Maucourt (Somme)

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Maucourt
Maucourt (Somme)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terres de Picardie
Maire
Mandat
Fabrice Massias
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80520
Démographie
Gentilé Maucourtois, Maucourtoises
Population
municipale
195 hab. (2021 en augmentation de 11,43 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 39″ nord, 2° 45′ 19″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 94 m
Superficie 3,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Maucourt
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Maucourt
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Maucourt
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Maucourt
Liens
Site web https://mairie-maucourt.fr

Maucourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Lihons Rose des vents
Méharicourt N Chilly
O    Maucourt    E
S
Fouquescourt

Situation[modifier | modifier le code]

Située sur la D 39, la commune se trouve, par la route, à 5 km de Rosières, 24 km de Montdidier et 43 km d'Amiens[1].

Sol, sous-sol, hydrographie, relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est formé de terres perméables constituées du limon éolien des plateaux, commun dans le Santerre. Le sous-sol révèle une craie marneuse quelquefois accompagnée de sable.

Une plaine pratiquement uniforme s'offre au regard. Seule, une légère dépression, entre Maucourt et Fransart, anime le relief[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune ne comporte aucun cours d'eau.

En 1899, on notait une nappe phréatique située au-dessus d'une couche argileuse, à une vingtaine de mètres de profondeur. Trois mares permettaient alors d'abreuver les animaux, à proximité des habitations.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,8 %), zones urbanisées (9,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dès 1225, Moccort est relevé. Puis Moccourt, Mauccourt (1301) et, en 1327 la forme actuelle de Maucourt[2].

Ces formes sont issues du nom d'un propriétaire terrien de l'époque germanique, datées du VIe siècle[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église avant la Première Guerre Mondiale.
La rue de Fouquescourt avant la Première Guerre mondiale.

Des tombeaux en pierre et des monnaies anciennes, trouvées en 1855, attestent d'une occupation remontant au moins à l'Antiquité[2].

Le plus ancien seigneur dont on a retrouvé le nom est Hue de Moccort (1230)[2].

En 1899, le village comptait 20 fouettiers, fabricants de fouets[2].

Le village était situé dans la zone de combats de la Première Guerre mondiale[16],[17],[18],[19],[20],[21], sa destruction a été achevée lors de sa capture, par la Xe armée française, le , au cours de la bataille de la Somme[22],[23].

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachement administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[25]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[27].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[28],[29],[30]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [31], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [32].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[33].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Laurence Petit    
mars 2008[34] En cours
(au 8 octobre 2020)
Fabrice Massias   Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 195 habitants[Note 2], en augmentation de 11,43 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
525512529483495508505535484
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
496498497483490445438429446
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
432418376260157156171138130
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
13511810287107152151162180
2021 - - - - - - - -
195--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête communale, qui fut l'occasion jadis de « Médiévales », fut animée en 2010 par l'organisation d'un bivouac napoléonien et d'un spectacle de reconstitution historique évoquant des escarmouches sanglantes (et imaginaires à Maucourt) entre paysans, royalistes et soldats lors d'une conscription[40].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Devant l'église.
Le monument aux morts.
Stèle aux 7e et 14e bataillons de chasseurs, au 52e régiment d'infanterie , au 415e régiment d'infanterie.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église[41], qui comprenait autrefois des fonts baptismaux des XIIe et XIIIe siècles en pierre[42], détruite pendant la Première Guerre mondiale[43],[44],[45] et reconstruite.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Grâce. La première chapelle, reconstruite après la Grande guerre, datait des années 1750. Chapelle privée, elle fut également appelée Chapelle Leroy du nom de ses anciens propriétaires.
Chapelle Notre-Dame de Grâce.

Elle est munie d'une balustrade en pierre[46].

  • Chapelle de la Vierge. Construite en 1879, près de l'allée qui mène au château[46].
  • Le monument aux morts, en pierre rose.
  • Nécropole nationale de Maucourt, édifiée en 1924, où reposent les restes de 5 302 soldats français, 5 272 de la Première Guerre et 24 de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que les six membres d'équipage, cinq Britanniques et un Canadien, d'un bombardier abattu le [22].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-François Hoschedé, cultivateur, adjoint au maire, maire de Maucourt ; natif de Maucourt, y décède le , à 78 ans. Il est le grand-père de Ernest Hoschedé, natif de Paris, y décède le , à 53 ans ; négociant, critique-d'art et collectionneur, époux de Emilie-Angélique-Alice Raingo, elle-même la seconde épouse (mariés à Giverny le ) de Claude Monet (1840-1926), le célèbre artiste-peintre de Giverny.[réf. nécessaire]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. ViaMichelin
  2. a b c d et e M. Druminy, instituteur de Maucourt, Notice géographique et historique, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens, lire en ligne.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Maucourt et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
  15. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. Une ferme », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. L'église et un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. Chapelle », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt (près). Tranchée de première ligne », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. La mairie et boyau de communication dans le village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. a et b « Nécropole française - Maucourt », Cimetières militaires français dans la Somme, Picardie 14-18 (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. Destructions systématiques par les Allemands : le château détruit », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17583.
  25. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france, (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  28. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  30. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  31. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  32. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  33. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  34. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  35. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  36. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Le Courrier Picard, 22 juillet 2010.
  41. « A) Eglise de Maucourt (Canton de Rosières). - [Aquarelle d'Oswald Macqueron], d'après nature, 7 mai 1875. B) Maucourt (Somme) - L'église et la choche qui est tombée. - [Carte postale] Editeur, H. Duprès, Amiens. », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  42. « Les fonts baptismaux », notice no PM80000882, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  44. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  45. Section photographique de l'armée, « Photo : Maucourt. L'église : intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  46. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 246-247 (ASIN B000WR15W8).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]