Portail:Réalisation audiovisuelle/Le Saviez-vous ?/Propositions

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Propositions[modifier le code]

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  • Alors qu'ils concevaient le Kinétoscope, Thomas Edison et William K.L. Dickson pourraient avoir été les premiers réalisateurs à avoir fait tourner une femme dans un film : Carmencita, où l'on peut voir Carmencita, une personnalité américaine, dansait. Cependant, alors qu'ils le présentaient à la ville d'Asbury Park, aux États-Unis, le maire, James A. Bradley, les aurait expulsé de par la simple vue des chevilles nues de l'actrice principale, Carmencita. Ainsi, en seulement deux mois, la Pacific Society for the Suppression of Vice comptait près de soixante-dix arrestations. Mais malgré cet incident, cela n'empêchera en rien au Kinétoscope d'acquérir une renommée clamait de tous, et de faire le tour du monde, ceci sans brevet international.
  • Alors âgé de treize ans, Stanley Kubrick se voit offrir son premier appareil photographique. Il deviendra alors avide de photographie, développant lui-même ses photographies avec un ami. Il sera ainsi élu photographe officiel de son collège et prendra plusieurs centaines de clichés, il finira par se faire remarquer par le magazine Look pour sa photographie d'un vendeur de journaux en larmes après la mort de Franklin Roosevelt, qui l'embauchera au même moment. Déjà, Stanley était perfectionniste. Sa première passion qu'était la photographie le projettera ensuite dans l'univers de la réalisation et du cinéma, où il excellera de par ses longs métrages tels que 2001, l'Odyssée de l'espace, Shining ou encore Eyes Wide Shut.
  • Durant les années 90, le cinéma de Kiarostami a les vertus d’un outil diplomatique : ses films ont introduit en Occident une nouvelle vision de l’Iran, différente des clichés médiatiques. Mais l’État iranien réprouve ses films, les jugeant « insuffisamment islamiques » et « trop formatés au goût de l'Occident », quoique la réprobation institutionnelle soit rendue difficile par la renommée grandissante du réalisateur. Le Goût de la cerise est, par exemple, censuré pendant quelque temps en Iran. Il n'a d'ailleurs pas été diffusé au Festival de Téhéran. Mais le film est autorisé la veille de la remise du palmarès du Festival de Cannes où Abbas Kiarostami recevra la Palme d'or ! Il contait les déboires d'un homme désespéré.