Maison d'Anduze

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Maison d'Anduze
Image illustrative de l’article Maison d'Anduze
Armes de la maison d'Anduze

Blasonnement De gueules à trois étoiles d'or posées 2 et 1.
Branches d'Anduze et Sauve

de Lavoulte
de Florac
du Caylar
de Roquefeuil-Anduze

Pays ou province d’origine Languedoc
Allégeance Comté de Toulouse
Royaume de France
Royaume d'Aragon
Charges Chambellans des Rois Philippe VI et Charles VI
Membres du Conseil du Roi
Ambassadeurs
Fonctions militaires Gouverneurs de Montpellier
Lieutenant du Roi en Languedoc
Lieutenant du Roi en Dauphiné
Fonctions ecclésiastiques Cardinal
Vice-Camérier du Pape
Nonce Apostolique
Archevêque
Evêques
Ministre Provincial
Abbés et Abbesses

La maison d’Anduze (parfois Anduse), éteinte de nos jours, est une des plus importantes familles nobles du Languedoc, à partir du XIe siècle.

La maison d'Anduze est la souche de plusieurs autres familles qui du Xe au XIIe siècle se sont séparées du tronc commun et ont formé diverses branches sous des noms particuliers tels que Bermond, Roquefeuil, Alais, Lavoulte, etc.

Ses premiers membres battent monnaie et certains de ses membres se sont qualifiés, au XIe siècle, de marquis du château d'Anduze (1013), de prince d'Anduze, ou encore de satrapes du pays de Sauve (1077)[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Le chartiste Jérôme Belmon, dans sa thèse (1991)[2], avance une hypothèse concernant la famille d'Anduze. Pour lui, il existe des liens anthroponymiques et patrimoniales qui lui permette d'avancer l'hypothèse que les sires d'Anduze du XIe siècle seraient issus de « Frédelon (fils de Garnier et Folcrade), vassal et représentant de son cousin, le comte Raimond II de Toulouse, dans la région »[2].

Les seigneurs d'Anduze possèdent des biens sur les marges du Rouergue, du Gévaudan et de la région de Nîmes[2].

Amado (2001) rappelle que plusieurs auteurs ont pu faire le lien entre la famille comtale de Toulouse et les seigneurs d'Anduze avec l'usage du prénom Frédol/Frédolon[3].

Premiers seigneurs connus[modifier | modifier le code]

Au début du XIe siècle, le « premier seigneur d'Anduze authentiquement connu est Bernard, surnommé Pelet (Pelitus) »[4]. Il épouse, vers 1013 Garsinde, fille et héritière de la vicomté d'Agde & de Béziers[4],[3]. Cette dernière est veuve de Raymond Roger de Carcassonne[4]. Toutefois, Bernard Pelet a trois fils issus d'un premier mariage : Frédol/Frédolon, Gérald/Géraud et Almerad/Almérade/Almirade[4],[3]. Les deux premiers entrent dans les ordres et occupent chacun un siège épiscopal, seul le dernier a une descendance[4].

« À la mort de Bernard Pelet les domaines de la famille furent partagés : Almirade eut les châteaux d'Anduze, de Peyremale, de Barre, le lieu de Portes au diocèse d'Uzès et une partie du lieu de Meyrueis. Son fils Pierre mourut après 1077 sans laisser de postérité et eut pour héritiers ses deux cousins Pierre et Bernard de Sauve qui fondèrent la dynastie des Bermond de Sauve et d'Anduze[5]. »

Bernard Pelet eut deux enfants de son deuxième mariage avec Garsinde de Béziers : Raymond qui mourut sans postérité et Bermond seigneur d'Anduze, d'Alais, de Sauve, etc., dont le nom est devenu patronymique de la maison d'Anduze[6].

Bermond d'Anduze épousa Eustorge fille de Raymond vicomte de Narbonne et de Ricarde de Rodez. Il mourut en 1054, laissant deux fils Pierre et Bernard qui se partagèrent l'héritage de leur cousin germain Pierre, mort sans postérité. Ils formèrent deux branches dites de Sauve et d'Alais[6].

Bertrand d’Anduze, seigneur d’Alais, épousa vers 1149 Adélaïde de Roquefeuil. De ce mariage sont issus plusieurs fils :

  • Pierre-Bermond, l'ainé, qui se maria avec Ermessinde Pelet, fille de Bernard Pelet, seigneur d'Alès, et de Béatrice de Melgueil, d'où un fils. Le mariage fut ensuite annulé, et Ermssinde Pelet se remaria avec Raimond V, comte de Toulouse, à qui elle apporta en dot le comté de Melgueil. D'après d'anciens mémoires, Pierre-Bermond serait le père de Hugues de Pujols, dont le quatre fois arrière petit-fils se maria avec Catherine de Roquefeuil, d'où descendance mâle et légitime actuelle de la famille de Roquefeuil. Pierre-Bermond se retira ensuite à l'abbaye de Mazan, où il resta au moins 20 ans jusqu'à sa mort ;
  • Frédol, évêque de Fréjus, de 1166 à 1197 ;
  • Bernard qui épousa Marquise de Montferrat, fille du Marquis Boniface. Sa descendance forma les branches de Sauve, Florac, Lavoulte et du Caylar ;
  • Raymond de Roquefeuil hérita des biens de sa mère (baronnie de Roquefeuil et vicomté de Creyssels) ainsi que de la baronnie de Meyrueis. Il épousa par contrat de 1169, Guillemette de Montpellier, fille de Guilhem VII, seigneur de Montpellier et de Mathilde de Bourgogne. Ils sont la tige de la seconde famille de Roquefeuil[7] ;
  • Bertrand, seigneur de Sommières et de Tornac ;
  • Bermond, évêque de Sisteron de 1174 et 1214. Il fut un des père du Concile du Latran en 1179.

Pierre-Bermond, fils de Bernard d'Anduze et de Marquise de Montferrat, se maria peu avant 1200 avec Constance de Toulouse, fille de Raymond VI, comte de Toulouse, et de Béatrix de Béziers. Auparavant Constance avait été mariée avec Sanche VII, roi de Navarre, qui l'avait ensuite répudiée. Leur fils Pierre-Bermond VII se maria avec Josserande de Poitiers, fille d'Aymar II, comte de Valentinois, et de Philippe de Fay[8]. En 1243, Pierre-Bermond VII seigneur des baronnies d'Anduze, de Sauve, d'Hierle, de Florac et en partie d'Alais, vicomte de Millau et de Gévaudan, qui s'était ligué avec le comte de Toulouse contre le roi Saint-Louis, voit ses fiefs confisqués puis définitivement rattachés à la couronne de France.

En 1308, la branche aînée de la maison d'Anduze s'éteint. Ses titres et biens passent à la branche des Bermond[9].

Branche de Sauve[modifier | modifier le code]

Vivien Vassal, archéologue et historien, dans un article consacré à la baronnie de Sauve (2022), indique que celle-ci appartenait à la famille des Anduze-Sauve et que son seigneur « aimait s’intituler du titre exotique de satrape »[10]. Ce domaine appartient à différents membres du groupe familial pour la période des XIe – XIIIe siècle, puis au seuil de ce siècle, il passe à la branche des Bermond[10].

La famille, fidèle aux raimondins, perd de son influence au cours de la Croisade des albigeois (1209-1229)[10]. Les biens du seigneur Pierre Bermond VII de Sauve sont confisqués, en 1220, par le chef des croisés, Amaury VI de Montfort[10]. Ils passent cependant à son oncle, Bernard VIII d'Anduze[10]. À la mort de ce dernier, Pierre Bermond récupère sa seigneurie de Sauve ainsi que celle d'Anduze, les héritiers de Bernard VIII n'obtenant pas grand chose[10],[11]. Pierre Bermond rend hommage pour ses biens — Sauve, Anduze, une part de la seigneurie d'Alès, ainsi que pour certains châteaux en partage — au roi de France[10],[11]. En 1243, l'ensemble du Salavès et l'Anduzenque passe au domaine royal[10].

Personnalités[modifier | modifier le code]

Laïcs[modifier | modifier le code]

Ecclésiastiques[modifier | modifier le code]

La famille d'Anduze compte de nombreuses personnalités religieuses dont plusieurs évêques et un archevêque (pour les religieux issus de la famille de Roquefeuil-Anduze voir l'article connexe).

Armoiries[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules à trois étoiles d'or posées 2 et 1.[13]
Bermond d'Anduze
Blason Blasonnement :
d'argent au lion de gueules.[14],[15]
Bermond d'Anduze et du Cailar
Blason Blasonnement :
De gueules à trois étoiles d'or[16].

Filiation[modifier | modifier le code]

La filiation des premiers degrés de la famille d'Anduze ne fait pas consensus.

L'histoiren et généalogiste Christian Settipani (2004), reprenant les travaux du chartiste Jérôme Belmon (thèse, 1991), avance comme hypothèse des premiers degrés[17] :

  • Garnier ∞ Folcrade, fille du comte de Toulouse, Frédelon.
    • Frédelon ( /18), sire d'Anduze.
      • Frédelon († apr. ), missus (927), en Rouergue ou en Nimois.
      • Raimond
      • Odalgarde.



Les historiens Elzière/Fauchères (1999) donnent la généalogie suivante à partir de Bernard III[18] :

  • Bernard [III] (env.1080- ).
    • Bertrand (env.1115-† apr. ).
    • Bernard [IV] (env.1105-† v. ), seigneur d'Anduze, ∞ (1) N.N., (2, 1142/1143) Ermengarde de Narbonne, héritière de la vicomté de Narbonne. Sans postérité.
      • (1) Bernard [V] (env.1135-† v. /1200), seigneur d'Anduze (jusqu'en 1164).
        • Bernard [VI] (env.1160- ), seigneur d'Anduze.
          • Peire Bermond/Pierre Bermond [VI] (env.1175- ).
          • Bernard [VII] (env.1175- ), seigneur d'Anduze, ∞ ( ) Vierne du Luc († apr. ).
            • Peire Bermond/Pierre Bermond [VII] de Sauve (env.1203- ), seigneur d'Anduze et de Sauve.
      • (1) Peire Bermond/Pierre Bermond [V] (env.1135-† v. /1172), ∞ Ermesinde Pelet ( ), héritière du comté de Melgueil.



Lina Malbos (1977), correspondante de l'Académie de Nîmes, proposait pour les premiers degrés la filiation suivante, tout en indiquant que le premiers degrés font le résultats d'« une relation assez schématique et incomplète, mais aussi exacte que possible », mais qu'à partir de 1164, les documents devennaient « irréfutables »[19] :

  • Almérade (Almeradus), seigneur d'Anduze et de Sauve, ∞ N.N. ou Blitgarde.
    • Bernard Pelet d'Anduze, dit Bernard Ier ( /1029), seigneur d'Anduze et de Sauve, ∞ (1) Ermengarde, (2) Garsinde de Béziers (veuve de Raymond Roger de Carcassonne).
      • (1) Almérade (Almeradus), seigneur d'Anduze, ∞ Enaurs.
        • Pierre Almérade, seigneur d'Anduze (1052-1077). Sans postérité.
      • (1) Frédol ( /1029), religieux.
      • (1) Géraud (Gérard ( ), religieux.
      • (2) Raimond/Raymond († av. ). Sans postérité.
      • (2) Bermond Ier († av. ), dit de Sommières, seigneur de Sauve, ∞ Eustorge (Eustorgie).
        • Pierre Bermond, seigneur de Sauve, ∞ Élisabeth.
        • Pierre Bernard, alias Bernard [II], seigneur d'Anduze (hérite de son oncle à partir de 1077), ∞ Azalaïs/Adélaïs de Mandagout.


Principales alliances[modifier | modifier le code]

Les principales alliances de la famille d'Anduze sont[20] :

Tige commune : de Béziers (1013), de Mandagout (105x), de Melgueil (107x), de Toulouse (109x), de Calmont (112x), de Roquefeuil (~1140), de Turenne (1142), de Narbonne (1143), de Gourdon (1145), de Pelet (~1163).

Branche d'Anduze et Sauve : de Montferrat (117x), de Mercoeur (119x), de Toulouse (119x), de Poitiers-Valentinois (122x et 1332), de Roquefeuil (1227 et 1246), de Châteauneuf-Randon et de Châteauneuf du Tournel (123x, 124x, 128x et 128x), des Baux de Provence et des Baux, prince d'Orange (123x, 128x, 1291, 130x et 1344), de Séverac (123x), de Lomagne (124x), de Narbonne (124x), de Crussol (125x), de Peyre (125x et 127x), de Montlaur (~1268), de Montboissier (127x), de Posquières (127x et 136x), d'Agoult (~1272), de Simiane (1281 et 1397), de Saint-Just (129x), de Blacas (1302 et 1329), de Boussagues (132x), d'Aleman (1322), de Landore (133x), de Terride (135x), de Chalençon (1351), de la Roche en Regnier (1352), de Laudun (1362), d'Apchon (1365), de Pontevès (1371), Artaud (1375), de Glandevez (~1376), de Pelet (1380 et 1527), de Comborn (1393), Rogier de Beaufort-Canillac (1394), de Lévis (1395), de Sassenage (1399), de Cabrières (1419), de Lauzières (1422), de Combret (1427), de Châteauneuf (1456).

Branche de Roquefeuil : voir l'article connexe.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Devic et Vaissète 1872, vol. 3 : 878-1165, p. 246 (lire en ligne)
    Les auteurs annotent : « On ne doit pas attacher d’importance à ces titres de princeps, de satrapes et autres semblables, que l’on trouve souvent employés dans les chartes pour désigner des comtes et quelquefois de simples seigneurs. Ce sont des termes empruntés à l’antiquité profane par des clercs lettrés, mais qui dans la bouche des écrivains du moyen âge, n’ont d’autre signification que celle de comes ou dominus »..
  2. a b et c Jérôme Belmon, Les vicomtes de Rouergue-Millau (Xe – XIe siècles), Thèse de l'École nationale des chartes, 1991.
  3. a b et c Claudie Duhamel-Amado, Genèse des lignages méridionaux : Tome 1 : L'aristocratie languedocienne du Xe au XIIe siècle, CNRS-Université de Toulouse-Le Mirail, , 536 p. (lire en ligne), p. 27.
  4. a b c d et e Devic et Vaissète 1872, t. 12 : 1443-1642 (notes et preuves), p. 255 (lire en ligne), p. 422.
  5. Auguste Molinier, Géographie Historique de la Province de Languedoc au moyenâge, éditions Privat, , 458 p. (lire en ligne), p. 252.
  6. a et b Roche 1894, p. 209-....
  7. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire Généalogique, tome 6, 1761, page 296.
  8. Jules Chevalier (chanoine, professeur d'histoire au grand séminaire de Romans), Mémoires pour servir à l'histoire des comtés de Valentinois et de Diois. Tome Ier, Les anciens comtes de Die et de Valence, les comtes de Valentinois de la maison de Poitiers, Paris, Picard, , 477 p. (lire en ligne), p. 216.
  9. Albert Du Boys, Album du Vivarais, ou Itinéraire historique et descriptif de cette ancienne province, (lire en ligne), p. 142.
  10. a b c d e f g et h Vivien Vassal, « Autour d’un cartulaire disparu : le Livre noir de la baronnie de Sauve (Gard). Enquête sur le document et pistes pour sa reconstitution », Patrimoines du Sud, no 15,‎ (lire en ligne).
  11. a et b Robert Michel, L'administration royale dans la sénéchaussée de Beaucaire au temps de saint Louis, Paris, Alph, Picard, , pp. 120-124, pp. 137-140.
  12. Les évêques de Fréjus du XIIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle, Draguignan, imprimerie Latil, (lire en ligne), p. 11.
  13. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France… t.1 A-Bataillon (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (lire en ligne [PDF]), p. 187, no 833.
  14. Roche 1894, p. 209.
  15. Roche 1894, p. 303.
  16. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France… t.2 de la Batardie-Coëtlogat de Clegrio (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (lire en ligne [PDF]), p. 83, no 4273.
  17. Settipani 2004, p. 9-11.
  18. Jean-Bernard Elzière et Nicolas Fauchères, « Des châteaux médiévaux d'Alès au fort royal de la contre-réforme (1687) », Congrès archéologiques de France, Derache (Paris) A. Hardel (Caen),‎ , p. 82, Annexes 1 (lire en ligne sur Gallica).
  19. Malbos 1977.
  20. Fulcran de Roquefeuil, Histoire généalogique des Roquefeuil, , 548 p., pages 44 à 106.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hélène Débax, La Féodalité languedocienne - XIe – XIIe siècles. Serments, hommages et fiefs dans le Languedoc des Trencavel, Toulouse, Presses universitaires du Midi, coll. « Tempus », , 408 p. (ISBN 978-2-85816-651-0).
  • Claude Devic et Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc avec notes et pièces justificatives, vol. 16, Toulouse, éditions Privat, (Première édition : 1730-1745).
  • Félix de La Farelle, « Fin de la première maison seigneuriale d'Anduze. Chronique du XIIIe siècle », Mémoires de l'Académie de Nîmes,‎ , pp. 73-85 (lire en ligne).
  • Lina Malbos, « Étude sur la famille féodale d'Anduze et Sauve du milieu du Xe siècle au milieu du XIIIe siècle », Mémoires de l'Académie de Nîmes, vol. LX,‎ , p. 202-229 (lire en ligne).
  • Auguste Roche, Armorial généalogique et bibliographique des évêques de Viviers. Vol.1, (lire en ligne).
  • Laurent Schneider, « Cité, castrum et « pays » : espace et territoires en Gaule méditerranéenne durant le haut Moyen Âge. L’exemple de la cité de Nîmes et du pagus de Maguelone (Ve – XIe siècle) », dans Pierre Toubert, Castrum 8, Le château et la ville - Espaces et réseaux (VIe – XIIIe siècle (Actes du colloque Castrum 8), vol. 108, Madrid, Casa de Velázquez/École française de Rome, coll. « de l’École française de Rome », (lire en ligne), chap. 105/8, p. 29-70.
  • Christian Settipani, La noblesse du Midi carolingien, Occasional Publications UPR, , 388 p. (ISBN 978-1-900934-04-6, lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]