Max Rippon

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Max Rippon
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Max Rippon est un auteur guadeloupéen né le à Grand-Bourg, Marie-Galante. Il écrit en français et en créole.

Biographie[modifier | modifier le code]

Max Rippon est né en février 1944 à Grand-Bourg (sur l'île de Marie-Galante)[1]. Vers onze ou douze ans, il gagne Pointe-à-Pitre, pour continuer ses études au Lycée Carnot[1]. Depuis il est resté sur cette partie de la Guadeloupe[1]. Il y rencontre notamment Sony Rupaire, mais aussi Guy Tirolien qui insiste pour qu'il consacre une partie de son temps à la création littéraire et qu'il publie[1]. Son premier roman, Marie la Gracieuse, paraît en fin 2002. Ce qui le motive est de mettre par écrit la mémoire collective de la Guadeloupe, notamment de l'île de Marie-Galante[1], mais pas uniquement. Il a écrit par exemple un ouvrage sur Saint-Martin[2]. Il a écrit également plusieurs recueils de poésie en créole[3].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Roman[modifier | modifier le code]

  • Marie la gracieuse : racontage, Point-à-Pitre, Éditions Jasor, , 252 p. (ISBN 2-912594-32-4)
  • Six virgule trois : secousses à Terre-de-Bas : racontages, Point-à-Pitre, Éditions Jasor, , 129 p. (ISBN 2-912594-61-8)

Récit[modifier | modifier le code]

  • Le dernier matin : récit, Point-à-Pitre, Éditions Jasor, , 89 p. (ISBN 2-912594-09-X)

Poésie[modifier | modifier le code]

  • (gcf) Pawòl naïf : recueil de textes libres, Guadeloupe, Aichi Editions, , 62 p. (OCLC 17770364)
  • (gcf) Feuilles de mots : recueil de pawòl ordinaires (suivi de) Déotwa ti-pawòl nèf à usage de proverbes (préf. Jean Bernabe), Point-à-Pitre, Édition Jasor, , 89 p. (OCLC 22007265)
  • (gcf) Dé gout dlo pou dada, Point-à-Pitre, Édition Jasor, , 59 p. (OCLC 27436059)
  • (gcf) Agouba : pòemes et récits, Point-à-Pitre, Édition Jasor, , 72 p. (OCLC 41834650)
  • (gcf) Rékot : Brisures de mots (préf. Maryse Condé), Point-à-Pitre, Édition Jasor, , 89 p. (ISBN 2-9502195-6-X)

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Thomas C. Spear, « Max Rippon », sur île en île
  2. « Max Rippon : "Saint-Martin est une patrie intime" », Soualiga Post,‎ (lire en ligne)
  3. « Relire ou découvrir Max Rippon », Montray kréyol,‎ (lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]