La Mort des trois soleils

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La Mort des trois soleils

Titre original Nightfall
Réalisation Paul Mayersberg
Scénario Paul Mayersberg
Musique Frank Serafine
Acteurs principaux
Sociétés de production New Horizons
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Science-fiction
Durée 83 minutes
Sortie 1988

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Mort des trois soleils (Nightfall) est un film américain écrit et réalisé par Paul Mayersberg, sorti en 1988. Il s'agit de l'adaptation de la nouvelle de science fiction Quand les ténèbres viendront (Nightfall, 1941) d'Isaac Asimov.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Sur une planète peu avancée technologiquement et abondamment éclairée par trois soleils, il ne fait que jour. La découverte archéologique qu'une nouvelle période nocturne reviendra divise la population en deux : ceux qui sombrent dans le mysticisme et ceux qui cherchent des solutions rationnelles, telles que l'usage d'abris, pour survivre.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

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Distribution[modifier | modifier le code]

  • David Birney : Aton
  • Sarah Douglas : Roa
  • Alexis Kanner : Sor
  • Andra Millian : Ana
  • Starr Andreeff : Bet
  • Chuck Hayward : Kin
  • Jonathan Emerson : l'architecte
  • Susie Lindeman : Boffin
  • Russell Wiggins : Zol
  • Larry Hankin : le roi du désert
  • Ronald R. Burns : l'homme d'Aton
  • Bernard J. Garsen : l'homme d'Aton
  • Dan Wells : l'assistant de l'architecte
  • Bradley Reid : Trader

Production[modifier | modifier le code]

Le tournage a lieu en Arizona, précisément à Arcosanti, un développement organique architectural, ainsi qu'à Cosanti, à l'extérieur de Scottsdale, et dans la forêt nationale de Tonto. Les habitants d'Arcosanti ont tenu le rôle de figurants[1].

Accueil[modifier | modifier le code]

Chris William du Los Angeles Times résume « tout espoir que Mayersberg scénariste montre une réplique coup de poing est anéanti par Mayersberg réalisateur et son manque d'humour pompeux. » (« Any hope that Mayersberg the writer meant that to be a punch line is obliterated by Mayersberg the director’s utter, pompous humorlessness »)[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Kyle Counts, « Watching the Nightfall », Starlog, no 134,‎ , p. 62 (lire en ligne, consulté le ).
  2. (en) Chris William, « MOVIE REVIEW : Nightfall: A Classic Asimov Tale Gone Bad », sur latimes.com, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) J. P. Harris, Time Capsule : Reviews of horror, science-fiction and fantasy films and TV shows from 1887 -1991, Lincoln (Nebraska), Writers Club Press, , 289 p. (ISBN 1-900486-21-0), p. 167-169.
  • (en) Steven Puchalski, Slimetime : A Guide to Sleazy, Mindless Movies, Manchester, A Critical Vision Book, , 376 p., p. 210-211.

Liens externes[modifier | modifier le code]