Muirancourt

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Muirancourt
Muirancourt
Mairie de Muirancourt.
Blason de Muirancourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Régis Protasiuk
2024-2026
Code postal 60640
Code commune 60443
Démographie
Gentilé Muirancourtois, Muirancourtoises
Population
municipale
586 hab. (2021 en augmentation de 3,9 % par rapport à 2015)
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 40″ nord, 3° 00′ 31″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 106 m
Superficie 5,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Muirancourt
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Muirancourt
Liens
Site web http://www.muirancourt.fr/

Muirancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Muirancourt est un village picard du Noyonnais, situé à 7 km à vol d'oiseau au nord de Noyon, 29 km au nord-est de Compiègne et 52 km de Clermont, 32 km à l'est de Montdidier, 17 km au sud-est de Roye, 13 km au sud de Ham, 30 km au sud-ouest de Saint-Quentin et 15 km à l'ouest de Chauny.

En 1850, Louis Graves indiquait que « le territoire de cette commune est situé en entier sur la rive gauche de la rivière de Verse qui lui sert de limite vers le sud-est ; la partie rapprochée de la rivière est marécageuse; au nord sont des coteaux boisés. Le village est bâti dans la vallée[1] ».

Panorama du village depuis les hauteurs du hameau de Rézavoine.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bussy, Crisolles, Fréniches, Frétoy-le-Château et Guiscard.

Rose des vents Fréniches Rose des vents
Frétoy-le-Château N Guiscard
O    Muirancourt    E
S
Bussy Crisolles

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

En 1886, Émile Coët écrivait « la commune de Muirancourt repose sur un banc de lignites et d'argile, dans lequel.on retrouve beaucoup de fossiles ; c'est dans le lignite terreux que l'on rencontre des pyrites de fer, à l'état sulfuré, avec lesquelles on obtenait, il y a quelques années, le sulfate de fer ou couperose verte. Par suite d'une réaction chimique, on obtenait aussi du sulfate d'alumine et de potasse ou alun[2] ».

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

La commune est limitée au sud-est par le lit de la Verse, un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4]. Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Le centre de Muirancourt.

Typologie[modifier | modifier le code]

Muirancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73 %), forêts (14,3 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune comprend un hameau, Rezavoine, situé en limite de Frétoy-le-Château.

Panneau d'entrée de Rézavoine.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 240, alors qu'il était de 227 en 2015 et de 221 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Muirancourt en 2020 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,9 % en 2015), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Muirancourt en 2020.
Typologie Muirancourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,4 90,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 5,4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 676, 677, 678, 6308 et 6333 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Moirincurt (900) ; Moirincort (vers 1029) ; Mahereicurtis (1033) ; Rabodi de Muirencourt (1148) ; Hugo de Muiriencurt (1188) ; Petri de murencourt (1224) ; Willermus de muirencort (1231) ; Muirencort (XIIIe) ; Murencourt (1263) ; Muyrencourt (1517) ; Mirancour (vers 1580) ; Muirencourt (vers 1580) ; Meurancourt (1590) ; Muirancourt (1730)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Muiraucourt faisait partie du bailliage et de l'élection de Noyon, et était comprise dans le marquisat de Guiscard[2].

La paroisse de Muirancourt relevait du doyenné et du diocèse de Noyon. Le chapitre de la cathédrale nommait le curé et en percevait les droits[2].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1850, on notait à Muirancourt une importante usine de fabrication d'acide sulfurique et un moulin à vent[1]. Cette fabrication avait cessé en 1886, mais on fabriquait alors dans la commune des tuyaux de drainage[2].

La commune est desservie par l'une des lignes de chemin de fer secondaire du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise, le chemin de fer de Noyon à Ham. La ligne a été exploitée de 1895 à 1955[17].

Au début de la Première Guerre mondiale, le village est occupé par l'armée allemande dès le , et une partie des hommes restés sur place sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. Il n'est libéré que le après le repli allemand de l'opération Alberich et le village détruit par l'occupant appliquant la stratégie de la terre brûlée. La commune redevient française mais les habitants restants sont déplacés vers l'arrière, et les lieux sont en zone avancée sous contrôle militaire strict[18].

Elle est occupée à nouveau en juin 1918 et définitivement libérée le [18].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Muirancourt est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité succède à un SIVOM créé en 1970.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1982 2006 Charles Sara   Démissionnaire
22 décembre 2006[23] octobre 2023[24] Jeannot Nancel[25],[26]   Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2020 → 2023)
Démissionnaire
janvier 2024[27] En cours
(au 22 janvier 2024)
Régis Protasiuk   Président du SIRS du RPI des 3FLM[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 586 habitants[Note 3], en augmentation de 3,9 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
348355477389480466482488472
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
477477496484481390366350343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
322325336264303304292240292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
316354339408487487542543554
2015 2020 2021 - - - - - -
564588586------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 278 hommes pour 298 femmes, soit un taux de 51,74 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
3,9 
75-89 ans
6,3 
17,6 
60-74 ans
14,8 
18,0 
45-59 ans
17,1 
21,8 
30-44 ans
22,4 
16,2 
15-29 ans
10,9 
22,5 
0-14 ans
28,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivité[modifier | modifier le code]

  • Fête patronnale Saint-Médard, organisée de très longue date en juin[34]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Médard, reconstruite en 1924 sur les plans de l’architecte Parnaudeau en style néo-roman après la destruction de l'édifice précédent pendant la Première Guerre mondiale. Elle est représentative de l’architecture de la reconstruction dans le Noyonnais.
    Orientée pratiquement nord-sud et bâtie en pierres d’appareil à bossage, elle est constituée d’une nef unique et d’une abside à cinq pans et vaut surtout pour sa façade surmontée d'un clocher-porche. comprenant trois baies et un oculus surmontés de l’étage du beffroi, ajouré d’une baie géminée sur chaque face.
    À l'intérieur, le clocher se trouve au-dessus d'un massif de gaçade comprenant une tribune et largement ouvert sur la nef par deux rangs superposés d’arcades[35]
  • Circuit de promenade du vieux chêne, avec liaison possible vers le circuit de Magny et le circuit de la Verse[36]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Muirancourt Blason
Écartelé au un et quatre d'or au lion de gueules couronné d'azur ; au deux et trois de gueules à un arbre d'argent et au chef échiqueté d'argent et d'azur ; à l'écu d'argent bandé de gueules brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Muirancourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Muirancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Muirancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 51-52, sur Google Livres.
  2. a b c et d Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 153, sur Gallica.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Muirancourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Muirancourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 383.
  17. Claude Wagner, Voies métriques en Picardie : Histoire des voies ferrés d'intérêt local dans l'Oise, Auray, Éd. LR Press, , 280 p. (ISBN 978-2-903651-74-9), p. 87-101
  18. a et b « Muirancourt dans la grande guerre », Livre mémorioal des communes de l'Oise, sur https://www.memorial-chiry-ourscamp.fr (consulté le ).
  19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  20. Journal officiel du18 février 1921, p. 2098.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Les maires de Muirancourt », sur https://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=13598 (consulté le ).
  23. « Éditorial », Le Mirancourtois, no 1,‎ , p. 12 (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Le maire de Muirancourt démissionne : « C’est ma santé qui est en jeu » : Premier magistrat depuis 2007, Jeannot Nancel, maire de Muirancourt, a envoyé à la préfecture sa démission face à des dissensions au sein du conseil municipal », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Muirancourt : le maire Jeannot Nancel se représente », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jeannot Nancel, élu premier magistrat en 2007, conduira finalement la liste de la majorité (...) Jeannot Nancel, du haut de ses 31 années au conseil municipal, a dressé deux priorités en cas de victoire ».
  26. Fanny Dollé, « Sandrine Dauchelle prend la tête du Pays Noyonnais : La maire de Noyon a encore battu d’une courte tête (dix voix d’écart) son seul adversaire déclaré, Patrick Deguise. Sandrine Dauchelle veut composer avec les élus ruraux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Noyonnais. Régis Protasiuk est le nouveau maire de Muirancourt », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vendredi 19 janvier, il présentait sa candidature à son nouveau conseil municipal. Seul candidat pour le siège de maire, il a été élu à l’unanimité. Âgé de 48 ans, il s’agit pour lui de son premier mandat de maire ».
  28. « Muirancourt prépare la rentrée », sur https://www.annesophie-fontaine.fr, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Muirancourt (60443) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. « À Muirancourt, la tradition de la fête de saint Médard fait son retour », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Dominique Vermand, « Muirancourt, église Saint-Médard : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  36. « Circuit du vieux chêne », sur muirancourt.fr (consulté le ).