Ligne de Poitiers à Arçay

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Ligne de
Poitiers à Arçay
Ligne de Poitiers à Arçay
Image illustrative de l’article Ligne de Poitiers à Arçay
Vue du bâtiment de la gare de Poitiers.
Pays Drapeau de la France France
Villes desservies Poitiers, Neuville-de-Poitou, Moncontour, Arçay
Historique
Mise en service 1874
Fermeture 1939 – 1972
Concessionnaires Administration des chemins de fer de l'État (1874 – 1937)
SNCF (1938 – 1997)
RFF (1997 – 2014)
SNCF (à partir de 2015)
Caractéristiques techniques
Numéro officiel 574 000
Longueur 62,6 km
Écartement standard (1,435 m)
Électrification Non électrifiée
Pente maximale 15 
Nombre de voies Voie unique
Carte
Carte détaillée de la ligne.

La ligne de Poitiers à Arçay est une ligne de chemin de fer française longue de 62,6 km[1] située dans le département de la Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine, en France[1]. Elle se greffe à la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean en gare de Grand-Pont-Preuilly et aboutit sur la ligne des Sables-d'Olonne à Tours quelques centaines de mètres en amont de la gare d'Arçay[2].

Elle constitue la ligne no 574 000 du réseau ferré national[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Elle a été mise en service par l'Administration des chemins de fer de l'État le et fermée au trafic voyageurs le . Quant au trafic marchandises il a cessé complètement le car auparavant la section entre Mirebeau et Saint-Jean-de-Sauves était toujours utilisée[2].

État actuel[modifier | modifier le code]

La ligne est toujours utilisée entre Grand-Pont-Preuilly et Neuville-de-Poitou pour la desserte de la gare fret de Chalandray (située sur la ligne de Neuville-de-Poitou à Bressuire). Si la voie est toujours présente entre Saint-Jean-de-Sauves et Arçay, elle est en mauvais état et recouverte par la végétation en de multiples endroits[2],[3] ; cette section n'est plus exploitée.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Histoire de lignes oubliées... », sur www.lignes-oubliees.com (consulté le )
  2. a b et c Jean Randé et Francois Librini, « Archéologie Ferroviaire », sur archeoferroviaire.free.fr (consulté le )
  3. Observation sur Google Maps.

Voir aussi[modifier | modifier le code]