Lizant

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Lizant
Lizant
Église Sainte-Radegonde-Saint-Junien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Jean-Claude Gauthier
2020-2026
Code postal 86400
Code commune 86136
Démographie
Population
municipale
370 hab. (2021 en diminution de 11,69 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 10″ nord, 0° 16′ 48″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 157 m
Superficie 16,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lizant
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Lizant
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Lizant
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Lizant

Lizant est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Lizantais et les Lizantaises.

Localisation[modifier | modifier le code]

Lizant est situé à 5 km au nord-est de Taizé-Aizie la plus grande ville aux alentours, et au sud de Civray.

Lizant et les communes alentour.

La commune est proche du parc naturel régional Périgord Limousin.

Le village est niché dans une vallée aux aspects montagnards. Il est bordé, dans sa partie sud, par la Charente. En outre, il s'est développé à la confluence de quatre petites rivières : le Cornac, le Pas de Mule, le Cibiou qui se rejoignent dans le bourg pour former la Sonnette.

C’est la commune qui est située la plus au sud du département de la Vienne. Le paysage est déjà charentais avec ses vallons accentués.

Lizant éoliennes et moutons

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Lizant présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[1] :

  • pour 43 % par des Terres Rouges (ce sont des sols acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central) situées sur les plateaux,
  • pour 4 % de calcaire dans les vallées et les terrasses alluviales,
  • pour 53 % d'argile à silex peu profonde sur les plateaux du seuil du Poitou.

En 2006, 81,7 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture et 18,3 % par des forêts et des milieux semi-naturels[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides, dunes et plages… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

La richesse du sous-sol des collines a permis, dès le Moyen Âge, l’exploitation de la pierre. Ainsi, les pierres retirées des carrières ont permis la construction de l’église Saint-Nicolas de Civray.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par 8,3 km de cours d'eau dont les principaux sont le ruisseau Du Pas de la Mule sur une longueur de 4,8 km, le Cibiou sur une longueur de 2,2 km et la Charente sur une longueur de 1,3 km.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 897 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Civray à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 841,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La route départementale D 1 commence à Lizant et relie la commune à Dangé-Saint-Romain.

Les gares et les haltes ferroviaires proches de la commune :

Les aéroports les plus proches de Lizant sont :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lizant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), forêts (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), prairies (8,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lizant est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et le ruisseau du Pas de la Mule. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2018[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lizant.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage Mas-Chaban, un ouvrage de classe A[Note 3] situé dans le département de la Charente et construit pour constituer une réserve d’eau de 14 millions de m3. Le PPI a été approuvé en 1999. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village dérive de « Lèze », qui désigne une argile. En effet, le bourg est situé sur une terrain très argileux[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Lizant a subi les ravages de la guerre de Cent Ans et des guerres de Religion.

L’agriculture a été pendant longtemps centrée sur la châtaigne et le blé.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, Lizant est dans le canton de Civray (no 6) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Lizant était dans le canton no 5 de Civray dans la 3e circonscription.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean Lévescault    
mars 2008 mars 2014 Joël Duqueroie    
mars 2014 En cours Jean-Claude Gauthier    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Énergies nouvelles[modifier | modifier le code]

Sur le sol de la commune, un parc, regroupant 12 éoliennes, devrait voir le jour en mai 2014 après neuf ans de procédure. Ce parc, le plus grand du département de la Vienne, est à cheval sur les communes de Saint-Macoux, de Saint-Gaudent, de Lizant et de Voulême. Ce parc représente une puissance totale de 24 MW pour une production estimée à 53 GWh, soit la consommation annuelle moyenne de 26 500 habitants. Les éoliennes sont composées d'un mât de 100 m de hauteur et de pales de 50 m. Cette énergie renouvelable devrait permettre d'économiser chaque année 17 000 tonnes de CO2.

Protection de l’environnement[modifier | modifier le code]

Depuis 2011, la commune est signataire de la Charte Terre Saine « Votre commune sans pesticides ». La charte Terre Saine Poitou-Charentes invite les communes et les établissements publics intercommunaux à participer à la réduction des pesticides et à la préservation d'un environnement sain en région Poitou-Charentes.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 370 habitants[Note 4], en diminution de 11,69 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8168887527869649569811 032966
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
920904887873858884809778748
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
727685676620639592632602566
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
553517502526508443459464429
2018 2021 - - - - - - -
396370-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 27 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Lizant ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Lizant administre une population totale de 470 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (cinq personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 465 habitants.

En 2010, la répartition de la population par sexe était la suivante : 47,8 % d'hommes pour 52,2 % de femmes.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Lizant dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école maternelle publique dépend de l'inspection académique de la Vienne.

Les communes de Lizant, Voulême et Saint-Gaudent sont en regroupement pédagogique intercommunal. Ainsi, les maternelles sont localisées à Lizant puis les CP et CE1 à l’école de Voulême et enfin les CE2, CM1 et CM2 à l’école de Saint-Gaudent.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que 8 exploitations agricoles en 2010 contre 10 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 25 % et sont passées de 583 hectares en 2000 à 730 hectares en 2010 dont 248 irrigables[31]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[32].

46 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 16 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 11 % pour le fourrage et 18 % reste en herbes[31].

Quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un élevage de bovins (266 têtes en 2010 contre 326 têtes en 2000). les élevages de moutons et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[31]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, ce troupeau, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[33].

La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

  • Chabichou du Poitou (AOC)
  • Beurre Charente-Poitou (AOC)
  • Beurre des Charente (AOC)
  • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
  • Veau du Limousin (IGP)
  • Porc du Limousin (IGP)
  • Jambon de Bayonne (IGP)

Commerce et service[modifier | modifier le code]

En 2012, le seul commerce encore ouvert au sein du village est une boulangerie.

Secteur protégé[modifier | modifier le code]

L'établissement et service d'aide par le travail (ESAT) Joseph-Rouil est ouvert depuis 1981 et accueille 60 personnes reconnues travailleurs handicapés. Ses activités sont le conditionnement et les travaux à façon, la blanchisserie industrielle, l’entretien et la création d'espaces verts, l’assemblage et le montage, la découpe et le travail du bois.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Radegonde-Saint-Junien. Elle est située au cœur du village. L’édifice est accolé sur son côté droit aux maisons et les autres côtés sont longés par le ruisseau de Cornac. Le chevet est droit. Il date du XVe siècle. L’église possède deux fenêtres de style gothique flamboyant. Le bâtiment a été restauré en 1765. Il est doté de deux nefs. L’église est dédiée à deux saints très vénérés dans le Poitou : sainte Radegonde et saint Junien qui est né à Champagné-le-Sec et qui a vécu en ermite à Chaunay. Les deux saints sont morts le même jour, saint Junien à Chaunay (ou à Mairé-l’Evescaut) et sainte Radegonde à Poitiers. La cloche date de 1731.
  • Maison à la tour. Elle date du XIIe siècle. La maison se caractérise, de nos jours, par la présence d’une tour pentagonale avec à sa base une porte cloutée que surmonte un linteau en accolade avec un écusson. Cette maison est construite sur une chute d’eau. Il s’agit de vestiges d’une construction plus importante qui possédait deux tours. Elle marquait, alors, l’entrée du bourg, sur la route allant de Charroux à Saintes. Elle aurait été la propriété des Templiers et pourrait dépendre de la commanderie de Civray. La maison a été, par la suite, transformée en huilerie.
  • Colombier du XVIIe siècle au lieu dit Boisseguin[34].
  • Le Tilleul de Sully est classé en tant que monument naturel[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lizant Blason
D'azur à cinq tours d'or maçonnée de sable ordonnées en chevron[36].
Détails
Blason à confirmer
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Lizant et Civray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Civray » (commune de Civray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lizant », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lizant », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  26. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  32. Agreste – Enquête Structure 2007
  33. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  34. Ce lieu dit n'a pas de lien avec la famille Dugros de Boisseguin. Cette famille appartient à l'ancienne bourgeoisie de la Saintonge (Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 14, pages 374 à 375 Dugros de Boisseguin.
  35. DREAL Poitou-Charentes / SDAP, 2013
  36. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).