Les Tourrettes

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Les Tourrettes
Les Tourrettes
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Jean Pierre Laval
2022-2026
Code postal 26740
Code commune 26353
Démographie
Gentilé Tourrettois, Tourrettoises
Population
municipale
1 056 hab. (2021 en augmentation de 1,34 % par rapport à 2015)
Densité 144 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 43″ nord, 4° 47′ 24″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 380 m
Superficie 7,34 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montélimar-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Les Tourrettes

Les Tourrettes est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune des Tourrettes est située à mi-distance entre Loriol-sur-Drôme, au nord, et Montélimar, au sud, sur la route Nationale 7.

Rose des vents Baix (Ardèche)
Cruas (Ardèche)
Saulce-sur-Rhône Mirmande Rose des vents
Cruas (Ardèche) N Mirmande
O    Les Tourrettes    E
S
Cruas (Ardèche)
La Coucourde
La Coucourde Condillac

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est riveraine du Rhône.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsanne », sur la commune de Marsanne à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Tourrettes est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee)[Note 1],[7],[8],[9].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,6 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), eaux continentales[Note 3] (17,2 %), zones urbanisées (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[13] :

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route N7.

Elle est aussi traversée par l'autoroute A7 accessible par le péage Montélimar-Nord.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est nommée Las Torretas en occitan provençal[réf. nécessaire].

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Turrete (pouillé de Valence).
  • 1510 : mention du prieuré : prioratus de Turretis et Calmo (pouillé de Valence).
  • 1547 : Turretis (rôle de décimes).
  • 1547 : mention de la paroisse : cura de Tourretis (rôle de décimes).
  • 1581 : Torretes (archives de la Drôme, E 3388).
  • 1891 : Les Tourrettes, commune du canton de Marsanne.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le toponyme des Tourrettes viendrait d'un radical signifiant « colline » et « tour »[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Comme toutes les communes situées le long de la RN7, le territoire communal est traversé par la Via Agrippa[15] qui, à l'époque gallo-romaine, remontait la vallée du Rhône.

Présence romaine (substructions)[15].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, les Tourrettes était une terre (ou seigneurie) premièrement possédée par les Adhémar.
  • Les Adhémar l'hommagent aux papes.
  • 1360 : la terre passe aux abbés de Cruas, derniers seigneurs.

Avant 1790, les Tourrettes était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église était celle d'un prieuré de bénédictins (dépendant de l'abbaye de Cruas) et dont le titulaire avait les dîmes des paroisses des Tourrettes et de Lachamp. Ce prieuré n'existait plus au XVIe siècle[14].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune fait partie du canton de Marsanne[14].

En 1835, son territoire se composait de 249 hectares de bois particuliers, 267 de terres labourables, 24 de vignes, 8 de près, 31 de pâturages, 132 de routes et rivières, etc. Au total 734.
La commune a payé à l'État pour ses contributions directes de 18 732 164,30 francs, au Département 1 025,49 francs, à la caisse municipale 1 456,98 francs[16][source insuffisante].

En 1860, le village est situé sur une petite éminence dominant la vallée du Rhône. Il est entouré de vieux remparts ouverts par quatre portes.
Le château est surélevé par rapport aux maisons. Il est flanqué d'une tour carrée de 64 mètres de haut avec double fenêtres ogivales et entourées de 15 à 20 meurtrières. Les armoiries ont été mutilées.
Outre le village, habité par douze ménages seulement, il y a trois hameaux : Le Serre, Saint-Didier et Le Logis-Neuf. Ce dernier, voisin du Rhône, de la route et du chemin de fer, a supplanté l'ancien village dont les maisons et l'église tombaient en ruines. La chapelle Saint-Didier est devenue l'église paroissiale[réf. nécessaire].

Il y avait autrefois aux Tourrettes une étude notariale, transférée à Lachamp vers 1840[réf. nécessaire].

(non daté)[réf. nécessaire] : la commune passe dans le Canton de Montélimar-1.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 André Tronchon    
2001 2008 Gérard Millier    
2008 2014 Jean-Pierre Laval DVD puis UDI retraité
2014 2020 Jean-Pierre Laval    
2020 2022 Pierre Braysse    
2022 en cours Jean-Pierre Laval[17]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 1 056 habitants[Note 4], en augmentation de 1,34 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
225301294308363371365365328
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
310298302253249249229211225
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
200196195182162176159163187
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
808277300461691763841878964
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0421 0341 056------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit (ou hameau) du Logis Neuf se trouve la centrale hydroélectrique Joseph Bethenod de la Compagnie Nationale du Rhône mise en service en 1960[22].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale : le premier dimanche de juillet[15].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Association culturelle et sportive[15].
  • Salle d'animation. Elle a pris le nom du chanteur Jean Ferrat en 2012[23].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, ovins, porcins[15].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Vestiges du château (MH). Il a été restauré[15].
Château fort médiéval des abbés de Cruas (château de la Cheysserie) : donjon, enceinte quadrangulaire et logis du XVIe siècle restauré au XXe siècle. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1956[24].
  • Vestiges de l'enceinte médiévale du castrum en position dominante[réf. nécessaire].
  • Chapelle médiévale Saint-Didier (MH). Elle a été restaurée[15].
La chapelle Saint-Didier des Tourettes est une chapelle romane du XIIe siècle MH) restaurée : deux gros contreforts en façade, abside semi-circulaire, coupole octogonale, clocheton à une arcade[réf. nécessaire]. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1956[25].
Didier était évêque de Vienne de 596 à 606 (23 mai). Il a été lapidé sur ordre de Brunehilde, reine d'Austrasie. Il est un saint protecteur des enfants[réf. nécessaire].
La chapelle rassemblait de nombreux pèlerins pendant les neuf jours suivant le jour de sa fête locale fixée au , probablement en commémoration de la translation de son corps dans l'église des Saints Apôtres de Vienne. Les chrétiens venaient placer leurs enfants malades sous sa protection. Les mères de famille avaient coutume de laisser un habillement complet de leurs enfants malades. Ces dépouilles ou trousseaux d'enfants étaient distribués à des familles nécessiteuses domiciliées dans la paroisse[réf. nécessaire]
L'établissement de cette église remonterait au siècle de Charlemagne. Elle serait bâtie sur l'emplacement d'un antique temple païen[réf. nécessaire].
Les murs ont 1,20 m d'épaisseur, faits avec du bon mortier, avec des ouvertures sur les deux parements en pierre d'apparat.
Seules les modifications intérieures récentes sont connues : en 1808, des compagnons italiens ont occulté une partie du chœur par la construction d'un galandage sur lequel a été peinte une fresque censée représenter saint Didier bénissant un enfant présenté par sa mère. En 1877, ce même cœur a été rétabli dans son état original lors de l'installation de la statue du Sacré-Cœur. Le galandage placé en 1808 a été détruit. Les angles du chœur, en pierre de taille, ainsi qu'une partie du revêtement intérieur de l'abside ont été reconstitués. En 1879, la toiture a été restaurée. En 1880, le chœur de la chapelle a été doté d'un autel de pierre qui remplaçait celui en bois. Ce dernier a été déplacé dans la petite chapelle latérale consacrée à la Sainte Vierge.
En , on envisage l'agrandissement et la restauration de la chapelle. Le , le projet est soumis au conseil municipal. Il est approuvé à une grande majorité. Les travaux prévoyaient, dans un premier temps « le remodelage de la façade avec deux tourelles, l'agrandissement de la nef et l'adjonction de deux chapelles latérales ».
En 1894, ce projet a été définitivement abandonné au profit de la construction de l'église actuelle. La chapelle Saint-Didier a continué de remplir son office pour les cérémonies de la Toussaint (procession) et pour la fête patronale. En 1896, le ministre du culte d'alors demanda la destruction de la chapelle puis, revenant sur sa première décision, il exigea sa fermeture complète.
La chapelle s'est dégradée par manque d'entretien (les infiltrations des eaux de pluie sont signalées dès 1894). Quelques années plus tard, le corps du bâtiment a été séparé de sa chapelle latérale (sud), pratiquement tombée en ruine. En 1912, cette dernière est aménagée en garage pour le corbillard de la commune.
Fin XXe siècle, la chapelle est définitivement fermée par le curé de la paroisse, le père Debos, en raison de son insalubrité[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Les Tourrettes possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Les Tourrettes et Marsanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  13. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  14. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 392 (Les Tourrettes).
  15. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Les Tourrettes.
  16. Archives de la Drôme, inventaire de la Chambre des comptes. Toutes ces informations sont tirées du Tome IV d'André Lacroix.
  17. La Gazette DrômArdéchoise, « Suite démission Pierre Braysse », sur drome-ardeche.info.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Centrale hydroélectrique Joseph Béthenod », sur patrimoine.auvergnerhonealpes (consulté le ).
  23. « Ville des Tourrettes : salle d'animation Jean Ferrat », sur www.lestourrettes.fr (consulté le ).
  24. Notice no PA00117080, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Notice no PA00117079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.