Kate Douglas Wiggin

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Kate Douglas Wiggin
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Kate Douglas Wiggin
Nom de naissance Kate Douglas Smith
Naissance
Philadelphie, Drapeau des États-Unis États-Unis
Décès (à 66 ans)
Harrow, Royaume-Uni
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Anglais
Genres

Œuvres principales

Kate Douglas Wiggin, née Kate Douglas Smith le à Philadelphie dans l'État de la Pennsylvanie et morte le à Harrow dans la banlieue de Londres, est une enseignante, pédagogue, essayiste et romancière américaine notamment connue par le son roman Rebecca du ruisseau ensoleillé (Rebecca of Sunnybrook Farm, 1903), adapté plusieurs fois au théâtre puis au cinéma.

Avec Elizabeth Harrison, Caroline Severance (en) et sa sœur Nora Archibald Smith (en), Kate Douglas Wiggin fait partie des figures fondatrices inspirées par le pédagogue Friedrich Fröbel, qui ont contribué à la modernisation des activités des écoles maternelles aux États-Unis ainsi qu'à la formation pédagogique des animateurs et enseignants des écoles maternelles.

Kate Douglas Wiggin est également une compositrice de chansons pour la jeunesse.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

Une famille de notables[modifier | modifier le code]

Kate Douglas Smith l'aînée des deux filles de Robert Noah Smith, un juriste diplômé de l'université Brown, et de Helen Elizabeth Dyer épouse Smith. Ses deux parents appartiennent à des familles notables de la Nouvelle Angleterre, aux ancêtres issus de l'Angleterre et de l'Écosse. Sa sœur cadette Nora Archibald Smith (1859-1934) tout comme elle suivra une carrière quant à la rénovation de la formation pédagogique des animateurs et enseignants des écoles maternelles aux États-Unis[1],[2],[3],[4].

Une famille recomposée[modifier | modifier le code]

Maison de Kate Douglas Wiggin à Hollis.

Son père meurt en 1859, alors que Kate Douglas Smith est âgée de trois ans. À la suite du décès de son mari Helen Elizabeth Smith part avec ses deux filles s'installer à Portland dans l'État du Maine. En 1862, elle épouse en secondes noces un médecin diplômé du Bowdoin College, Albion Bradbury. La famille recomposée s'installe dans une bourgade rurale Hollis dans l'État du Maine. Kate Douglas Smith y vit avec sa sœur et son demi-frère Philip[1],[2],[3],[4].

Formation[modifier | modifier le code]

Gorham Academy
L'Abbot Academy de Andover dans le Maine.

L'éducation scolaire de Kate Douglas Smith se fait sous la houlette de son beau-père Albion Bradbury. Elle suit ses premières années de scolarité primaire dans un établissement du comté de York, puis à partir de ses treize ans, elle suit ses études secondaires comme pensionnaire de la Gorham Academy (en) de Gorham dans le Maine, grâce à sa professeure de Latin elle gagne des prix de diction en anglais et français puis deux après, au sein de deux séminaires féminins[note 1] , la Morrison Academy de Baltimore dans le Maryland, l'Abbot Academy (en) à Andover dans le Massachusetts où elle achève ses études secondaires, elle en sort diplômée en 1873 à l'âge de 17 ans[1],[3],[4],[5],[6].

Premières influences[modifier | modifier le code]

Photographie de Charles Dickens
Portrait de Walter Scott peint par Henry Raeburn

Durant son adolescence Kate Douglas Smith porte une préférence littéraire vis-à-vis des romans de Charles Dickens et Walter Scott. Elle est une lectrice régulière du Harper's Magazine, du Littell's Living Age, de la Bible et des romans de son époque[1],[3].

Tragédie familiale[modifier | modifier le code]

Élève douée, Kate Douglas Smith aurait pu entreprendre des études universitaires, mais son beau-père souffrant d'une bronchite chronique décide de partir pour la côte ouest où il pense trouver un climat plus favorable à sa santé. En 1873, il emmène sa famille s'installer à Santa Barbara dans l'État de la Californie, il quitte la médecine pour travailler comme agent immobilier, profession affectée par l'effondrement des prix consécutif à la guerre de Sécession. Mais en 1876, Albion Bradbury décède laissant sa famille dans des difficultés financières[1],[2],[3],[4],[7].

Carrière[modifier | modifier le code]

Doutes[modifier | modifier le code]

Après la mort de son beau-père Albion Bradbury, Kate Douglas Smith est en recherche d'un moyen de gagner sa vie elle envoie le manuscrit d'un roman Half-A-Dozen Housekeepers au St. Nicholas (magazine) (en) qui accepte de le publier. Mais elle ne sait comment transformer l'essai en écrivant d'autres récits, nouvelles ou romans. Elle pense à l'enseignement[1],[3],[7].

La pédagogie de Friedrich Fröbel[modifier | modifier le code]

Portrait de Friedrich Fröbel.
Photographie de Caroline M. Severance.

C'est au milieu de ses débats intérieurs qu'au début de l'été 1877, que Kate Douglas Smith fait la connaissance d'une femme qui va changer sa vie Caroline Severance (en)[8],[9]; lorsque cette dernière se rend à Santa Barbara, elle tient une conférence sur la pédagogie de Friedrich Fröbel et ses applications pour une réforme de la formation des animateurs et enseignants des écoles maternelles et du contenu des activités de ces écoles maternelles notamment par les jeux, la musique et autres matières artistiques centrées sur le développement des aptitudes de l'enfant. Les idées Friedrich Fröbel ont rencontré un écho favorable au sein des transcendantalistes américains. À la suite de cette conférence, Kate Douglas Smith est convaincue de la pertinence de cette pédagogie et cherche un institut de formation d'enseignant des écoles maternelle dispensant cette pédagogie. Elle quitte Santa Barbara pour Los Angeles pour se renseigner sur une école de formation d'enseignant en école maternelle dirigée par Emma Marwedel[note 2], la Pacific Normal Training School for Kindergartners. Cette dernière, lors d'un entretien lui annonce que grâce à ses qualités musicales, ses aptitudes de conteuse, son amour des enfants elle possède tous les atouts pour être une excellente enseignante auprès des jeunes enfants, aussi va-t-elle faciliter ses études en lui offrant le logis et le couvert, et de son côté, sa mère Helen Smith Bradbury met en hypothèque sa maison pour financer ses frais de scolarité[1],[3],[4],[7].

La tête de file du renouveau des écoles maternelles en Californie[modifier | modifier le code]

Portait photographique de Felix Adler.

En 1878, Kate Douglas Smith ayant achevé sa formation d'enseignant en école maternelle auprès de Emma Marwedel, elle ouvre une école maternelle dans la Silver Street de Santa Barbara au sein d'un quartier défavorisé, cette école est rattachée au Santa Barbara College, devenu l'université de Californie à Santa Barbara et rejoint la Public Kindergarten Society of San Francisco (Société des école maternelle publiques de San Francisco) première association de ce type en Californie fondée par le professeur Felix Adler le et présidée par Solomon Heydenfeldt (en) et dont Emma Marwedel est une des fondatrices. Enfin en 1880, elle crée la California Kindergarten Training School ( École californienne de formation d'enseignants en école maternelle)[1],[2],[3],[4].

La reconnaissance[modifier | modifier le code]

Photographie de William Ellery Channing.
Photographie de Ralph Waldo Emerson.

Dès 1879, Kate Douglas Smith est reconnue pour ses compétences pédagogiques, notamment par les transcendantalistes appartenant au cercle de Concord comme Elizabeth Peabody, William Ellery Chaning, Amos Bronson Alcott, Ralph Waldo Emerson. Elle a également le soutien de sa sœur cadette Nora Archibald Smith, diplômée du (en) Santa Barbara College, qui a derrière elle une carrière de professeure et de directrice du service scolaire de Tucson dans l'Arizona[1],[2],[3],[4].

Le tournant[modifier | modifier le code]

En 1881, Kate Douglas Smith se marie avec Samuel Bradley Wiggin, un ami d'enfance qu'elle a connu à Boston et qui est parti pour San Francisco pour exercer son métier de juriste. Kate Douglas Wiggin passe alors la direction de ses établissements à sa sa sœur Nora Archibald Smith tout en lui donnant des conseils jusqu'à son départ pour New York en 1884. Auparavant, son roman The Story of Patsy est publié en 1882, récit romancé de son expérience auprès des enfants livrés à eux-mêmes c'est le début d'une carrière littéraire[1],[2],[3],[4].

Quand Kate Douglas Wiggin quitte la Californie pour New York, elle laisse derrière elle la création de 34 maternelles, la majorité à San Francisco et ses environs, la majorité des enseignants de ces écoles sont diplômés de la California Kindergarten Training School, la Commission scolaire de San Francisco (en) a adopté sa pédagogie comme un principe majeur de la pédagogie des écoles publiques pour les enfants âgées de cinq à six ans[4].

Débuts d'une carrière littéraire[modifier | modifier le code]

Illustration de Katharine R. Wireman issue du récit "The Birds' Christmas" par Kate Douglas Wiggin

Installée à New York, Kate Douglas Wiggin, tout en gardant un œil sur les maternelles de la Californie, écrit un second livre publié en 1886 sous le titre de The Birds' Christmas Carol (en). Il s'agit d'un livre pour enfants, un récit dans lequel une jeune fille Carol, prépare un repas de Noël pour les neuf enfants de ses voisins pauvres. Récit à la fois fantastique et réaliste, s’appuyant sur sa générosité lorsqu'elle intervenait au moment de Noël auprès des enfants des quartiers défavorisés de San Francisco. Publié par la maison d'édition Houghton Mifflin, The Birds' Christmas Carol est un succès, il fait le tour du monde et est traduit dans plusieurs langues comme le français, l'allemand, le suédois, le japonais, etc. Cette réussite littéraire conforte Kate Douglas Wiggin à envisager de devenir une écrivaine[1],[2],[7].

Tragédie[modifier | modifier le code]

La résidence Quillcote de Kate Douglas Wiggin

Dans la foulée, Kate Douglas Wiggin commence à rédiger le manuscrit de Timothy's Quest dans sa résidence « Quillcote » de Hollis, rédaction interrompue par la mort soudaine de son mari Samuel Bradley Wiggin durant le printemps 1889[1],[7].

Voyage et nouveau succès[modifier | modifier le code]

Après les funérailles de Samuel Wiggin, elle prend le bateau pour s'embarquer vers l’Europe, quand Kate Douglas Wiggin arrive en Angleterre elle reprend et achève la rédaction de Timothy's Quest à Stratford-upon-Avon. Quand elle retourne aux États-Unis en , la publication de Timothy's Quest est un nouveau succès, ce qui la convainc de ses aptitudes à l'écriture[7],[1].

Entre conférences, voyages et écriture[modifier | modifier le code]

Photographie de Ellen Terry prise par Julia Margaret Cameron.
Photographie de Hamlin Garland.

Dès son retour à New York, de , Kate Douglas Wiggin partage son temps entre l'écriture et des lectures publiques de ses livres données aux bénéfices d’œuvres caritatives prenant en charge des enfants défavorisés. Régulièrement, elle se rend en Europe. Épuisée par l'écriture, les déplacements pour faire connaitre ses romans, elle se repose à sa résidence « Quillcote » où vivent également sa mère et sa sœur. Entre 1890 et 1900, elle publie des succès comme la collection des « Penelope »[1],[7].

Mariée à George Christopher Riggs en 1895, le nouveau couple passe les printemps en Europe, les étés à Hollis et les hivers à New York. Pendant les hivers newyorkais ils fréquentent les figures littéraires de l'époque Mark Twain, William Dean Howells, Clide Fitch, Richard Harding Davis, Hamlin Garland, Rudyard Kipling, sir Henry Irving, Ellen Terry et autres[1],[2],[3].

Kate Douglas Wiggin entre deux rédactions de romans, avec sa sœur Nora Archibald Smith elle publie les conférences qu'elle a données à la California Kindergarten Training School, sous le titre de The Republic of Childhood qui comprend trois volumes[1],[2].

Vie personnelle[modifier | modifier le code]

Le , Kate Douglas Smith épouse Samuel Bradley Wiggin et devient Kate Douglas Wiggin, le couple n'aura pas d'enfants[1].

Secondes noces[modifier | modifier le code]

Photographie de Kate Douglas Wiggin en 1903.

Lors d'un voyage en Angleterre au printemps 1894 , Kate Douglas Wiggin fait la connaissance de George Christopher Riggs, un américain dont les activités d'industriel et d'exportateur le conduisent à se déplacer à l'étranger. Le , Kate Douglas Wiggin et George Christopher Riggs se marient[1],[2].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Littéraires[modifier | modifier le code]

Éditions originales[modifier | modifier le code]

Éditions francophones[modifier | modifier le code]

(fr) Kate Douglas Wiggin (trad. de l'anglais américain par Marguerite Clément), Rebecca du ruisseau ensoleillé [« Rebecca of Sunnybrook »] [« Rebecca du ruisseau ensoleillé »], Saint-Ouen, Société nouvelle des Editions G.P (réimpr. 1964) (1re éd. 1945), 251 p. (OCLC 459010872),

Pédagogiques, co-écrits avec sa sœur Nora Archibald Smith[modifier | modifier le code]

  • Children's Rights : A Book of Nursery Logic, Boston et New York, Houghton Mifflin and Company (réimpr. 2009, 2016, 2022) (1re éd. 1892), 272 p. (OCLC 1068016696, lire en ligne),
  • Kindergarten Principles and Practice, Boston, Houghton Mifflin Co (réimpr. 2007, 2013) (1re éd. 1896), 228 p. (OCLC 263034514, lire en ligne),
  • Froebel's Occupations, Boston et New York, Houghton Mifflin (réimpr. 2007, 2019) (1re éd. 1896), 330 p. (OCLC 259956817, lire en ligne),

Composition musicale[modifier | modifier le code]

Directrice de publication[modifier | modifier le code]

  • co-édité avec Nora Archibald Smith (dir.), Golden Numbers A Book of Verse for Youth, New York, McClure, Phillips & Co (réimpr. 1907, 2010, 2018) (1re éd. 1902), 770 p. (OCLC 314410446, lire en ligne),
  • Co édité avec Nora Archibald Smith (dir.), Pinafore Palace : A Book of Rhymes for the Nursery, New York, McClure company (réimpr. 2015) (1re éd. 1907), 280 p. (ISBN 9781515282372, OCLC 2145907, lire en ligne),

Archives[modifier | modifier le code]

Les archives de Kate Douglas Wiggin sont déposées à la bibliothèque Hawthorne-Longfellow du Bowdoin College, archives consultables sur demande et à la bibliothèque Cecil Howard Green de l'université Stanford[10],[11].

Hommage[modifier | modifier le code]

Affiche de l'exposition universelle de 1915.

Lors de Exposition universelle de 1915 ou Exposition internationale de Panama-Pacific, Kate Douglas Wiggin et six autres femmes illustres du monde y sont invitées, Kate Douglas Wiggin est honorée comme étant la pionnière de la nouvelle pédagogie des écoles maternelles. Les commissaires de l'exposition, organisent un gala de soirée en son honneur où sont invités des enseignants diplômés de la California Kindergarten Training School. Kate Douglas Wiggin écrit au sujet de cet événement « j'étais au ciel, après ce jour je pouvais mourir »[4].

En 1977, la Kate Douglas Wiggin House (en) de Hollis, est classée monument historique par le National Park Service[12].

Adaptations[modifier | modifier le code]

Au cinéma[modifier | modifier le code]

Roman Les Locataires de la maison jaune
Roman Rebecca du ruisseau ensoleillé
Roman Timothy's Quest

À la télévision[modifier | modifier le code]

Roman Rebecca du ruisseau ensoleillé
  • 1978 : Rebecca of Sunnybrook Farm, série télévisée britannique de Rodney Bennett, avec Julia Lewis.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r (en-US) Paul Wilson Boyer (dir.), Notable American Women: A Biographical Dictionary, 1607-1950, vol. 3 : P-Z, Cambridge, Massachusetts, Harvard University Press (réimpr. 2014) (1re éd. 1971), 729 p. (ISBN 9780674288379, lire en ligne), p. 605-607
  2. a b c d e f g h i et j (en-US) John A. Garraty (dir.), American National Biography, vol. 23 : Wellek - Wrenn, New York, Oxford University Press, USA, , 899 p. (ISBN 9780195128024, lire en ligne), p. 351-352
  3. a b c d e f g h i j et k (en-US) Anne Commire (dir.) et Deborah Klezmer (dir.), Women in World History, vol. 16 : Vict - X, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications & Galle Research, , 881 p. (ISBN 9780787640750, lire en ligne), p. 517-522
  4. a b c d e f g h i et j (en-US) Doyce B. Nunis, Jr., « Kate Douglas Wiggin: Pioneer in California Kindergarten Education », California Historical Society Quarterly, vol. 41, no 4,‎ , p. 291-307 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  5. (en-US) « Wiggin, Kate Douglas », sur Maine, An Encyclopedia
  6. (en-US) « Kate Douglas Wiggin : American author » Inscription nécessaire, sur Britannica
  7. a b c d e f et g (en-US) Henry James Forman, « Kate Douglas Wiggin: A Woman of Letters », Southern California Quarterly, vol. 44, no 4,‎ , p. 273-285 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  8. (en-US) « SEVERANCE, CAROLINE M », sur Encyclopedia of Cleveland History
  9. (en-US) « Caroline Maria Seymour Severance : American social reformer » Inscription nécessaire, sur Britannica,
  10. (en-US) « Guide to the Kate Douglas Wiggin: Notebooks and workbooks, ca. 1883-1884 », sur On Line Archive of California
  11. (en-US) « Guide to the Kate Douglas Wiggin Collection , 1867-1985, (bulk 1891-1917) », sur Bowdoin College
  12. (en-US) National Register of Historic Places, « Wiggin, Kate Douglas, House », sur National Park Service,

Notes[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références[modifier | modifier le code]

  • (en-US) Edward T. James (dir.), Notable American Women 1607-1950, vol. 3 : P-Z, Cambridge, Massachusetts, Harvard University Press (réimpr. 2014) (1re éd. 1971), 729 p. (ISBN 9780674288379, lire en ligne), p. 605-607. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Anne Commire (dir.), Yesterday's Authors Books for Children : Facts and Pictures About Authors and Illustrators of Books for Young People, vol. 1, Detroit, Michigan, Gale Research Co. (réimpr. 1993) (1re éd. 1977), 274 p. (ISBN 9780810300736, lire en ligne), p. 258-274,
  • (en-US) John A. Garraty (dir.), American National Biography, vol. 23 : Wellek - Wrenn, New York, Oxford University Press, USA, , 899 p. (ISBN 9780195128024, lire en ligne), p. 351-352. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Taryn Benbow-Pfalzgraf (dir.), American Women Writers : a critical reference guide : from colonial times to the present, vol. 4 : S-Z), Detroit, Michigan, St. James Press, , 339 p. (ISBN 9781558624290, lire en ligne), p. 236-237,
  • (en-US) Anne Commire (dir.) et Deborah Klezmer (dir.), Women in World History,, vol. 16 : Vict - X, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications & Gale Research, , 881 p. (ISBN 9780787640750, lire en ligne), p. 517-522. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Alfred Bendixen (dir.), The Continuum Encyclopedia of American Literature, New York, Bloomsbury Academic, , 1316 p. (ISBN 9780826415172, lire en ligne), p. 1230,

Essais et biographies[modifier | modifier le code]

Articles[modifier | modifier le code]

  • (en-US) « Kate Douglas Wiggin », The Journal of Education, vol. 44, no 18,‎ , p. 308 (1 page) (lire en ligne Accès libre),
  • (en-US) Betty Harcourt, « Authors whi are a Present Delight —III. Kate Douglas Wiggin », The Journal of Education, vol. 59, no 18,‎ , p. 276, 281 (2 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • (en-US) Jane A. Stewart, « Kate Douglas Wiggin, Teacher », The Journal of Education, vol. 98, no 11,‎ , p. 293-294 (2 pages) (lire en ligne Accès libre),
  • (en-US) Doyce B. Nunis, Jr., « Kate Douglas Wiggin: Pioneer in California Kindergarten Education », California Historical Society Quarterly, vol. 41, no 4,‎ , p. 291-307 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Henry James Forman, « Kate Douglas Wiggin: A Woman of Letters », Southern California Quarterly, vol. 44, no 4,‎ , p. 273-285 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • (en-US) Fred Erisman, « Transcendentalism for American Youth: The Children's Books of Kate Douglas Wiggin », The New England Quarterly, vol. 41, no 2,‎ , p. 238-247 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) Paul Sorrentino, « A Biographical Connection between Jack London and Kate Douglas Wiggin », American Literary Realism, vol. 32, no 1,‎ , p. 82-84 (3 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Sitographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]