (mardi, vendredi) du Musée du Moyen Âge organisée par l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine. Les jeudis Ateliers Spécifiques.
  • Juillet : vide-greniers (3e dimanche).- La montée à l'alpage des Auges (dernier dimanche).
  • Décembre : Marché de Noël (deuxième dimanche).

Musées et expositions[modifier | modifier le code]

  • Galerie "Miléna".
  • Musée du Moyen-Age.
  • Eglise Abbatiale et son Trésor.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Logotype de la commune.

Le conseil municipal a sollicité les sociétés artistiques de la commune afin de créer un logotype représentant la commune nouvelle. Des propositions de la « Société des Artistes du Borne » (SAB) furent examinées par le Conseil Municipal. L'idée fut donc d'illustrer l'alpagisme, la montagne de randonnées, le fort symbole du Plateau des Glières (le monument d' Émile Gilioli) et la particularité du Val de Borne avec ses deux extrémités verrouillées par les Evaux et les Étroits d'Entremont. 

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  • Données Insee de la commune
  1. a et b « Commune du Petit-Bornand-les-Glières (74212) » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « Fusion Le Petit-Bornand/Entremont : le nom de la nouvelle commune est… », Le Messager,‎ (lire en ligne).
  7. Arrêté du 27 juin 2018 portant création de la commune nouvelle de Glières-Val-de-Borne.
  8. a b et c J.T., « Entremont / Petit-Bornand-les-Glières : les communes ne feront qu’une », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  9. a b c d et e « Création d'une commune nouvelle par fusion des communes d'Entremont et du Petit-Bornand-les-Glières », sur Préfecture de la Haute-Savoie, .
  10. C. Fournier, édito, Bulletin municipal, décembre 2018.
  11. a et b Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 103-104, « II- Le district de Bonneville ».
  12. A. Greusard, "Vers une fusion Petit-Bornand/Entremont ?", Le Faucigny, édition du 02 mars 2017.
  13. a et b La Rédaction, « Petit-Bornand-les-Glières : Le groupe d’opposition n’y va pas avec le dos de la cuillère », Le Faucigny,‎ (lire en ligne).
  14. Anaïs Greusard, « Vers une fusion Petit-Bornand/Entremont », Le Faucigny du .
  15. Anaïs Greusard, « Vallée du Borne : Mariage arrangé », Le Faucigny du , p. 3.
  16. G. Maistre, « Tribune libre : Pourquoi Entremont, petit grain de sable, doit disparaître ? », Le Faucigny, {{|20 janvier 2018}}.
  17. C. Perrietr et F. Pecchio, édition du Messager, du , p. 3.
  18. , « ADELOVE sollicite de nouveau le Préfet »Le Faucigny du .
  19. Décret no 2020-215 du 5 mars 2020 modifiant le décret no 2014-153 du 13 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie..
  20. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. a et b Association des Paysans Borniands - Chambre d'Agriculture.
  23. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 147.
  24. Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 61.
  25. Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 62.
  26. Direction générale des affaires culturelles - Préfecture de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, arrêté n° 20-107 du 27 mai, 2020.
  27. Henri Baud (dir.), Le diocèse de Genève-Annecy, Éditions Beauchesne, , 331 p. (ISBN 978-2-7010-1112-7, lire en ligne).
  28. Hélène Perceveaux et Paul Perceveaux, Histoire du Valromey, H. et P. Perceveaux, , 569 p., p. 152.
  29. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3), p. 115.
  30. François Miquet, « Les Savoyards au XIXe siècle - Les humbles », Revue savoisienne,‎ , p. 227 (lire en ligne).
  31. Maurice Vanario et Henri Hours, Rues de Lyon à travers les siècles, XIVe – XXIe siècles, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 333 p., p. 59.