Jesus Volt

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Jesus Volt
Description de l'image JV2016_300DPI_500px.jpg.
Informations générales
Pays d'origine Drapeau de la France France
Genre musical Rock, hard rock, blues
Années actives Depuis 1998
Labels DixieFrog
(avant 2013)

Grounded Music (2013)

Note A Bene/Wagram (2016)
Influences Motörhead
AC/DC
Site officiel www.jesusvolt.com
Composition du groupe
Membres Xavier Cottineau « Lord Tracy »
Jacques Méhard-Beaudot « Mr Tao »
Julien Boisseau « Fuzzy Bear »
Olivier Hurtu « Holy Bear »
Anciens membres Lenny Schon
Lenine Mc Donald
Magic Doudous

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Jesus Volt est un groupe de rock français fondé en 1998 et originaire de Paris. Fortement influencée par le blues, leur musique est un mélange de divers courants musicaux des années 1970 (funk, soul, hard rock, southern rock...), agrémentée sur certains albums de sons électro et hip-hop.

Biographie[modifier | modifier le code]

Créé en 1998, le groupe rencontre sort son premier album Always Drunk, Never Sad, sur le label Oustide Records en 2000. En 2001, il gagne le Trophée France Blues de la « Meilleure Révélation française »[1].

Le second album, réalisé en 2003 par Jean-Marie Aerts, permet au groupe de rencontrer Tony Cohen (producteur de Nick Cave) lors d'une tournée en Australie. Ce dernier produit en 2006 In Stereo[2].

C'est surtout hors de France que Jesus Volt rencontre son public. Le groupe tourne régulièrement en Allemagne, Hollande, Belgique, Pologne, et même en Australie[3], où sa musique est accueillie à l'affiche de grands festivals. C'est ainsi qu'il est l'un des rares groupes français à se produire au cours du show télévisé allemand Rockpalast en 2005[4], habituellement consacré aux stars américaines du blues et du rock.

En 2008, Jesus Volt se produit à l'Estrado, en Hollande. Il ressort de ce concert un album live, Hallelujah Mother Fuckers! Le magazine XroadS classe le cd en 2011 parmi les 98 albums Live essentiels[5].

La fin des années 2000 représente un tournant pour les musiciens du groupe. Avec l'arrivée d'un nouveau batteur, de nouvelles compositions émergent et sont envoyées à Mark Opitz (en), producteur australien reconnu notamment pour son travail avec les groupes AC/DC, KISS, INXS[3]... Ce dernier accepte de venir passer un mois en France pour enregistrer l'album au studio BlackBox de Peter Deimel[3].

Le 5e album, Vaya Con Dildo, y voit le jour et sort en sur le label Grounded Music, distribué en France (Socadisc), mais aussi au Benelux, en Allemagne et en Autriche. Dès le mois de , avant même sa sortie officielle, l'album se retrouve n°1 sur la Féralist, la playlist du réseau de radios Ferarock[réf. nécessaire].

Au printemps 2015, le groupe reprend le chemin du Studio BlackBox, de nouveau accompagné de Mark Opitz pour la direction musicale. Ce 6e album, sort en février 2016 sous le label Note A Bene/Wagram.

Membres[modifier | modifier le code]

Membres actuels[modifier | modifier le code]

  • Xavier Cottineau (alias « Lord Tracy ») - chant et harmonica (depuis 1998)[6]
  • Jacques Méhard-Beaudot (alias « Mr Tao ») - guitare (depuis 1998)[6]
  • Julien Boisseau (alias « Fuzzy Bear[7] ») - basse (depuis 2007)[6]
  • Olivier Hurtu (alias « Holy Bear[7] ») - batterie (depuis 2011)[6]

Anciens membres[modifier | modifier le code]

  • Lenny Schon : chant, harmonica (1998-2000)[8]
  • Lenine Mc Donald (alias « Mr O[9]. ») - basse (1998-2007)[6]
  • « Magic Doudous » - batterie, chœurs (1998-2011)[6]

Membres additionnels[modifier | modifier le code]

  • Alain Fournel - claviers (2013)[7]
  • « DJ Cook » - scratches & beats (2003, 2006)[10],[11]
  • Boney Fields - trompette, chœurs (2003, 2006)[10],[11]
  • Frédéric Girard - percussions (2003, 2006)[11],[10]
  • Nicolas Liesnard - claviers (2003, 2006)[11],[10]
  • Tony Cohen - narration (2006)[12]
  • Jean-Marie Aerts - guitare (2003)[13]
  • Alain Bournel - piano[14]

Chronologie[modifier | modifier le code]

Galerie photographique[modifier | modifier le code]

  • Ducsaal de Freudenburg, le 1er avril 2010
  • Lord Tracy
    Lord Tracy
  • Mr Tao
    Mr Tao
  • Fuzzy Bear
    Fuzzy Bear
  • Magic Doudous
    Magic Doudous

Discographie[modifier | modifier le code]

Albums studios[modifier | modifier le code]

Album Live[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ « Concert : Jesusvolt et Nosfell envoûtent le Run ar Puns », sur Le Telegramme, (consulté le )
  2. ↑ « JESUS VOLT, Rock », sur www.unitedrocknations.com (consulté le )
  3. ↑ a b et c « Blues Again - Le blues dans tous ses états », sur www.bluesagain.com (consulté le )
  4. ↑ « JESUS VOLT Voodoo in a motel Room » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  5. ↑ « Xroads Hors-Série », sur Journaux.fr (consulté le ).
  6. ↑ a b c d e et f « Jesus Volt de Paris - Rock made in France - Encyclopédie du Rock », sur Rock Made in France, (consulté le )
  7. ↑ a b et c « JESUS VOLT: Vaya Con Dildo (BLUES) : avis / chronique à lire sur Music Waves », sur www.musicwaves.fr (consulté le )
  8. ↑ a et b « Jesus Volt - Always Drunk Never Sad », sur Discogs (consulté le )
  9. ↑ a et b Jesus Volt – Hallelujah Motherfuckers ! (2008, Digipak, CD) (lire en ligne)
  10. ↑ a b c d et e « JESUS VOLT: In Stereo (BLUES) : avis / chronique à lire sur Music Waves », sur www.musicwaves.fr (consulté le )
  11. ↑ a b c et d Jesus Volt – In-Stereo (2006, Digipak, CD) (lire en ligne)
  12. ↑ Jesus Volt – In-Stereo (2006, Digipak, CD) (lire en ligne)
  13. ↑ a et b « Jesus Volt - Electro Button Funky CoXXX », sur Discogs (consulté le )
  14. ↑ Jesus Volt – Vaya Con Dildo (2013, Digipak, CD) (lire en ligne)
  15. ↑ (en-US) « Always drunk never sad », sur Jesus Volt (consulté le )
  16. ↑ (en-US) « Electro button funcky coXXX », sur Jesus Volt (consulté le )
  17. ↑ (en-US) « In Stereo », sur Jesus Volt (consulté le )
  18. ↑ « Jesus Volt - In-Stereo », sur Discogs (consulté le )
  19. ↑ (en-US) « Vaya con dildo », sur Jesus Volt (consulté le )
  20. ↑ « Jesus Volt - Vaya Con Dildo », sur Discogs (consulté le )
  21. ↑ (en-US) « Jesus Volt », sur Jesus Volt (consulté le )
  22. ↑ Jesus Volt – Jesus Volt (2016, Dig, CD) (lire en ligne)
  23. ↑ (en-US) « Hallelujah mother fucker », sur Jesus Volt (consulté le )
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