Krautergersheim

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Krautergersheim
Krautergersheim
Maison à colombages.
Blason de Krautergersheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Sainte-Odile
Maire
Mandat
René Hoelt
2020-2026
Code postal 67880
Code commune 67248
Démographie
Gentilé Chouvillois, Chouvilloise
Population
municipale
1 745 hab. (2021 en augmentation de 3,75 % par rapport à 2015)
Densité 274 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 34″ nord, 7° 34′ 03″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 159 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Obernai
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Krautergersheim
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Krautergersheim
Liens
Site web http://krautergersheim.com/

Krautergersheim (Krüterrische en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ses habitants sont appelés les Chouvilloises et les Chouvillois[1], en référence au chou à choucroute (Kraut en allemand, krüt en alsacien), choucroute dont la commune se réclame la capitale alsacienne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Entrée du village de Krautergersheim.
Panneaux rappelant le jumelage du village.
La rue principale du village.

Krautergersheim est située dans l'arrondissement de Sélestat-Erstein et dans le canton d'Obernai. Le village est situé à proximité de la voie rapide A35 en direction de Barr et Strasbourg. Il existe deux principaux terroirs :

  • à l'ouest, les terrasses lœssiques portent de riches cultures vivrières : les choux, la pomme de terre et le maïs ;
  • à l'est, le Bruch de l'Andlau, pays des prairies humides, des forêts, des landes humides, mais aussi de la culture du chanvre et du lin.

Les habitants sont appelés les Chouvillois et les Chouvilloises. La commune occupe une superficie de 6,4 km2. Les villages les plus proches sont Meistratzheim, Innenheim, Hindisheim.

Cours d'eau[modifier | modifier le code]

  • L'Ehn (autrefois Ergers).
Communes limitrophes de Krautergersheim
Bischoffsheim
Obernai Krautergersheim Hindisheim
Meistratzheim

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Vosges » et « Alsace »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 616 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Krautergersheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,5 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), zones urbanisées (12,9 %), eaux continentales[Note 4] (3,3 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est attesté sous les formes Ercafetilsheim en 736 dans un document de l'abbaye de Murbach, Eringisashaim en 778. L'abbesse de Sainte-Odile, Herrade de Landsberg, évoque Ergersheim dans ses écrits.

Le nom du village provient, selon l'humaniste Wimpheling, de l'ajout de l'alsacien Krüt « chou » (alémanique Krüt, allemand Kraut) à Ergersheim, pour le distinguer alors d'une localité homonyme proche de Molsheim. L'ancien village s'explique quant à lui par l'hydronyme Ergers, suivi de l'appellatif -heim, signifiant « foyer, village »

Histoire[modifier | modifier le code]

Les vestiges de la civilisation romaine et des tombes mérovingiennes attestent de l'occupation du site de Krautergersheim. Par la suite, ce sont les Alamans qui se fixent aux alentours des VIe et VIIe siècles. Des actes écrites mentionnent la possession du village par diverses abbayes : en 735 par l'abbaye de Murbach, en 778 du l'abbaye de Hohenbourg (Mont Sainte-Odile) et en 1050 par l'abbaye de Baumgarten.

Le village sera dévasté en 1587 lors des guerres de Religion ; il est incendié par des mercenaires de passage. Durant la guerre de Trente Ans, les troupes du général Ernst von Mansfeld au service des protestants pillent et saccagent les églises et les abbayes, maltraitant les paysans, et brûlant le village. En 1632, ce sont les Suédois du roi Gustave II Adolphe, venus au secours des protestants allemands, qui pénètrent en Alsace, occupant toutes les villes fortifiées dont Benfeld et mettent à sac Krautergersheim. En 1634, deux ans après la mort de leur roi, les Suédois quittent l’Alsace, mais leur souvenir demeure fortement enraciné dans la mémoire collective. À partir du XIVe siècle, plusieurs familles seigneuriales se partagent le village. La famille Berckheim possède un château qui sera acheté plus tard par Bernard-Frédéric de Turckheim et son épouse Lili Schoenemann - l'amour de Goethe. Au début du XVIe siècle, le préfixe Kraut est ajouté au nom de la localité pour la distinguer de son homonyme, situé à proximité de Molsheim le village témoigne de l'ancienneté de la culture intensive du chou et de la fabrication de la choucroute. Lors de la chute de l'Empire, des unités autrichiennes occupent Krautergersheim durant trois années.

Les activités du village se partagent entre la culture de la pomme de terre, la fabrication industrielle de la choucroute, l'industrie du bâtiment et un fort secteur artisanal et commercial.

Fête de la choucroute[modifier | modifier le code]

La commune, qui se proclame « capitale de la choucroute» (Kraut signifie chou en alémanique), organise chaque année sa « fête de la choucroute » le dernier week-end de septembre et le premier week-end d’octobre[15].

La fête débute traditionnellement le samedi soir avec une dégustation de choucroute et de la musique avec un orchestre alsacien installé sur la Place des fêtes de Krautergersheim[16]. La fête se prolonge ensuite le dimanche avec nombreuses animations, dont un cortège de chars et des groupes folkloriques dans les rues, suivi par plusieurs milliers de personnes[15].

En raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de COVID-19, cette fête a cependant été annulée deux années de suite, en 2020 et 2021[15].

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Krautergersheim

Les armes de Krautergersheim se blasonnent ainsi :
« De sable au sautoir d'or. »[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1987
mars 2001
André Sigwald (1933/34 - 2015)
   
mars 2001
[18]
Joseph Lotz
 
Agriculteur
[18]
Poste vacant
   
En cours
(au 31 mai 2020)
René Hoelt[19],[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 1 745 habitants[Note 5], en augmentation de 3,75 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9591 1531 0771 2771 2641 2871 2081 3001 325
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 3261 2881 3031 3561 3871 4231 4061 4171 382
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3971 4151 3811 2581 1901 1611 1871 1891 114
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1021 0861 0431 3031 3881 5901 5841 5911 650
2014 2019 2021 - - - - - -
1 7061 7151 745------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

population provisoire pour 2004 : 1 584

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Epvre (1815).
Chapelle du cimetière (1851).
Mairie de Krautergersheim.

Église Saint-Epvre[modifier | modifier le code]

Saint Epvre est évêque de Toul vers 500-507. Selon la tradition orale, il chasserait les serpents venimeux du ban de la commune. L'église est construite en remplacement d'un édifice devenu trop petit. Le saint dédicataire est représenté sur le vitrail central du chœur entouré de serpents. L'église abrite deux autels latéraux du XVIIIe siècle, vestiges de l'ancien édifice, une statue de la Vierge à l'Enfant également du XVIIIe siècle, un chemin de croix datant de 1832 et un orgue Stiehr-Mockers (restauré par Daniel Kern en 2014) depuis 1861. Le clocher surmonté d'une flèche en 1902, abrite trois cloches, bénies en 1851 ; la plus importante porte le nom de saint Epvre, elle est remplacée en 1939. Les fonts baptismaux, autrefois entreposés dans la grange du presbytère, sont réintégrés en 1983.

Chapelle du cimetière[modifier | modifier le code]

Construite avec des éléments gothiques provenant d'une chapelle-crypte datée de 1559, cette chapelle est située sur l'ancien domaine de la famille Berckheim-Türckheim. Les murs extérieurs sont incrustés d'anciennes pierres tombales.

Chapelle centrale (1590-1815)[modifier | modifier le code]

Cette chapelle centrale à Krautergersheim est édifiée à l'endroit de l'ancienne église du village, construite à l'intérieur du fief des Berckheim, sans doute après l'incendie de 1587.

C’est en effet le seul lieu où, en cas d’incursion militaire, la population peut se réfugier avec le bétail. Menaçant ruine, l’église est alors remplacée par un nouvel édifice, construit en 1815. En 1831, à la mort du baron de Turckheim, le domaine est vendu à une société d’Obernai, qui le revend par lots.

Le château et l’ancienne église sont alors démolis. Seule la tour-chœur est conservée ; elle abrite les sépultures de Lili Schoenemann, le « grand amour de Gœthe », et de son mari, puis accueille le cercueil du préfet Adrien de Lezay-Marnesia de 1814 à 1853, date à laquelle son corps est transféré dans un caveau de la cathédrale de Strasbourg.

Transformée en chapelle privée, elle appartient désormais à la famille de Turckheim de Dachstein.

Moulin (1713)[modifier | modifier le code]

D'après l'inscription du millésime 1713 sur le linteau de la porte d'entrée également sculpté d'un emblème de meunier, le moulin actuel date de 1713 ; il figure sur les cartes du XVIIIe siècle

Le Moulin de Krautergersheim (1713).

Adresse : 49 rue du Moulin. Des deux moulins à Krautergersheim mentionnés au XVIIIe siècle, il ne subsiste que celui-ci, qui fonctionne jusqu’en 1905. La roue à aubes est entraînée par l'Ehn, qui coule le long du côté Ouest du Moulin.

La Laube (mairie)[modifier | modifier le code]

La Laube à Krautergersheim est une maison communale autour de laquelle la vie publique de la communauté villageoise s'organise à partir du XVIe siècle. Elle accueille les assemblées de notables et la justice y est rendue.

Le rez-de-chaussée servait autrefois de marché couvert ; l’une des arcades porte la date de 1566, une marque de tâcheron et un décor d’animaux et de feuillages. Le pignon est orné d’un cadran solaire du XVIe siècle.

La communauté villageoise possédait, à côté du blason officiel, une marque composée d’un chou et d’une betterave ; cet emblème était gravé sur les bornes délimitant le ban communal au XVIIIe siècle, comme l’atteste celle conservée devant la Laube.

Le bâtiment abrite une école de filles à partir de 1849, puis est transformé en mairie en 1982.

Calvaire Wunderkritz[modifier | modifier le code]

Sur la route de Hindisheim se situe s'WunderKritz ou s'ZiginerKritz, crucifix érigé pour le curé Jean-Georges Walter en 1752 et sculpté vraisemblablement par le maître anonyme dit « de la croix du cimetière d'Ebersmunster », puis déplacé par Rosalie Stoeffler à l'emplacement actuel en 1877.

Le curé ayant certainement contracté le paludisme, en rentrant de Hindisheim s'affaisse soudainement, terrassé par un accès de fièvre des marais, au lieu-dit Bornplatz ou Brunnenmatt. Alors le pauvre homme fait le vœu de faire ériger une croix si le Seigneur lui vient en aide. Peu après, il est relevé par des passants qui le transportent jusqu'à Krautergersheim. Plus tard, il tient promesse et fait construire la croix là où il est tombé.

La nouvelle de sa guérison miraculeuse se propage et la croix attire de nombreux pèlerins de Krautergersheim et des villages voisins. Ce crucifix passe pour guérir les maladies infantiles et pour protéger les animaux domestiques contre les maladies, notamment les chevaux, très nombreux dans le village. Il fera l'objet de dévotions jusqu'à une époque récente.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Lili Schoenemann
(v. 1780).

Galerie d'images[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Pierre Deslais, L'Alsace, géographie curieuse et insolite, Rennes, Éditions Ouest France, , 116 p. (ISBN 978-2-7373-6364-1), p. 46.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Krautergersheim et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « La capitale de la choucroute annule sa grande fête prévue à l’automne », sur Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  16. « Fête de la Choucroute à Krautergersheim 2022 », sur Journal des spectacles (consulté le ).
  17. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  18. a et b « Grand Est : actualités et infos en direct - France 3 Grand Est », sur France 3 Grand Est (consulté le ).
  19. [PDF] « Liste des maires du Bas-Rhin », sur bas-rhin.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Collectif, Krautergersheim, entre Ried et piémont, hier et aujourd'hui, Collection Mémoires de vie, Carré blanc éditeur, Strasbourg, 2010, 248 pages.

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