Léon Tixier
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Léon Tixier
| Ministre général des Chartreux | |
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Léon Tixier, né à Felletin et mort le 13 novembre 1649, est un moine chartreux français qui fut prieur de la Grande Chartreuse de 1643 à 1649 et donc ministre général de l'ordre des Chartreux.
Biographie[modifier | modifier le code]
Léon Tixier est le second de trois frères qui deviennent également chartreux[1].
Il est profès de la Grande Chartreuse, puis prieur de la chartreuse de Lyon de 1619 jusqu'à son élection comme général de l'ordre en 1643[2].
Écrits[modifier | modifier le code]
- « Extrait des Reglemens qui furent faits par le R. Père Dom Leon, et publiez à Salettes le 7e jour de Septembre 1648 », Le Masson, Innocent, Articles à examiner souvent, tirés des Statuts des Moniales Chartreuses, s.l.n.d. (Correrie, vers 1694), prem. partie, pp. 21–25. (Ce sont les paragraphes : 11, 13, 28, 38, 39, 45, 46, 48, 53, 56, 58, 61, des Reglemens de Dom Léon Tixier.)
Famille[modifier | modifier le code]
- Pacifique Tixier (†1645), né à Felletin, profès de Port-Sainte-Marie, prieur de Villefranche-de-Rouergue, en 1614; de Port-Sainte-Marie, en 1616; prieur-fondateur de la chartreuse de Bordeaux, transféré à Toulouse en 1627[3]
- Antoine Tixier (†1655), né à Felletin, profès de Toulouse, prieur de Rodez en 1617, puis de Cahors en 1627, prieur à Bordeaux en 1642, à Cahors dès l’année suivante, transféré à Toulouse en 1645.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Notes
- Références
- Histoire ou Antiquitez de l'état monastique et religieux, Chez François André Pralard, (lire en ligne)
- Adolphe Vachet, Les anciens couvents de Lyon, Emmanuel Vitte, (lire sur Wikisource), « Le monastère de la Chartreuse », p. 283-292
- Paul Ducourtieux, « Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin », sur Gallica, (consulté le )
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: documents utilisés comme source pour la rédaction de cet article :
- Lefebvre, F.A., Saint Bruno et l’Ordre des chartreux, t. 2, Paris, Librairie catholique internationale, , 682 p. (lire en ligne), p. 119.
