Monique s'évade

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Monique s'évade
Auteur Édouard Louis
Pays Drapeau de la France France
Genre Roman
Éditeur Éditions du Seuil
Date de parution 26 avril 2024
Nombre de pages 180
ISBN 978-2-02-148346-8
Chronologie

Monique s'évade est un roman français de genre autobiographique écrit par Édouard Louis, paru au Seuil en 2024.

Récit[modifier | modifier le code]

Après Combats et métamorphoses d'une femme paru en 2021, Édouard Louis revient dans ce roman sur le parcours d'émancipation de sa mère[1]. Il y raconte comment il l'aide à trouver l'énergie de quitter une nouvelle fois un compagnon violent[2]. Le livre raconte également la sortie de l'invisibilité de cette femme[3].

Style[modifier | modifier le code]

Selon les déclarations de l'auteur, le livre emprunte « beaucoup des codes du film d'action »[3].

Réception critique[modifier | modifier le code]

Dans Télérama, Fabienne Pascaud parle d'un « récit lumineux d'une renaissance »[4]. De même, Marie-Laure Delorme écrit dans Paris Match que le livre est « un récit féministe et positif sur la résurrection d'une femme »[5]. À l'inverse, Ludivine Benard déclare dans Marianne que l'auteur « sombre, de nouveau, dans le récit de sa petite personne »[6].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Claire Devarrieux, « «Monique s’évade» : Edouard Louis et sa mère déchaînée », Libération,‎ (lire en ligne Accès payant)
  2. Elisabeth Philippe, « « Monique s’évade », par Edouard Louis : une vie à soi », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne Accès payant)
  3. a et b Anne Laure Gannac et Melissa Härtel, « Avec "Monique s'évade", Édouard Louis livre le récit poignant d'une libération », sur Radio télévision suisse, (consulté le )
  4. Fabienne Pascaud, « “Monique s’évade” d’Édouard Louis, le récit lumineux d’une renaissance », Télérama,‎ (lire en ligne Accès payant)
  5. Marie-Laure Delorme, « « Monique s’évade» d’Édouard Louis, la critique », Paris Match,‎ (lire en ligne Accès payant)
  6. Ludivine Benard, « "Monique s'évade", d'Édouard Louis : parler de la mère pour regarder (encore) le nombril du fils », Marianne,‎ (lire en ligne Accès payant)