Mei Shigenobu

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Mei Shigenobu
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (51 ans)
BeyrouthVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
重信 メイVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
japonaise (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
Mère
Autres informations
A travaillé pour

Mei Shigenobu ou May Shigenobu (重信 メイ ; née le au Liban) est la fille de la dirigeante de l'armée rouge japonaise communiste Fusako Shigenobu et d'un Palestinien à la tête du Front populaire de libération de la Palestine[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7].

Carrière[modifier | modifier le code]

Mei Shigenobu vit en exil au Liban avec sa mère qui est recherchée par le Japon et Israël. Elle obtient la nationalité japonaise en 2001[8].

Mei Shigenobu devient présentatrice de la chaîne de télévision câblée Asahi Newstar dans l'émission Nyuusu no Shinsō puis sur MBC, la chaîne satellite des Émirats arabes unis. Elle obtient un doctorat de l'université Dōshisha en 2011, sur le développement des médias arabes et l'effet des réseaux satellites tel Al Jazeera[8],[9].

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • 2006 : 9/11-8/15 Japan Pack Suicide : Nobuyuki Oura
  • 2009 : Documentary on Zunou Keisatsu (le groupe de rock Zunou Keisatu (Brain Police) et son chanteur, Panta).
  • 2010 : Coach : journaliste sportif
  • 2010 : Children of the Revolution, documentaire de Shane O'Sullivan, présenté au Festival international du film documentaire d'Amsterdam[10].
  • 2011 : Eric Baudelaire : The Anabasis of May and Fusako Shigenobu, Masao Adachi, and 27 years without Images avec le réalisateur et ancien membre de l'armée rouge du Japon, Masao Adachi, en compétition au 22e Festival International du Film de Marseille.
  •  : Free word, Al Mayadeen Channel de George Galloway.

Publications[modifier | modifier le code]

  • 2002 : 秘密 : パレスチナから桜の国へ母と私の28年 / [Himitsu : Paresuchina kara sakura no kuni e haha to watashi no 28-nen] (ISBN 4-06-210859-3)
  • 2003 : 中東のゲットーから / [Chūtō no gettō kara] (ISBN 4-901391-31-3)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « http://www.myrtos.co.jp/magazine/200706/takigawa92.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  2. (en) « 9.11-8.15 Nippon Suicide Pact », sur nihonshinju.com,
  3. « http://www.tbs.co.jp/radio/np/eye/020615.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  4. (en) Mayumi Negishi, « A life less ordinary », sur The Japan Times,
  5. (en) « Stepping out of the shadows », sur The Standard,
  6. (en) « Shigenobu’s daughter lands in Japan », sur The Japan Times,
  7. (en) « Israel protests Palestinian lecture in Kanagawa school », sur findarticles.com,
  8. a et b (en) David McNeill, « Mei Shigenobu's words continue the fight for her mother's cause », The Japan Times,
  9. (en) Eric Johnston, « Shigenobu daughter pushes peace », sur The Japan Times,
  10. (en) « Children of the Revolution », sur Festival international du film documentaire d'Amsterdam

Liens externes[modifier | modifier le code]