Marigny-Chemereau

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Marigny-Chemereau
Marigny-Chemereau
Église Saint-Nazaire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Rita Noreskal
2020-2026
Code postal 86370
Code commune 86147
Démographie
Gentilé Chémereaudais
Population
municipale
604 hab. (2021 en augmentation de 0,83 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 35″ nord, 0° 13′ 02″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 142 m
Superficie 11,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Marigny-Chemereau
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Marigny-Chemereau

Marigny-Chemereau est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les citoyens de Marigny Chemereau sont nommés les Chémereaudais et les Chémereaudaises.

Pour sa superficie, la commune est la 17 057e commune de France. Elle est au 931e rang régional et 231e rang départemental.

Localisation[modifier | modifier le code]

Le bourg est situé à 4 km à l'ouest de Vivonne par la route départementale D 27 et à 19 km au sud-ouest de Poitiers qui est la plus grande ville à proximité.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Marigny-Chemereau
Marçay
Marigny-Chemereau Vivonne
Celle-Lévescault

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les paysages de la commune sont composés de plaines vallonnées et boisées, de bocages et de vallées.

Le territoire de la commune est couvert pour 83 % de terres agricoles, pour 15 % de forets et milieux semi-naturels et pour 2 % de terres artificialisés (bourg, voirie...)[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune contient 8 km de cours d'eau, avec comme rivière principale la Vonne sur une longueur de 6 km et un affluent important, la Longère.

La Vonne peut, certains hivers, causer des inondations comme en 1982, 1992, 1993, 1995, 1999 et 2010. Ces débordements peuvent être accompagnés de coulées de boue.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lusignan à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 814,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les gares et haltes ferroviaires qui permettent de desservir la commune sont :

La commune de Marigny-Chemereau va être traversée par la LGV (ligne à grande vitesse) sur 4,49 km. Cinq ouvrages d'art de type pont route, pont rail, ou passage pour la petite faune, vont être construits et également un viaduc qui va permettre à la LGV de traverser la rivière Vonne.

Les aéroports et aérodromes les plus proches sont :

  • aéroport de Poitiers-Biard à 18,9 km ;
  • aérodrome de Niort - Souché à 50,4 km ;
  • aéroport international Angoulême - Cognac à 77,5 km.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marigny-Chemereau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), prairies (17,1 %), forêts (15,4 %), zones urbanisées (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Marigny-Chemereau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1995, 1999, 2010, 2011 et 2013[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marigny-Chemereau.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de la localité sont : Alodus nomine Marnei, situs in pago Pictavo, in vicaria Vicvedone, cum ecclesia constructa in honore sancti Fredemii atque sancti Nazarii v. 968[21], Margnec 1264[21], Margné[21], Marigné 1412[21], Rector de Marigneyo 1478[21], Marigny 1520[21], Marigny Chemereau 1757[22], S. Nazaire de Marigny-Chemereau 1782[21].

L'étymologie de la forme ancienne Marnei en 968 renvoie au nom de personne Matrinius, dérivé de Matrius, basé sur le gaulois matir « mère » auquel se superpose le latin mater de même sens. Il est suivi du suffixe -(i)acum[23], d'origine gauloise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous l'ancien régime la paroisse de Marigny-Chemerault faisait partie de l'archiprêtré et de la châtellenie de Lusignan, de la sénéchaussée et de l'élection de Poitiers[21].

Le 31 aout 1944, un avion allié a été abattu par les soldats allemands sur le territoire de la commune. Le sergent Félix Laplace est tombé sous les balles de l'ennemi au lieudit la Moinerie. Le deuxième homme de l'avion, Louis Combrisson, fut caché et sauvé par les habitants du village malgré les menaces, coups et représailles de la part des soldats allemands. Une stèle commémore cet événement à côté du lieu où l'avion a été abattu.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Roger Philipponneau   Retraité
mars 2008 mars 2014 Françoise Thébault   Agricultrice
Mars 2014 Août 2020 Claude Lambert   Retraité
aout 2020 En cours Rita Noreskal   Chargée d'affaires au Crédit Mutuel
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 604 habitants[Note 4], en augmentation de 0,83 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
537446492594685578578624598
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
638617623619576582589604576
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
590554522483436434423384366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
348306300310358417491575604
2021 - - - - - - - -
604--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Marigny-Chemereau ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie de Marigny-Chemereau administre une population totale de 544 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (13 personnes) pour constater que la population permanente sur la commune de Marigny-Chemereau est de 531 habitants.

La répartition par sexe de la population est la suivante (INSEE) :

  • en 1999 : hommes : 47,7 % et femmes : 52,3 %.
  • en 2006 : hommes : 50,5 % et femmes : 49,5 %.

En 2006, le nombre de célibataires était de 33,2 % dans la population;les couples mariés représentaient 55,8 % des habitants;les divorcés représentaient 6,4 % et le nombre de veuves et veufs était de 4,6 %.

La répartition des naissances et des décès de 1999 à 2008 est, selon l’INSEE, la suivante :

  • en 2008 : 12 naissances et 3 décès.
  • en 2007 : 6 naissances et 4 décès.
  • en 2006 : 14 naissances et 4 décès.
  • en 2005 : 9 naissances et 6 décès.
  • en 2004 : 4 naissances et 8 décès.
  • en 2003 : 7 naissances et 1 décès.
  • en 2002 : 7 naissances et 0 décès.
  • en 2001 : 8 naissances et 3 décès.
  • en 2000 : 8 naissances et 2 décès.
  • en 1999 : 8 naissances et 5 décès.

L’évolution des naissances et des décès de 1968 à 2007 est la suivante (INSEE) :

  • Entre 1999 et 2007 : 65 naissances et 29 décès.
  • Entre 1990 et 1999 : 34 naissances et 34 décès.
  • Entre 1982 et 1990 : 25 naissances et 28 décès.
  • Entre 1975 et 1982 : 27 naissances et 26 décès.
  • Entre 1968 et 1975 : 20 naissances et 25 décès.

La répartition de la population de Marigny-Chemereau par âge est la suivante (INSEE) en 2007 :

  • de 0 à 14 ans : 121 habitants (81 en 1999).
  • de 15 à 29 ans : 66 habitants (78 en 1999).
  • de 30 à 44 ans : 141 habitants (91 en 1999).
  • de 45 à 59 ans : 71 habitants (70 en 1999).
  • de 60 à 74 ans : 75 habitants (57 en 1999).
  • de 75 ans ou plus : 31 habitants (40 en 1999).

Répartition de la population masculine de Marigny-Chemereau par âge en 2007 (INSEE) :

  • de 0 à 19 ans : hommes 72 et femmes 68.
  • de 20 à 64 ans : hommes 146 et femmes 139.
  • de 65 ans et plus : hommes 37 et femmes 43.

La commune, en 2008, est la 15 892e pour le nombre d'habitants en France. Elle est au 723e rang au sein de la région Poitou-Charentes et 165e rang au niveau départemental.

En 2011, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 50 hab/km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Marigny-Chemereau dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne.

Économie[modifier | modifier le code]

Le nombre d'établissements actifs au , selon l'INSEE, est de 27. La répartition par secteur est la suivante :

  • Part de l'agriculture : 33,3 %
  • Part de l'industrie : 3,7 %
  • Part de la construction : 25,9 %
  • Part du commerce, transports et services divers : 29,6 %
  • Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale : 7,4 %

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 13 en 2000.

62 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi du maïs), 14 % pour les oléagineux (2/3 en colza et 1/3 en tournesol), 13 % pour le fourrage et 3 % restent en herbes[29].

Les élevages de bovins et d'ovins ont diminué au cours de cette décennie (le secret statistique ne permet pas de connaître la taille des troupeaux de la commune)[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30]. Il existe une exploitation de canards assez importante au centre du village (M. Hubert MOINE).

Emploi[modifier | modifier le code]

Le nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois de catégories A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi),B (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de plus de 78 h au cours du mois), selon le Pôle emploi est de :

  • au  : 28
  • au  : 29
  • au  : 30

Taux d'activité des 15 à 64 ans est :

  • de 71 % en 1999.
  • de 80,3 % en 2006.
  • de 80,3 % en 2009.

Taux de chômage des 15 à 64 ans est :

  • de 6,5 % en 1999.
  • de 7,6 % en 2006.
  • de 2,8 % en 2009.

Les retraités et les préretraités représentaient 21,8 % de la population en 2006 et 17,7 % en 1999.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Nazaire du Xe siècle, bien restaurée à la fin du XIXe siècle. Partie la plus ancienne mur nord, à l'extérieur, corniche à jolis modillons, baie romane. A l'angle nord-est, statue de la Vierge à l'Enfant, en bois.
  • Le château du XIXe siècle
  • Le site pittoresque du cirque de Giez

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Marigny-Chemereau et Lusignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lusignan-Inra » (commune de Lusignan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lusignan-Inra » (commune de Lusignan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Marigny-Chemereau », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. a b c d e f g et h REDET (L.) Dictionnaire topographique du département de la Vienne (1881), p. 251.
  22. IGN, Plan de Cassini vers 1757.
  23. MORLET M Th Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle (1968), t.3, p. 135-136.
  24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  30. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013