K.O. en 9 rounds

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K.O. en 9 rounds
31e album de la série Ric Hochet
Scénario André-Paul Duchâteau
Dessin Tibet
Genre(s) Policier

Langue originale Français
Éditeur Le Lombard
Nombre de pages 77 planches et un hors-texte
Albums de la série

K.O. en 9 rounds est le 31e tome de la série de bande dessinée Ric Hochet. Cet album est composé de neuf histoires courtes.

Coups de Soleil[modifier | modifier le code]

7 planches

Un jeune garçon signale un bandit recherché par la police. Ric et Bourdon le poursuivent. Ric se fait emprisonner dans une tour et envoie à Bourdon un message codé à l'aide d'un miroir. Les bandits comptaient sur cette réaction pour pouvoir attraper le commissaire. Mais celui-ci arrive avec les gendarmes, mis en garde par le fait que Ric l'avait appelé par son prénom.

Le Village de la Peur[modifier | modifier le code]

11 planches

Ric et Bourdon recherchent des fuyards dans un village perdu. Bourdon finit séquestré par les bandits, qui ont envahi le village et enfermé les habitants. Mais Ric vient le sauver après les avoir délivrés.

L'assassin fantôme[modifier | modifier le code]

8 planches

Ric et Bourdon sont témoins d'un meurtre : un savant retrouvé enfermé avec son assistant inconscient. La maison est fouillée, en vain. Ric puis l'assistant sont agressés. Mais Ric comprend que ce qu'il a vu avec Bourdon était en fait un film, et que c'était l'assistant le meurtrier.

Silence… Clinique[modifier | modifier le code]

8 planches (datées de 1971)

Bourdon est hospitalisé, et une tentative de meurtre est commise dans la chambre adjacente. Ric tente de poursuivre l'agresseur. La victime est en fait un repris de justice qui cachait des bijoux et qui ont été volés lors de l'agression. On convoque dans la chambre de Bourdon les suspects, mais Ric confond le coupable, un des médecins.

Comme une Lettre à la Poste[modifier | modifier le code]

8 planches (datées de 1972)

Des malfrats qui en veulent à Bourdon séquestrent Hermelin et Ric et obligent ce dernier à écrire au commissaire une lettre dont l'enveloppe sera piégée. Mais Ric fait fabriquer par Hermelin une encre sympathique qui permettra au policier d'éventer le piège.

Péril en la Demeure[modifier | modifier le code]

8 planches

Ric tend un piège à des malfrats qui séquestrent une famille pour récupérer un magot caché 6 mois plus tôt. Il s'introduit dans la maison à la suite d'une simulation d'accident. Il parviendra à mettre les bandits hors d'état de nuire à l'aide de jouets transformés en armes.

Le Traitre malgré lui[modifier | modifier le code]

12 planches

Ric, attiré par un chien errant, se retrouve enlevé par Xavier Ballard[1]. Il lui impose des épreuves pour le tester puis veut le torturer en attendant une rançon. Mais c'était un piège : le chien était un chien de la police et aide Ric pour arrêter toute la bande.

Qui a volé le Tintin en or ?[modifier | modifier le code]

7 planches (datées de 1976[2])

Une sculpture de Tintin, œuvre d'Hermelin, est volée lors d'une réception au journal, pendant que la lumière était coupée : une femme est assommée et la sculpture a disparu par le vide-ordure. Ric recherche le complice resté dans la pièce, mais les premiers suspects sont innocents. Ric finit par penser que le coupable porte le masque d'un proche : c'est effectivement un faux Hermelin qui a fait le coup.

Les Otages[modifier | modifier le code]

8 planches

Une prise d'otage a lieu dans une banque. Ric et un autre client sont emmenés par les braqueurs. Ce personnage est en fait un mafieux qui tente de traiter avec les bandits : mais c'est une mise en scène, pour lui faire avouer ses crimes. Les braqueurs étaient des policiers grimés, dont Bourdon et Ledru.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. personnage déjà apparu dans Les Compagnons du diable
  2. à l'occasion du 30e anniversaire du journal de Tintin

Modèle:Palette Ric Hochet