Le Mérévillois

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Le Mérévillois
Le Mérévillois
L’hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité CC de l'Étampois Sud-Essonne
Maire
Mandat
Guy Desmurs
2020-2026
Code postal 91660
Code commune 91390
Démographie
Population
municipale
3 364 hab. (2021)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 06″ nord, 2° 05′ 13″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 142 m
Superficie 32,97 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Mérévillois
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étampes
Législatives 2e circonscription de l'Essonne
Localisation
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Liens
Site web lemerevillois.fr

Le Mérévillois est une commune nouvelle située dans le département de l'Essonne, en région Île-de-France, créée le , issue de la fusion à cette date des communes de Méréville et d'Estouches[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Localisation de la commune du Mérévillois dans le département de l'Essonne.

Situé à l'extrême sud-ouest du département de l'Essonne, à la limite du département du Loiret, le territoire de la commune du Mérévillois s'étend de part et d'autre de la rivière la Juine.

Traversé du nord au sud par la route départementale RD 49, la partie située à l'ouest de la route correspond au territoire de l'ancienne commune de Méréville, la partie située à l'est correspond à celui de l'ancienne commune d'Estouches, qui est traversée par l'ancienne ligne d'Étampes à Beaune-la-Rolande.

Le sentier de randonnée de pays des Vallées de l'Essonne traverse la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Située dans le bassin occidental de la Seine, le territoire de la commune est traversé du sud au nord par la rivière la Juine, affluent de la rive gauche de l'Essonne.

Le lit de la Juine est environné de zones humides où ont été aménagées des cressonnières[2].

Le cresson est cultivé sur les berges de la Juine depuis plus d'un siècle[3]. Les cressonnières sont en effet un élément remarquable du paysage, labellisées « paysage de reconquête » depuis 1992 par le ministère de l'Environnement, et classées « Site remarquable du goût »[4] et Patrimoine d'intérêt régional en 2019[5].

Le département de l'Essonne est un producteur de cresson de référence : une émission télévisée de France 2 a ainsi présenté en 2017 une visite d'un cressiculteur de Méréville[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 654 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainville à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Mérévillois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine du Mérévillois, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[16] et 5 972 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

Logements[21] Nombre en 2008 % en 2008 nombre en 2013 % en 2013 nombre en 2018 % en 2018
Total 1 514 100 % 1 538 100 % 1590 100 %
Résidences principales 1 322 87,3 % 1327 86,3 % 1 353 85,1 %
→ Dont HLM 23 1,7 % 24 1,8 % 24 1,8 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
76 5,0 % 56 3,5 % 73 4,6 %
Logements vacants[Note 3] 116 7,7 % 155 10,1 % 164 10,3 %
Dont :
→ maisons 1 354 89,4 % 1 354 88,0 % 1411 88,7 %
→ appartements 155 10,2 % 179 11,6 % 166 10,4 %

Toponymie[modifier | modifier le code]

Voir celle de l'ancienne commune de Méréville.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les communes de Méréville, Estouches et Monnerville ont envisagé en 2016 de fusionner en formant une commune nouvelle[22]. Si le conseil municipal de Monnerville a finalement refusé de participer à la fusion, ceux de Méréville et Estouches ont confirmé en leur volonté de constituer la commune nouvelle du Mérévillois au [23]. Le , le préfet de l'Essonne a signé l'arrêté de création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches, qui a pris effet le [24],[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement d'Étampes du département de l'Essonne

Pour l'élection :

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le Mérévillois est membre depuis sa création de la communauté d'agglomération de l'Étampois Sud-Essonne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2020 dans l'Essonne, la liste du maire sortant Guy Desmurs est la seule candidate et obtient donc les 668 suffrages exprimés. La liste est donc élue en totalité dès le premier tour.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 70,51 % des électeurs se sont abstenus[25].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune a été constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes.

Pour la mandature 2020-2026, le nombre de conseillers municipaux (y compris le maire et ses adjoints) est réduit à 27[25], avant de revenir à l’effectif normal des conseils municipaux de sa tranche démographique à compter de 2026, soit 23 conseillers municipaux pour les communes comprises entre 2 500 et 3 499 habitants[26]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la création de la commune nouvelle
Période Identité Étiquette Qualité
8 janvier 2019[27],[28] En cours
(au 16 avril 2022)
Guy Desmurs SE-DVD Cadre dirigeant retraité
Maire de Méréville (2014 → 2018)
Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2016[réf. nécessaire], Méréville reçoit à nouveau le label « Site remarquable du goût » et est nommée « Capitale européenne du Cresson ». Fin , la pratique culturale de ce légume à Méréville est entrée à l'inventaire national du patrimoine culturel immatériel sous la référence 2017_67717_INV_PCI_FRANCE_00378.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique
Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle
tel qu'existant au
1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
2 3102 4802 8533 0333 2483 3943 3613 312
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2018[30])

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête médiévalle de Méréville est organisée en septembre par l'association des Amis de la bonne cause[31]

La traditionnelle foire au cresson a lieu en avril[32].

Le quatrième salon de la gastronomie a eu lieu en septembre 2019 sous la halle de Méréville[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le domaine départemental de Méréville constitue un exemple de jardin pittoresque réalisé à la fin du XVIIIe siècle, emblématique des jardins anglo-chinois de cette époque. Il a été réalisé par composé par François-Joseph Bélanger puis Hubert Robert pour le compte du financier Jean-Joseph de Laborde[34]. Il accueille des activités culturelles[35]

Une cressonnière.

Les berges de la Juine et les bois qui l'entourent ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[36].

Quelques bosquets boisés d'Estouches ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil départemental de l'Essonne[37].

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

La halle du début de la Renaissance (env. 1511), son château et son parc, la Colonne Trajane et le lavoir du XVIIIe siècle sont les principaux éléments du patrimoine de la commune.

  • Halles de Méréville :
    Au début du XVIe siècle, Louis XII accorde au seigneur local, Bertrand de Reilhac, le droit de tenir quatre foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine. Ce dernier fit alors édifier la halle que l'on peut encore admirer de nos jours. Ses proportions sont vastes (40 m x 18 m). Sa charpente et ses quatre rangées de piliers sont en chêne. L'ensemble repose sur des socles de pierre.
    La halle accueille aujourd'hui de grandes manifestations culturelles (concerts, opéras, potiers d'art, etc.). Elle est classée aux monuments historiques depuis le [38]. Fête annuelle le week-end de Pâques.
  • Le château de Méréville :
    Le château de Méréville est la propriété du conseil départemental de l’Essonne depuis , le domaine de Méréville avec ses fabriques de jardin s'apprécie comme le dernier exemple de jardin pittoresque réalisé à la fin du XVIIIe siècle[39]. Ses démembrements sont soit inscrits soit classés au titre des monuments historiques au fil des années entre 1977 et 2003[40],[41].
  • La Colonne Trajane :
    Acquise par la commune le [réf. nécessaire] et classée monument historique depuis le , la colonne partie des fabriques du parc du château. Elle fut construite par l'entrepreneur Pailhet entre 1791 et 1792 d'après un dessin d'Hubert Robert qui la nommait « Obélisque antique » et s'était inspiré de la colonne à décoration sculptée qui fut dédiée en 113 par le Sénat romain à l'empereur Trajan.
    Haute de 100 pieds (33 mètres), il faut gravir 199 marches pour atteindre le sommet. En 1793, elle fut utilisée par Delambre et son assistant Bellet pour des opérations de mesures de l'arc du méridien terrestre qui devaient servir à déterminer le mètre-étalon (calculé comme la dix millionième partie du quart du méridien terrestre). L'entrée est actuellement gratuite. La colonne offre un panorama à 360° de la Beauce.
  • Pont sur la Juine :
    Le pont sur la Juine du XVIIe siècle est classé au titre des monuments historiques le [42].
  • Le lavoir :
    Le lavoir, comme le Moulin du pont, faisait partie des fabriques du parc de Méréville. Il y a quelques décennies, il était encore le lieu de rendez-vous des Mérévilloises qui lavaient leur linge en commentant l'actualité du village : l'écrivain Jean-Louis Bory nous a laissé de truculentes descriptions de ces scènes. Situé au bord de la Juine, dans un cadre des plus pittoresques, le lavoir fut classé au titre des monuments historiques en 1977.
  • L'église Saint-Pierre-ès-Liens :
    Le clocher, accolé à l'église, fut réalisé en deux périodes, romane au XIIe siècle puis rehaussé au début du gothique au XVIe siècle en même temps que le plan général prenait forme de basilique tout en conservant ses ouvertures de style roman. Il reste de l'époque carolingienne des morceaux des bas-côtés. La nef fut rehaussée au XVIe siècle et elle connut de nombreuses réparations liées à la guerre de Cent Ans, aux guerres de religion, à un ouragan au XVIIe siècle, mais surtout à la Révolution française qui en fit une salpêtrière. La voûte s'effondra en 1799 pour n'être relevée, autant que possible à l'identique, qu'en 1824, cette restauration correspondant au retour des propriétaires du château et de leurs successeurs (familles de Laborde et de Saint-Roman).
    En , un incendie d'une crèche de Noël endommagea l'intérieur de l'église. Les orientations de Vatican II furent donc appliquées, ce qui valut à l'église un aménagement très dépouillé.
    En 1942, Philippe Cara Costea, natif de Méréville, fils du médecin local, avait offert les deux premiers vitraux contemporains (ceux du chœur). En 1970, il la grande Croix de 6 m de hauteur, sculptée en creux, située derrière le nouveau maître-autel central, dans le cadre des restaurations. En 1998, il crée les douze vitraux contemporains manquants, représentant des événements marquants de la vie de Jésus (Rosaire), vitraux qu'il avait dessinés 55 ans plus tôt.
    En plus de la "Trilogie Caracostea", des objets ayant survécu à l'incendie furent restaurés.
    Des tableaux religieux des XVIIe et XVIIIe siècles ornent les fonts baptismaux et la nef centrale. Au moins trois sont des objets monuments historiques[43]. Ils furent soit donnés par des pèlerins de retour de Saint-Jacques de Compostelle, soit offerts par les descendants de la famille de Laborde.
    Quatre vitraux du XIXe siècle se trouvent sur les bas-côtés.
  • Piscine de Méréville, rue Pierre-Barberot :
    Cet équipement de l'intercommunalité a été conçu par le sculpteur Joseph Sapey-Triomphe, mis en service en 1946-1950 et est caractéristique de l'architecture de la première moitié du XXe siècle. Son bassin découvert long de 25 m est commandé par un petit bâtiment symétrique avec l'entrée du public ainsi que les vestiaires et douches, et n'est ouvert que durant les mois d'été.
    L'équipement a été rénové en 2020-2022 et son bassin est désormais en inox afin d'être étanche[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « recueil des actes administratifs de l'Essonne » (consulté le ).
  2. « Les Cressonnières Barberon représentent l'Essonne dans l'émission "La ferme préférée des Français" : France Télévisions a lancé l'élection de la ferme préférée des Français. Chacun peut voter. Les Cressonnières Barberon au Mérévillois représentent la région Île-de-France », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. «...J'ai vu à Courcelles, Cendrars dans un endroit où il y a du cresson, des amphores celtiques et des libellules bleues...» Ch.-A. Cingria, lettre à son frère, 17 août 1917.
  4. Source du classement de Méréville.
  5. Jérôme Lemonnier, « Trois nouveaux sites de l'Essonne ont reçu le label Patrimoine d'intérêt régional : Trois sites essonniens ont obtenu le label Patrimoine d'intérêt régional la semaine dernière. De quoi aider leur restauration et leur développement », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Déjà capitale européenne du cresson, l’ancienne commune de Méréville – elle a fusionné avec Estouches pour donner le Mérévillois en janvier 2019 – fournit près d’un tiers de la production nationale. « C’est clairement une étape supplémentaire vers l’obtention de l’indication géographique protégé (IGP) », se félicite le maire ».
  6. « Télématin - Tout est bon dans le cresson ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Le Mérévillois et Sainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Sainville » (commune de Sainville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Sainville » (commune de Sainville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 du Le Mérévillois », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2018, document mentionné en liens externes.
  22. Cécile Chevallier, « Communes nouvelles : trois mariages en vue dans le sud de l’Essonne », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Marie-Charlotte Dutheil, « Essonne : Méréville et Estouches s’unissent, vive Le Mérévillois ! », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une décision entérinée par les deux conseils municipaux il y a quelques jours, et dont les deux maires se félicitent. « C’est une annonce extrêmement importante, affirme Guy Desmurs, édile (SE) de Méréville. C’est d’ailleurs une première dans l’Essonne. À l’exception du cas d’Évry et Courcouronnes (NDLR : les deux communes ont annoncé leur fusion en début d’année), bien sûr. Nous n’avons rien à y perdre, et eux tout à y gagner. » « Les rares personnes opposées au projet l’étaient pour des raisons fiscales. Mais l’harmonisation, nécessaire, entre nos taux et les leurs se fera sur douze ans, renchérit son homologue (SE) d’Estouches, David Loignon. Et nos enfants étant scolarisés à Méréville, cette commune nouvelle nous permettra par exemple d’économiser les frais d’écolage ».
  24. [PDF]« Communiqué de presse de la préfecture de l'Essonne : Création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches. », sur le site internet de la préfecture de l'Essonne, (consulté le ).
  25. a et b « Essonne (91) - Le Mérévillois », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur= (consulté le ).
  26. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territiales, sur Légifrance.
  27. Pauline Darvey, « Municipales 2020 au Mérévillois : la commune nouvelle va vivre ses premières élections : Depuis le 1er janvier 2019, Méréville et Estouches ne font plus qu’un. À la tête du Mérévillois depuis cette fusion, l’ex-maire de Méréville, Guy Desmurs a décidé de se représenter. », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Et pas question de mettre d'Estouches de côté. « Lorsque nous avons lancé la fusion, nous avions mis en place une charte de bonne conduite, rappelle Guy Desmurs. Nous avions, entre autres, demandé qu'il y ait 3 élus d'Estouches parmi les 13 premiers membres du conseil. » Un équilibre que le maire sortant a souhaité conserver sur sa liste, sans étiquette et en partie renouvelée. David Loignon (sans étiquette), ancien maire d'Estouches et maire délégué depuis la fusion, n'en fera en revanche pas partie. « Il devait être dessus, explique Guy Desmurs. Mais comme il a déménagé dans Le Loiret, il a décidé de ne pas repartir ».
  28. « Essonne : Guy Desmurs devient le premier maire du Mérévillois », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne).
  29. Conseil Municipal du 25 mai 2020
  30. INSEE, Recensement général de la population 2018, Document mentionné en liens externes.
  31. Jérôme Lemonnier, « Méréville replonge à l'époque médiévale le temps d'un week-end : Ce dimanche 15 septembre, la commune de Méréville organise sa fête médiévale », [Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Sébastien Morelli, « Le Mérévillois : la Foire au cresson fait son grand retour : Après deux ans d’absence en raison de la crise sanitaire, la foire est de retour jusqu’à lundi soir, avec ses miss qui accueillent les visiteurs », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Jérôme Lemonnier, « Essonne. Méréville met vos papilles en éveil avec son salon de la gastronomie ! : Du 20 au 22 septembre, Méréville accueille son salon de la gastronomie. Plusieurs producteurs venus de la France entière seront de la partie », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Domaine départemental de Méréville », sur essonnetourisme.com (consulté le ).
  35. Marie Amelie Marchal, « Le domaine de Méréville dévoile sa programmation culturelle : Le domaine de Méréville (Essonne) dévoile le programme de sa saison culturelle. Visites guidées ou insolites, événements ludiques ou poétiques, les rendez-vous sont variés », Actu Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Carte des ENS de Méréville sur le site du conseil départemental de l'Essonne. Consulté en mars 2020.
  37. Carte des ENS d'Estouches sur le site du conseil départemental de l'Essonne. Consulté le 03/2020.
  38. « Halle », notice no PA00087954.
  39. « Domaine départemental de Méréville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Actualités Conseil général de l'Essonne.
  40. « Pré-inventaire », notice no IA91000439.
  41. « Château de Méréville », notice no PA00087953.
  42. « Pont sur la Juine », notice no PA00087955.
  43. Notice no PM91001609, Notice no PM91000300, Notice no PM91000299.
  44. Florian Garcia, « Essonne : la piscine « rétro » de Méréville, posée au milieu des champs, rouvre ses portes ce samedi : Le nouveau bassin en inox qui équipe désormais cette atypique piscine construite à partir de 1946 sera inauguré samedi par la communauté d’agglomération de l’Étampois Sud-Essonne. Une petite touche de modernité qui n’altère en rien son cachet », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).