Merlas

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Merlas
Merlas
Le village de Merlas et son église en août 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays voironnais
Maire
Mandat
Denis Grandperrin
2020-2026
Code postal 38620
Code commune 38228
Démographie
Population
municipale
469 hab. (2021 en diminution de 6,01 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 44″ nord, 5° 39′ 48″ est
Altitude Min. 400 m
Max. 981 m
Superficie 15,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chartreuse-Guiers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Merlas
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Merlas
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Merlas

Merlas est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La plus grande partie de la commune est perchée à plus de 600 mètres d'altitude, dans la partie septentrionale du plateau jurassien du Grand Ratz[1], au pied du col des Mille Martyrs, non loin du massif de la Chartreuse. Merlas est une des communes adhérentes à la communauté d'agglomération du Pays voironnais et du parc naturel régional de Chartreuse.

Le lac de Saint-Sixte est situé dans un hameau éponyme de la commune. Des découvertes archéologiques effectuées dans le secteur immédiat de ce lac témoignent d'une présence humaine à l'époque romaine.

Les habitants de la commune sont dénommés les Merlantins[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le centre-est de la France en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la partie septentrionale du département de l'Isère et plus précisément, au nord de la ville de Voiron, dans une zone de plateau dominant la vallée de l'Ainan.

Le centre du bourg de Merlas se situe, par la route, à environ 16,4 km de Voiron[3]. Le village est également situé, par la route, à 44 km de Grenoble, préfecture de l'Isère, 91 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 319 km de Marseille, ainsi qu'à environ 561 km de Paris.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de Merlas se situe entre des collines molassiques dites périalpines de l'avant-pays du Bas-Dauphiné et le prolongement septentrional du chaînon du Ratz.

Le col des Mille Martyrs, traversé par la RD28 et séparant le territoire de Merlas avec celui de Miribel-les-Échelles, est un simple replat sur la large échine par laquelle se prolonge un ensemble de chaînons jurassiens depuis le plateau du Ratz, au nord de Voreppe, jusqu'à la montagne de l'Épine en Savoie. L'Urgonien affleure presque en dalles structurales sur le flanc oriental de la montagne[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Lac de Saint-Sixte en septembre 2018

C'est sur le territoire de la commune de Merlas que sont situées les sources de deux ruisseaux qui sont des affluents de la rivière de l'Ainan : l'Aigueblanche et le ruisseau de Crozarieu[5].

Un petit lac naturel, le lac de Saint-Sixte, d'une superficie de 5,64 hectares[6], est situé sur le plateau à environ trois kilomètres au sud-ouest du bourg.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 436 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 376,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Merlas est situé à l'écart des voies de grandes circulations. L'autoroute la plus proche est l'A48 qui relie L'agglomération lyonnaise à celles de Grenoble.

Le territoire est cependant traversé par des routes départementales d'importance secondaires dont :

  • La RD28 qui relie la commune de Saint-Geoire-en-Valdaine à celle de Saint-Laurent-du-Pont après avoir franchi le col des Mille Martyrs, à 874 m d'altitude.
  • La RD28a permet un raccordement du bourg de Merlas à la RD28, au niveau du hameau du Basset.
  • La RD49c relie la commune de Saint-Bueil à celle de Saint-Nicolas-de-Marcherin (hameau de Marcherin) après avoir traversé le hameau de La Chapelle-de-Merlas, le bourg et le hameau de Saint-Sixte. Elle permet, en outre, le raccordement de la RD82 à la RD28 et la RD49.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par une ligne du réseau transport du Pays voironnais, service public de transport en commun centré sur la ville de Voiron. Il s'agit de la ligne interurbaine TAD (« transport à la demande ») E1 qui relie Merlas à Saint-Geoire-en-Valdaine et Voiron.

Les deux gares ferroviaires les plus proches de la commune de Merlas sont la gare de Pont-de-Beauvoisin et la gare de Voiron.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Merlas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,8 %), prairies (37,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, lieux-dits et quartiers de la commune[modifier | modifier le code]

Voici ci-dessous, la liste des différents hameaux, lieux-dits et quartiers qui composent le territoire de la commune de Merlas. Ces données sont présentées selon les références toponymiques fournies par le site géoportail[19].

  • la Chapelle de Merlas
  • Nouvellière
  • Reyssabot
  • Papon
  • Saint-Sixte
  • les Gorges
  • la Chassière
  • la Fagotière
  • la Picoudière
  • Laya
  • le Mont
  • les Ailloudières
  • Merliette
  • la Garonnière
  • la Caillatière
  • la Pivotiere
  • le Burlet
  • la Bourgeat
  • la Boutière
  • les Échelles

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Merlas est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), en limite orientale de la zone de sismicité n°3[20].

Terminologie des zones sismiques[21]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le village de Merlas se dénommait La Chanas durant l'époque médiévale. le nouveau nom, pris en 1680 est liée à la présence de la famille des « Merles » possédant des droits sur la paroisse (du latin « merulus »)[22].

Tous les toponymes de Merlas sont dans "10 000 lieux en Pays Voironnais, tome 2"[23]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Le dolmen dit la Pierre à la Marte atteste d'une présence humaine sur le territoire de la commune dès le Néolithique.

La région de se situe dans la partie occidentale du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

Des médailles datant de l'époque romaine aux effigies de Jules César et de l'empereur Auguste ont été retrouvés aux abords du lac de Saint-Sixte, situé sur la commune[24].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le Château de Saint-Sixte en 1910

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En , par ordonnance du directoire du district et confirmée par l'assemblée administrative du département, les trois paroisses de Saint-Sixte, Merlas et La Chapelle se séparent de la commune de Saint-Geoire-en-Valdaine pour former entre elles la commune de Merlas.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant l'occupation allemande, de nombreux jeunes français de la région sont appelés pour contribuer au STO. Certains d'entre eux sont réfractaires et cherchent refuge dans les campagnes. Petit à petit, ces groupes s'organisent en mouvements de résistance à l'occupant. Un groupe dénommé AZUR se met en place dans le secteur de Saint-Sixte et celui-ci est dirigé par Élysé Billon-Laroute, ancien maire de Merlas. En avril 1944, ce mouvement reçoit des armes grâce à un parachutage des alliés, mais à la suite d'une dénonciation, les combattants sont menacés par les hommes de la Wehrmacht et le château de Saint-Sixte, considéré comme le quartier général de la résistance est incendié par les soldats allemands, le .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 (inclus) Marc-Antoine D'Arnoux de Reignier    
1793 1800 Ailloud-Perraud    
28 floréal 1800 9 décembre 1827 Marc-Antoine D'Arnoux de Reignier    
21 mars 1828 21 janvier 1878 Louis Garon-Guinaud    
21 janvier 1878 16 décembre 1888 Jacques Gros-Balthazar    
16 décembre 1888 27 mai 1889 Claude Perrier    
23 juin 1889 21 février 1891 Jacques Gros-Balthazar    
19 avril 1891 16 juin 1903 Alexandre Gros-Balthazar    
16 juin 1903 21 juillet 1907 Germain Ailloud-Goussard    
21 juillet 1907 17 mai 1908 Joseph Garon    
17 mai 1908 17 mai 1925 Jean Burlet-Camborde    
17 mai 1925 19 mai 1929 Elisée Billon-Laroute    
19 mai 1929 7 septembre 1936 Julien-Joseph Gros Coissy    
7 septembre 1936 2 décembre 1942 Joseph Rossat    
21 mars 1943 26 août 1944 Jean Burlet-Camborde    
26 août 1944 31 octobre 1947 Elisée Billon-Laroute    
31 octobre 1947 26 mars 1977 Marius Charat    
26 mars 1977 17 mars 2001 Georges Montagnat-Rentier    
17 mars 2001 30 mars 2014 Bernard Gros-Balthazard DVD  
30 mars 2014 2020 Jean Cailly SE Retraité
2020 En cours Denis Grandperrin    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 469 habitants[Note 2], en diminution de 6,01 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9341 0741 0711 0111 2351 2061 1441 1941 128
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
988980980970985921921907888
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
834790709578536533537500491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
424373290320381405458463496
2015 2020 2021 - - - - - -
499476469------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Rattachée à l'académie de Grenoble, la commune de Merlas ne comporte aucun établissement scolaire depuis le , date à laquelle l'école primaire a fermé, les enfants étant scolarisés dans d'autres communes, notamment l'école de Saint-Bueil, située sur la route de Merlas.

Équipements culturel et sportif[modifier | modifier le code]

La commune de Merlas ne comporte aucun équipement sportif. Les équipements sportifs les plus proches de la commune se situent à Saint-Geoire-en-Valdaine avec notamment la salle polyvalente de la Martinette[29] et une piscine municipale.

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, assez régulièrement, y compris le dimanche, dans son édition du Voironnais à la Chartreuse, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, du canton et quelquefois du village, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Église de Merlas

La communauté catholique et l'église de Merlas (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Jacques de la Marche qui comprend vingt autres églises situées dans le même secteur du Voironnais. Cette paroisse est rattaché au diocèse de Grenoble-Vienne[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Secteur agricole et forestier[modifier | modifier le code]

Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[31],[32].

Autres secteurs[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de Merlas
Les ruines actuelles du château de Saint-Sixte

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Ferréol.
  • L'église Notre Dame, située à La chapelle de Merlas[33].
  • La chapelle Saint-Sixte, à crypte mérovingienne, construite à l'emplacement d'un temple d'époque romaine probablement dédié à Hercule[34], dans le voisinage de la motte castrale[35].

Monuments civils[modifier | modifier le code]

Les ruines du château de Saint-Sixte évoquent la résidence d'été de l'industriel André Descours, fondateur du groupe Descours & Cabaud (né en 1854-décédé à Saint-Sixte en 1904, inhumé à Millery-Rhône). Occupé par des maquisards durant la Seconde Guerre mondiale, le château fut incendié par les Allemands en représailles. Des ruines subsistent dans les bois au-dessus du hameau de Saint-Sixte.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • la Pierre à la Marte est un dolmen situé au nord-est du bourg.
  • la Pierre à Mata est une grosse pierre naturelle située en limite communale avec Miribel-les-Échelles.
  • les vestiges de la motte castrale de la Poype de Saint-Sixte, du XIe siècle[35].
  • le monument aux morts communal qui se présente sous la forme d'un obélisque sur socle, entouré de grilles. Celui-ci présente le nom de l'ensemble des habitants de la commune morts pour la France au cours des deux conflits mondiaux et des conflits de l'AFN (1952-1962)[36].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune, positionné au pied du col des Mille Martyrs (zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique, classée sous le numéro régional, no 38000054, sur une surface de 2,6 hectares), fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.

Le site du lac de Saint Sixte, situé sur le territoire de la commune de Merlas héberge selon, l'INPN, la ZNIEFF du « Lac et tourbière de Saint Sixte »[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le lac de Saint-Sixte a été immortalisé par cet écrivain français grâce à son roman dénommé Geai.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Merlas possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site cartesfrance.fr, page sur Merlas, consulté le 22 août 2019
  2. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 22 août 2019
  3. Site verymap.net, page sur la distance entre Merlas et Voiron, consulté le 22 août 2019
  4. site geol-alp.com, page "Miribel, col des Mille Martyrs, Saint-Aupre", consulté le 22 août 2019
  5. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. site du ZNIEFF, page sur le lac et la tourbière de Saint Sixte
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Merlas et Saint-Aupre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « St Aupre_sapc », sur la commune de Saint-Aupre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  20. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  21. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  22. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 116
  23. Bourrilllon Corinne, 10 000 lieux en Pays Voironnais, tome 2, lexique des cours d'eau, des lieux-dits et des rues, , 260 p. (ISBN 978-2-955-79751-8)
  24. Académie florimontane (Annecy) Auteur du texte, Revue savoisienne : journal publié par l'Association florimontane d'Annecy : histoire, sciences, arts, industrie, littérature : Jules Philippe, directeur-gérant, Imprimerie Abry, (lire en ligne).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Salle Polyvalente La Martinette Complexe sportif La Martinette La Martinette 38620 Saint-Geoire-en-Valdaine, « Salle polyvalente La Martinette Complexe sportif la martinette Saint-Geoire-en-Valdaine », sur Gralon (consulté le ).
  30. Site messe info, page sur la paroisse Saint-Jacques de la Marche, consulté le 22 août 2019
  31. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  32. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, no 2018-46 (.PDF).
  33. « Fiche paroisse, Diocèse de Grenoble - Vienne », sur www.diocese-grenoble-vienne.fr (consulté le ).
  34. Église de la paroisse de Massieu, www.massieu38.fr, accès le .
  35. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 684.
  36. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de Merlas.
  37. Site de l'INPN, page sur le lac et tourbière de Saint Sixte

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Archives de la mairie de Merlas.
  • Le merlantin,
  • Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, 2016 p. 88 à 94