Jean-Joseph Cajot

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Jean-Joseph Cajot
Biographie
Naissance
Décès
Pseudonyme
Un docteur de MontmartreVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Religieux ou religieuse orthodoxeVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Ordre religieux

Jean-Joseph Cajot, né à Verdun en 1726 et mort le , est un écrivain français, bénédictin de la congrégation de Saint-Vanne.

Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, notamment Les Antiquités de Metz, ou recherches sur l'origine des Médiomatriciens (Metz, 1760) et Les larcins littéraires de Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Genève, ou ses plagiats sur l'éducation (Paris, 1766), dans lequel il tente de montrer comment Rousseau a emprunté les idées sur lesquelles reposent l’Émile à Plutarque et à Montaigne.

Il fut le dernier confesseur de l'abbaye du Paraclet, dont il a récupéré un grand nombre de livres avant que la bibliothèque ne soit pillée puis détruite en 1793. Il les a légués à la bibliothèque municipale de Verdun.

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Encyclopédie Catholique, M. l'abbé Glaire et M. le vicomte Walsh (dir.), t. V, Paris, Parent-Desbarres, 1843
  • Alice Ballureau, « Jean-Joseph Cajot », dans Isabelle Guyot-Bachy et Jean-Christophe Blanchard (dir.), Dictionnaire de la Lorraine savante, Metz : Éditions des Paraiges, 2022, p. 81-82

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