La Fille de la nuit
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Cet article est une ébauche concernant la littérature française.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| La Fille de la nuit | |
| Auteur | Serge Brussolo |
|---|---|
| Pays |  France
|
| Genre | Roman policier |
| Éditeur | Librairie des Champs-Élysées |
| Date de parution | 1996 |
| Nombre de pages | 309 |
| ISBN | 2-7024-7842-5 |
| modifier |
|
La Fille de la nuit est un roman policier français de Serge Brussolo paru à la Librairie des Champs-Élysées en 1996.
Résumé[modifier | modifier le code]
Une jeune femme, identifiée par la police sous le nom de Jane Doe, est devenue amnésique à la suite d'une blessure par balle.
Particularités du roman[modifier | modifier le code]
En anglais, John Doe (version féminine : Jane Doe) est une expression utilisée pour désigner une personne non-identifiée. Ainsi, un blessé inconscient et n'ayant pas de papiers sur lui est inscrit sous le nom de « John Doe » (ou de « Jane Doe » pour une femme) par l'hôpital.
Éditions[modifier | modifier le code]
- Librairie des Champs-Élysées, 1996 (ISBN 2-7024-7842-5)
- LGF, coll. « Le Livre de poche » no 17007, 1997 (ISBN 2-253-17007-0)
- Dans le volume omnibus Serge Brussolo 2, Éditions du Masque, 2001 (ISBN 2-7024-3053-8)
Adaptations en bande dessinée[modifier | modifier le code]
- Jane Doe, Albin Michel, coll. « BD Haute Tension », 2003 (ISBN 2-226-13886-2)[1]
Sources[modifier | modifier le code]
- La Fille de la nuit, Librairie des Champs-Élysées, 1996
- Fiche wikipedia John Doe/Jane Doe
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean-Pierre Fuéri, « Carnets de balle », BoDoï, no 68, , p. 14.
