Hautbos

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Hautbos
Hautbos
CLa mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Marie-Laure Toutain
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60303
Démographie
Population
municipale
194 hab. (2021 en augmentation de 7,18 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 42″ nord, 1° 52′ 16″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 197 m
Superficie 4,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Hautbos

Hautbos est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La mare et la rue de Brombos.

Hautbos est un village rural de la Picardie verte, une sous-entité du Plateau Picard, l'une des grandes régions naturelles du département de l'Oise. Il jouxte par le sud-est Feuquières et est situé à 6 km à vol d'oiseau au sud-ouest de Grandvilliers et à 43 km d'Amiens, 27 km au nord-ouest de Beauvais, 20 km au nord-est de Gournay-en-Bray, 60 km au nord-ouest de Rouen et 24 km à l'est de Forges-les-Eaux.

Son territoire est tangenté au nord-est par la RD 7, qui relie Feuquières à Marseille-en-Beauvaisis et Beauvais.

En 1840, Louis Graves indiquait que Hautbos était une « petite commune dont le territoire irrégulier dans son périmètre est divisé par une rivière descendant au midi[Note 1]. Le chef-lieu, à-peu-près central , comprend quatre rues larges et inégales ; une mare considérable couvre la place de l'église[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Brombos, Feuquières, Omécourt, Saint-Deniscourt, Saint-Maur et Thérines.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ARNOULT (60) - alt : 206m, lat : 49°37'23"N, lon : 1°47'26"E
Records établis sur la période du 01-01-2001 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,7 4,5 7,4 10,5 12,3 12,4 10 7,9 4,5 1,7 6,3
Température moyenne (°C) 3,5 4 6,5 9,6 12,4 15,8 17,9 17,7 14,9 11,4 7,1 4,1 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 14,6 17,5 21,2 23,4 23 19,8 15 9,8 6,5 14,5
Record de froid (°C)
date du record
−13
18.01.13
−12,6
12.02.12
−11,5
04.03.05
−4,5
07.04.08
−0,8
06.05.19
2,5
14.06.05
5
31.07.07
4,9
21.08.14
2,4
30.09.18
−3,8
29.10.03
−5,4
30.11.16
−12,1
26.12.10
−13
2013
Record de chaleur (°C)
date du record
14,1
09.01.15
17,9
27.02.19
23,2
31.03.21
25,7
20.04.18
29,7
27.05.05
34,6
21.06.17
40,6
25.07.19
37
09.08.20
33,1
09.09.23
28,5
01.10.11
18,5
08.11.15
16,6
30.12.22
40,6
2019
Précipitations (mm) 75,3 63,3 65,8 45,8 68,1 53,2 58,7 70,2 50,8 70,4 78,5 97,1 797,2
Source : « Fiche 60566001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Le bâti de la commune est constitué de bâtiments en brique : mairie, école, église, chapelle, ancien bâtiment à pompe, fermes et demeures datant du XIXe siècle ou, pour les plus anciennes, de style traditionnel picard en torchis.

Typologie[modifier | modifier le code]

Hautbos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62 %), forêts (25,8 %), prairies (12,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un hameau, La Dreue, situé à l'est du village.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 75 en 2013 et de 63 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hautbos en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Hautbos en 2018.
Typologie Hautbos[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 90,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 3,9 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103 et 6151 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Haultbos (1482) ; Haubos (vers 1530) ; « au Haultbois paroisse du Bois » (1557) ; Hautbau (1667) ; Hautbos (XIXe)[15].
Hautbos signifie « Hauts-Bois » en picard[16].

Le nom du hameau Ladreue est attesté sous les formes Druella (XIIIe) ; la Druelle (XIIIe) ; Ladreux (1492) ; Ledreue (1625) ; la Dreux (1667) ; la Dreuë (XVIIIe) ; la Dreue (1840) ; Ladreue (1840) ; Moulin Deladreue (1840)[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Louis Graves indique : « Hautbos n'était dans l'origine qu'une section forestière de la commune de Briot. On y bâtit une chapelle qui devint plus tard un vicariat. Elle fut érigée en succursale par décret du cardinal de Gesvres, évêque de Beauvais, rendu le trente avril 1764 , malgré l'opposition de l'abbaye de Beaupré qui possédait la seigneurie[1] ».

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1840, on notait la présence d'une briqueterie à La Dreue[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Grandvilliers[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Grandvilliers, porté de 23 à 101 communes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Hautbos est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  janvier 1944 René Toutain[Note 4]   Cultivateur, résistant, mort en déportation à Dora, sapeur-pompier
Croix de Guerre, Médaille de la Résistance
Chevalier de la Légion d’Honneur
Mort pour la France
         
mars 1989 janvier 2004[21] Jean-Pierre Toutain   Fils de René Toutain
Démissionnaire
février 2004[22] mai 2020 Jean-Marie Crépin    
mai 2020[23] En cours
(au 17 juin 2020)
Marie-Laure Toutain   Professeure des écoles.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Maur et de Thérines dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 194 habitants[Note 5], en augmentation de 7,18 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
254233259235220208203224210
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
172173174175167160130138127
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
127116119118115137107114126
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
11610196103109117126128156
2017 2021 - - - - - - -
193194-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 107 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 54,87 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
3,8 
75-89 ans
5,7 
9,4 
60-74 ans
11,5 
18,9 
45-59 ans
21,8 
18,9 
30-44 ans
27,6 
17,0 
15-29 ans
13,8 
32,1 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jean-Baptiste, dont le chœur est construit en silex et briques, portant la date de 1743 mais pouvant être antérieure à celle-ci, et la nef construite en 1770 en briques, surmonté d'un clocher situé au-dessus de la façade.
    A l'intérieur, on note un très bel et rare ensemble boiseries, autel principal et deux autels secondaires datant de la Restauration[30].
  • Grotte Notre-Dame de Lourdes, rue de la Grotte, construite en silex par un maçon de Feuquières après 1940/45.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Cette mention est sans doute une erreur de l'auteur, notée par une mention manuscrite sur l'exemplaire mis en ligne sur Gallica. Les cartographies actuelless ne font pas non plus état d'un cours d'eau dans la commune.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. René Louis Henri Toutain, né le à Hautbos, maire de Hautbos, il s’engage dans la Résistance le comme agent de renseignement P2 au réseau Confrérie Notre-Dame. Arrêté le 9 juillet 1943 à son domicile où il cache un réfractaire au STO, Jacques Peraux. Interné à la caserne Agel de Beauvais, au camp de Royallieu à Compiègne, il est déporté le 28 octobre 1943 au camp de concentration de Buchenwald (matricule 31170). Transféré au camp de Dora (johanngeorgenstadt), il y décède le 20 janvier 1944. Il reçoit à titre posthume la Croix de guerre 1939-1945 et est nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1954. Il est reconnu mort pour la France et mort en déportation (arrêté du 6 septembre 2000[19])[20]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hautbos - Section LOG T2 » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Hautbos - Section LOG T7 » (consulté le ).
  3. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais, Beauvais, Achille Desjardins, , 115 p. (lire en ligne), p. 52-53, sur Gallica.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Hautbos et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Hautbos », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 270.
  16. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 43.
  17. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 295.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Arrêté du 6 septembre 2000 portant apposition de la mention « Mort en déportation » sur les actes et jugements déclaratifs de décès.
  20. Déborah Sautel, « TOUTAIN René, Louis, Henri : Né le 1er mars 1901 à Hautbos (Oise), mort le 20 janvier 1944 en déportation à Dora (Allemagne) ; maire, cultivateur, sapeur-pompier ; résistant réseau Confrérie Notre-Dame Castille », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  21. P. Cr., « Jean-Pierre Toutain démissionne », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Pierre Toutain est conseiller depuis 1959 et maire depuis 1989 ».
  22. « Jean-Marie Crépin élu maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il remplace Jean-Pierre Toutain, qui avait choisi de démissionner de son poste de maire, tout en restant conseiller municipal. Le nouveau maire est un agriculteur âgé de 54 ans. Il siège au conseil municipal depuis 21 ans, dont 12 comme adjoint ».
  23. « Marie-Laure Toutain à la tête du village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3607,‎ , p. 11.
  24. « École primaire de Hautbos (0600374F) », sur annuaire-education.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Hautbos (60303) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. Dominique Vermand, « Hautbos, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).