Li chiamavano i tre moschettieri... invece erano quattro

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Li chiamavano i tre moschettieri... invece erano quattro

Réalisation Silvio Amadio
Scénario Piero Regnoli
Musique Elsio Mancuso, Berto Pisano
Acteurs principaux
Sociétés de production Giuliano Simonetti pour Minerva Film, Puma Film
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre parodie, film de cape et d'épée, comédie
Durée 95 minutes
Sortie 1973

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Li chiamavano i tre moschettieri... invece erano quattro (littéralement : On les appelait les trois mousquetaires, mais ils étaient quatre) est un film parodique italien sorti en 1973, réalisé par Silvio Amadio.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Pour récupérer le précieux pot de chambre de la reine de France, emporté par erreur par Lord Buckingham, amant en secret de la reine, les trois mousquetaires s'unissent à D'Artagnan. Celui-ci s'était retiré pour vivre tranquille auprès de sa douce épouse chinoise un peu enrobée Li Yang. Richelieu, toujours obsédé par le désir de rabaisser l'autorité royale pour s'emparer du pouvoir, transforme cette histoire en affaire d'État. Si le pot de chambre ne revient pas à la reine avant le jour du Discours de la Couronne, le roi Louis découvrira la trahison de son épouse et le scandale qui éclatera minera les bases du pouvoir. Les quatre amis, abandonnant leurs épées au profit du kung fu, que leur a enseigné le père de Li Yang, récupèrent bien vite le pot de chambre. Cependant, le chemin du retour à Paris est bloqué par La Hire, capitaine des gardes de Richelieu. Après maintes péripéties, les quatre amis, aidés de Milady, parviennent à bon port. Richelieu est déconfit et la paix règne à nouveau sur la France[1].

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Notes de production[modifier | modifier le code]

Cette comédie parodique sur les trois mousquetaires est tournée à peu près par la même maison de production, Puma Film de Giuliano Simonetti, en même temps que le film érotique Da Scaramouche or se vuoi l'assoluzione baciar devi sto... cordone!, réalisé par Gianfranco Baldanello. Mais la censure italienne ne traitera pas de la même façon les deux films : celui de Baldanello sera émondé[2], pas celui de Silvio Amadio[1]

Distribution[modifier | modifier le code]

Critique[modifier | modifier le code]

Un humour qui ne porte pas[3] :

« [...] Lazzi, scemenze e quiproquo dovrebbero portare al divertimento, ma la materia è quella che è, l'ironia forzata (anzi inesistente), la recitazione e le altre componenti del filmetto modeste assai; il tutto senza particolare infamia, insomma lasciando il tempo (degli spettatori) che trova »

« [...] Blagues, bêtises et quiproquo devraient conduire à l'amusement, mais les choses sont ce qu'elles sont, l'ironie forcée (voire inexistante), le jeu des acteurs et les autres composantes du petit film très modestes ; le tout sans moquerie particulière, bref, en laissant indifférent (le spectateur) »

.

Recensions[modifier | modifier le code]

  • F. S., Il Secolo XIX, 18 octobre 1973
  • Achille Valdata, La Stampa, 2 septembre 1973 et Stampa Sera, 3 septembre 1973

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a et b (it) Ministero del turismo e dello spettacolo - Direzione generale dello spettacolo, Nulla Osta, , PDF (lire en ligne)
  2. (it) Ministero del turismo e dello spettacolo - Direzione generale dello spettacolo, Vietato ai minori di 18 anni, , PDF (lire en ligne)
  3. Aurora Santuari, « Li chiamavano i tre moschettieri... invece erano quattro », Paese Sera,‎

Liens externes[modifier | modifier le code]