Jules-François Le Coq
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| Jules-François Le Coq | ||||||||
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| Biographie | ||||||||
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| Naissance | Vire |
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| Ordination sacerdotale | ||||||||
| Décès | (à 71 ans) | |||||||
| Évêque de l'Église catholique | ||||||||
| Ordination épiscopale | à Caen | |||||||
| Dernier titre ou fonction | Évêque de Nantes | |||||||
| Évêque de Luçon | ||||||||
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| Évêque de Nantes | ||||||||
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| Missus a Deo | ||||||||
| (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
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Jules-François Le Coq[1], né le à Vire et mort le [2], est un prélat français de l'Église catholique, évêque du diocèse de Luçon puis évêque de Nantes.
Éléments biographiques[modifier | modifier le code]
Jules-François Le Coq est évêque de Luçon pendant deux ans, de 1875 à 1877.
Il est nommé ensuite évêque du diocèse de Nantes en 1877. C'est à ce titre qu'il inaugure le jour de Noël 1891 la cathédrale de Nantes dont la construction s'achève après 457 ans de travaux. Il restera à la tête de ce diocèse jusqu'à sa mort, tout juste un an après l'inauguration de la cathédrale, le .
Armes[modifier | modifier le code]
Parti de gueules à 2 léopards d’or, qui est de Normandie, et d’azur à 3 brochets (lucii) d’argent contournés et nageant l’un sur l’autre, qui est du chapitre de Luçon ; sur le tout au chef d’hermine (ce chef, qui symbolise Nantes, ajouté seulement depuis 1877)[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Son nom est parfois orthographié Lecoq.
- Fiche de Jules-François Le Coq sur catholic-hierarchy.org
- Succession évêques de Luçon sur Wikisource
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la religion :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
