Pamela H. Smith

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Pamela H. Smith
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Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (66 ans)
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Université Columbia
Pomona College
Université de Claremont (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Institut d'étude avancée (-)
Fondation John-Simon-Guggenheim (-)
British Society for the History of Science (en)
Society for the History of Technology (en)
History of Science Society
Société américaine d'histoire
The Renaissance Society of America (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Œuvres principales
The Making and Knowing Project (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Pamela H. Smith (née le ) est une historienne des sciences australienne spécialisée dans les attitudes vis-à-vis de la nature dans l’Europe moderne (1350-1700), avec une attention particulière pour la connaissance de l’artisanat et le rôle des artisans dans la révolution scientifique.

Formation et carrière[modifier | modifier le code]

Smith a obtenu un baccalauréat universitaire de l'Université de Wollongong, en Nouvelle-Galles du Sud, Australie en 1979 (mention très bien) et un doctorat de l'Université Johns-Hopkins en 1991[1]. Smith est professeure Margaret et Edwin F. Hahn en sciences sociales, professeure d’histoire au Pomona College de 1990 à 2005 et directrice des études européennes à la Claremont Graduate University (en) de 1996 à 2003.

Elle est professeure d'histoire titulaire de la chaire Seth Low[2], directrice fondatrice du projet Making and Knowing Project[3], directrice fondatrice du Centre pour la science et la société[4] et présidente du comité des Presidential Scholars in Society and Neuroscience[5], tous à l'Université Columbia. Smith préside durant deux ans (2016-2018) la Renaissance Society of America (en)[6]. En 2014 elle est chercheuse en visite à l'Institut Max-Planck d'histoire des sciences à Berlin-Dahlem.

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Pamela Smith est membre du Institut d'études avancées de Berlin (de), en 1994-1995[7]. Elle est également membres de la Société américaine d'histoire, l'American Association for Netherlandic Studies, l’History of Science Society, de Historians of Netherlandish Art, de la Frühe Neuzeit Interdisziplinär, de la Société britannique d'histoire des sciences (en), de la Renaissance Society of America, de la Société d'histoire de la technologie (en) et de la Société d'histoire de la metallurgie (en).

Sélection de publications[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Pamela H. Smith » (voir la liste des auteurs).
  1. « Pamela H. Smith - Faculty - Department of History - Columbia University », History.columbia.edu (consulté le )
  2. (en-US) « Smith, Pamela H. | Department of History - Columbia University », history.columbia.edu (consulté le )
  3. (en-US) « People », makingandknowing.org (consulté le )
  4. (en-US) « The Center For Science & Society at Columbia University », The Center for Science & Society at Columbia University (consulté le )
  5. (en-US) « Presidential Scholars in Society & Neuroscience - Columbia University », Columbia University: Presidential Scholars in Society and Neuroscience (consulté le )
  6. « RSA Executive Board - Renaissance Society of America », www.rsa.org (consulté le )
  7. « Pamela H. Smith, Ph.D. - Wissenschaftskolleg zu Berlin », www.wiko-berlin.de (consulté le )
  8. (en) Pamela H. Smith, The Business of Alchemy : Science and Culture in the Holy Roman Empire, Princeton University Press, , 336 p. (ISBN 978-1-4008-8357-8, lire en ligne)
  9. Keith Tribe, « The Business of Alchemy: Science and Culture in the Holy Roman Empire. Pamela H. Smith », Isis, vol. 86, no 4,‎ , p. 647–648 (ISSN 0021-1753, DOI 10.1086/357349, lire en ligne, consulté le )
  10. Helen Liebel-Weckowicz, « The Business of Alchemy: Science and Culture in the Holy Roman Empire, by Pamela H. Smith », Canadian Journal of History, vol. 30, no 1,‎ 1 de abril de 1995, p. 113–115 (ISSN 0008-4107, DOI 10.3138/cjh.30.1.113, lire en ligne, consulté le )
  11. Allen G. Debus, « The Business of Alchemy: Science and Culture in the Holy Roman Empire (review) », Bulletin of the History of Medicine, vol. 70, no 1,‎ , p. 130–131 (ISSN 1086-3176, DOI 10.1353/bhm.1996.0027, lire en ligne, consulté le )
  12. Ole Peter Grell, « SmithPamela H., The Business of Alchemy: Science and Culture in the Holy Roman Empire. Princeton: Princeton University Press, 1994. Pp. xii + 308. (ISBN 0-691-05691-9). £30.00, $45.00. PataiRaphael, The Jewish Alchemists: A History and Sourcebook. Princeton: Princeton University Press, 1994. Pp. xv + 617. (ISBN 0-691-03290-4). £29.95, $35.00. », The British Journal for the History of Science, vol. 29, no 1,‎ , p. 93–94 (ISSN 1474-001X, DOI 10.1017/S0007087400033914, lire en ligne, consulté le )
  13. Mary Lindemann, « Review of The Business of Alchemy. Science and Culture in the Holy Roman Empire », Central European History, vol. 28, no 2,‎ , p. 237–240 (lire en ligne, consulté le )
  14. « Past Winners of the Pfizer Award », Rethinking.asia (consulté le )
  15. « Pamela H. Smith »
  16. (en) « Edelstein Fellowship », Science History Institute (consulté le )
  17. « GRI Scholars (Getty Press Release) », www.getty.edu (consulté le )
  18. (en) « New Directions Fellowships Recipients | The Andrew W. Mellon Foundation », mellon.org (consulté le )
  19. (en) « Leo Gershoy Award Recipients | AHA », www.historians.org (consulté le )
  20. « Kress Fellows 2007 »
  21. « Shelby Cullom Davis Center Fellows »

Liens externes[modifier | modifier le code]