Les Chemins de traverse (Nicolas Hulot)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les Chemins de traverse est une autobiographie partielle de Nicolas Hulot publiée en 1989.

Résumé[modifier | modifier le code]

A Noël 1974, quatre ans après la mort de leur père, Nicolas et sa sœur Béatrice découvrent le corps de leur frère aîné, Gonzague, censé faire le tour du monde depuis trois mois, suicidé à la cave. Ils cachent le drame à leur mère pour la ménager[1]. Son père avait dirigé une jardinerie à Nice avant de quitter sa mère. Nicolas monte à Paris. Il est embauché pour des reportages photos. Un copain lui permet d'aller en Afrique avec le navigateur Eric Tabarly. Son employeur, le futur fondateur de l'agence SIPA, l'envoie sur le tremblement de terre du Guatemala. Plus tard, il se rend au Zimbabwe et en Rhodésie. Ensuite, il arrête la pratique de la photo et travaille pour France Inter, notamment dans le cadre d'une émission sur la moto. Il avait participé en tant que pilote commentateur lors de la course moto "le Bol d'Argent" en 1978, sur une Honda 1000 CBX 6 cylindres. En 1980, il participe au rallye automobile Paris-Dakar, au volant d'un Range Rover. Il va aussi participer à deux tours de Corse, ainsi qu'à deux expéditions polaires. Sa carrière se poursuit ensuite à la télévision. Il descend le Zambèze sans arme. Il fait Le Cap-Alger en voiture, le pôle nord en ULM. Sa mère meurt vers 1986 puis il crée l'émission de télévision Ushuaïa.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « La première vie de Nicolas Hulot », sur L'Express,

Liens externes[modifier | modifier le code]