Kopara

Kopara est un mot d'origine polynésienne désignant les mattes microbiennes qui s'accumulent dans les mares des atolls polynésiens^[1]. Ces accumulations de bactéries, cyanobactéries^[2], microalgues sont adaptées aux variations de salinité, d'hydratation et à une intense exposition au soleil.

Elles ont la réputation de soigner les brûlures du corail de feu^[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ Jehl Caroline, « Les mattes algaires cyanobactériennes (kopara) des atolls des Tuamotu : biochimie, productivité et signification écologique », sur Institut de recherche pour le développement, 1996 (consulté le 3 décembre 2021)
↑ « Mare à Kopara de Raraka », sur Tahiti Heritage (consulté le 3 décembre 2021)
↑ Daniel Pardon (Cf. § Prisonniers volontaires), « Carnet de voyage à Fakarava : dans les tièdes mares à kopara », sur tahiti-infos.com, Papeete, FenuaCommunication, 29 janvier 2016 (consulté le 3 décembre 2021)

Lien externe[modifier | modifier le code]

(en) Kopara in Polynesian atolls: early stages of formation of calcareous stromatolites

[1] Jehl Caroline, « Les mattes algaires cyanobactériennes (kopara) des atolls des Tuamotu : biochimie, productivité et signification écologique », sur Institut de recherche pour le développement, 1996 (consulté le 3 décembre 2021)

[2] « Mare à Kopara de Raraka », sur Tahiti Heritage (consulté le 3 décembre 2021)

[3] Daniel Pardon (Cf. § Prisonniers volontaires), « Carnet de voyage à Fakarava : dans les tièdes mares à kopara », sur tahiti-infos.com, Papeete, FenuaCommunication, 29 janvier 2016 (consulté le 3 décembre 2021)

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