Impasse Raffet

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

16e arrt
Impasse Raffet
Voir la photo.
Entrée de l'impasse Raffet vue depuis la rue Raffet.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 16e
Quartier Auteuil
Début 7, rue Raffet
Fin En impasse
Morphologie
Longueur 30 m
Largeur 1,5 m
Historique
Ancien nom Ruelle de la Cure
Géocodification
Ville de Paris 8014
DGI 7999
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Impasse Raffet
Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 16e arrondissement de Paris)
Impasse Raffet
Images sur Wikimedia Commons Images sur Wikimedia Commons

L'impasse Raffet est une voie piétonne située dans le quartier d'Auteuil du 16e arrondissement de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Vue intérieure de l'impasse.

L'impasse Raffet est une voie privée située dans le 16e arrondissement de Paris. Elle débute au 13, rue Raffet et se termine en impasse. En pente, elle est large de de 1,5 mètre et longue de 30 mètres[1].

La rue est desservie au plus proche, dans l'avenue Mozart, par la ligne 9 à la station Jasmin.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Portrait d’Auguste Raffet.

Elle doit son nom au peintre et lithographe Denis Auguste Marie Raffet (1804-1860)[1].

Historique[modifier | modifier le code]

Cette impasse s'est appelée « ruelle de la Cure » avant de prendre sa dénomination actuelle[1].

En 1937, l’impasse est décrite comme une sorte de garage à ciel ouvert pour les automobilistes de passage[2].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

  • No 21 : le 17 juin 1931 est organisée à cette adresse une grande fête de nuit, sous la présidence de l’ambassadeur des États-Unis, au profit de l’œuvre des Tout-Petits[3].
  • No 23 : villa Jasmin.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de minuit, septième édition, 1963, t. 2 (« L-Z »), « Impasse et rue Raffet », p. 316.
  2. « Hier, quatrième journée de l’enquête sur la disparition du général de Miller », Excelsior, 27 septembre 1937, sur gallica.bnf.fr.
  3. Comoedia, 16 juin 1931, sur gallica.bnf.fr.

Articles connexes[modifier | modifier le code]