Ingersheim (Haut-Rhin)
Ingersheim | |
Hôtel de ville. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Colmar-Ribeauvillé |
Intercommunalité | Colmar Agglomération |
Maire Mandat |
Denise Stoecklé 2020-2026 |
Code postal | 68040 |
Code commune | 68155 |
Démographie | |
Gentilé | Ingersheimois |
Population municipale |
4 711 hab. (2021 ) |
Densité | 633 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 05′ 43″ nord, 7° 18′ 25″ est |
Altitude | Min. 196 m Max. 326 m |
Superficie | 7,44 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Colmar (banlieue) |
Aire d'attraction | Colmar (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Colmar-1 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-ingersheim.fr/ |
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Ingersheim [iŋ(ɡ)əʁsaim] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
C'est une commune de la périphérie colmarienne.
Géographie[modifier | modifier le code]
Altitude :
- 215 mètres au pont de la Fecht ;
- 326 mètres au sommet du Letzenberg ;
- 308 mètres au sommet du Florimont.
Climat[modifier | modifier le code]
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 572 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −1,1 | −0,7 | 2,1 | 5,4 | 9,2 | 12,6 | 14,7 | 14,7 | 10,9 | 7,2 | 2,7 | 0 | 6,5 |
Température moyenne (°C) | 1,4 | 2,1 | 5,4 | 9,2 | 13,2 | 16,8 | 18,8 | 18,7 | 14,5 | 10,2 | 5,3 | 2,3 | 9,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 4 | 4,8 | 8,7 | 13,1 | 17,1 | 20,9 | 22,9 | 22,7 | 18,1 | 13,1 | 7,8 | 4,7 | 13,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−20 13.01.1987 |
−17,4 07.02.1991 |
−13,5 01.03.05 |
−7 13.04.1986 |
−0,5 04.05.1987 |
3,2 02.06.06 |
6,3 13.07.1993 |
6,2 06.08.1987 |
2,5 30.09.1987 |
−4,2 28.10.1997 |
−11,7 18.11.1998 |
−17,1 20.12.09 |
−20 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,7 30.01.02 |
19,4 24.02.1990 |
23,5 31.03.21 |
26 22.04.18 |
30,9 25.05.09 |
34,5 30.06.19 |
35,5 05.07.15 |
35,7 07.08.15 |
30,4 15.09.20 |
26,7 09.10.23 |
19,2 20.11.09 |
18,6 16.12.1989 |
35,7 2015 |
Précipitations (mm) | 67,5 | 56,6 | 54,5 | 53,1 | 81,7 | 73,6 | 73,4 | 69,3 | 60,1 | 74,3 | 61,1 | 79,3 | 804,5 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4 −1,1 67,5 | 4,8 −0,7 56,6 | 8,7 2,1 54,5 | 13,1 5,4 53,1 | 17,1 9,2 81,7 | 20,9 12,6 73,6 | 22,9 14,7 73,4 | 22,7 14,7 69,3 | 18,1 10,9 60,1 | 13,1 7,2 74,3 | 7,8 2,7 61,1 | 4,7 0 79,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Ingersheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Colmar, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 95 102 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (49,6 %), zones urbanisées (20,2 %), forêts (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire[modifier | modifier le code]
L'homme est venu très tôt se fixer dans la région d'Ingersheim, des tombes vieilles de plus de 5 000 ans en témoignant. Les Romains ont assuré la prospérité du site en y développant la culture de la vigne. Au VIIe siècle, la localité est mentionnée sous le nom d'Annghisheim. Différents couvents y possédaient alors des vignes.
Au début du XIIIe siècle, la chapelle d'Ingersheim est détruite et les pierres réemployées par un chevalier alsacien afin de construire son château[17].
Devenu territoire habsbourgeois, le bourg fait partie de la seigneurie de Hohlandsbourg. Lazare de Schwendi en fait l'acquisition en 1563. Le village est alors entouré de remparts avec quatre portes fortifiées.
Rattaché à la France à la suite des traités de Westphalie en 1648, Ingersheim passe à la Ville de Colmar jusqu'à la Révolution française.
Au cours du XIXe siècle, avec le développement de l'industrie, la population est passée à 2 500 habitants. Cette évolution s'est poursuivie au XXe siècle malgré les deux guerres qui ont ravagé la cité.
La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[18].
Après la Seconde Guerre mondiale, Ingersheim fut jumelée à Ingersheim[19] (Allemagne) et Mauriac (Auvergne).
Héraldique[modifier | modifier le code]
Blason | D'argent à la fasce de gueules, au croissant contourné d'or brochant[20]. |
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---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Finances locales[modifier | modifier le code]
En 2015, les finances communales était constituées ainsi[22] :
- total des produits de fonctionnement : 2 871 000 €, soit 610 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 238 000 €, soit 476 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 454 000 €, soit 96 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 427 000 €, soit 303 € par habitant ;
- endettement : 409 000 €, soit 87 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,89 % ;
- taxe foncière sur le bâti : 8,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,02 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Jumelages[modifier | modifier le code]
La commune est jumelée avec :
- Ingersheim (Bade-Wurtemberg), depuis [23] ;
- Mauriac (Cantal), depuis le .
Le a été inauguré le Parc de Mauriac, qui se situe à côté de la Villa Fleck, en hommage au jumelage et à l'histoire conjointe des deux communes[24].
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2021, la commune comptait 4 711 habitants[Note 4], en augmentation de 1,51 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Ingersheim a un collège public d'enseignement secondaire, le collège Lazare de Schwendi.
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Barthélémy, (rue Jeanne d'Arc) de style baroque, est surmontée d'un clocher roman à bulbe allongé unique en Europe[29].
- La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, (Route de Colmar)[30].
- Oratoire de la famille Bettinger, Oratoire dit chapelle [Kappellenweg], (Chemin de Kappellenweg)[31].
- Église Evangélique Mennonite de Colmar-Ingersheim (4, allée Jean-Barthélémy Thomann).
- La Tour des Sorcières fut bâtie au XIIIe siècle[32].
- L'ancienne synagogue, (rue des Juifs).
- Une maison de style Renaissance abrita un temps la mairie et possède un clocheton gothique. Ses façades et toitures ainsi que le clocheton font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du [33].
- Ancien Château des Salomon puis hôpital[34].
- Ancien moulin Wackenheim[35].
- On y trouve aussi de belles maisons de vignerons[36],[37],[38].
-
Église Saint-Barthélemy (1766). -
Ancienne mairie (1535-1600),
2 rue de la République. -
Ancienne mairie (1535-1600),
2 rue de la République. -
Puits de 1581, rue de la République[39]. -
Tour des sorcières (XIIIe), rue du Maréchal-Foch. -
Ancienne école de filles et ancienne usine (1818), 1 rue des Poilus[40]. -
Maison de maréchal-ferrant (1595), 53 rue de la République[41]. -
Monument aux incorporés de force.
- Une croix entre Ingersheim et Katzenthal rappelle l'accident mortel de Jacques Neymeyer le . Il a été victime de son propre attelage sur lequel il ramenait un chargement de vin de Sigolsheim, qui le renversa et le tua. Jacques Neymeyer était gourmet (marchand de vin). Anne Marie Scherer (petite fille de Louis Dagobert Scherer, personnage illustre d’Ingersheim) et épouse en premières noces de Jacques Neymeyer, fit ériger à quelques centaines de mètres de l’auberge du Florimont, à droite en allant vers Ammerschwihr, une croix en pierre dite : « Croix Neymeyer ». On peut encore y lire : « À la mémoire de Jacques Neymeyer décédé le 11 juin 1866 à l’âge de 37 ans élevé par son épouse d’Ingersheim ».
-
La Croix dite « Neymeyer ».
-
Situation de la Croix.
-
Texte encore lisible.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Louis Dagobert Scherer (né le à Sierentz (68) - mort le à Ingersheim), maire d’Ingersheim du au , capitaine commandant la Ire compagnie de la garde nationale sous Bonaparte, membre de l'ordre national de la Légion d'honneur, élu le chef du bataillon de la garde nationale dont l'autorité s'étend sur les communes d'Ingersheim, Ammerschwihr, Katzenthal et Niedermorschwihr.
- François Stoecklé (1799-1871), curé de Rouffach, homme politique, député du Haut-Rhin de 1848 à 1849.
- Le père Jean-Baptiste Frey (1878-1939), spécialiste d'exégèse biblique, secrétaire de la Commission biblique pontificale (1925-1939), supérieur du Séminaire français de Rome (1923-1939).
- Alphonse, Ambroise Hurth (1908-1944), résistant guillotiné à Bruchsal par les Allemands.
- Thomas Dietsch (1974-) : vététiste de cross-country, 3e des championnats du monde de marathon 2007 ; il habite Ingersheim.
- Jean-Marie Stoerkel (1947- ), journaliste-écrivain, né et domicilié à Ingersheim.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- INSEE, « Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Cavités souterraines
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Le florimont, un grand cru d'Alsace
- Liste des communes du Haut-Rhin
- Liste des monuments historiques du Haut-Rhin
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site du collège Lazare de Schwendi d'Ingersheim
- Ingersheim sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les records sont établis sur la période du au .
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ingersheim et Turckheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Trois-Épis_sapc », sur la commune de Turckheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Colmar », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 73.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945.
- Chronik der Partnerschaft mit Ingersheim (Elsass).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Les comptes de la commune » [archive du ], sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
- « Gemeinde Ingersheim - Partnergemeinde »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ingersheim.de (consulté le ).
- « Mauriac Cantal ville jumelage Ingersheim Haut-Rhin Alsace jumelée », sur mauriac.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « église paroissiale Saint-Barthélemy », notice no IA68004039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes », notice no IA68004040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « oratoire dit chapelle », notice no IA68004074, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ancien château fort (?) dit tour des sorcières », notice no IA68004046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00085467, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ancien Château des Salomon puis hôpital », notice no IA68004047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ancien moulin Wackenheim », notice no IA68004072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « maison de vigneron », notice no IA68004060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ferme de vigneron agriculteur », notice no IA68004061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « maison de vigneron », notice no IA68004055, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM68007488, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Puits
- « ancienne école de filles et ancienne usine », notice no IA68004045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « maison de maréchal-ferrant », notice no IA68004066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.