Portieux

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Portieux
Portieux
Rue Eugène-Huraux.
Blason de Portieux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Christelle Paillard
2020-2026
Code postal 88330
Code commune 88355
Démographie
Gentilé Portessiens, Portessiennes
Population
municipale
1 222 hab. (2021 en diminution de 3,4 % par rapport à 2015)
Densité 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 40″ nord, 6° 20′ 44″ est
Altitude 321 m
Min. 277 m
Max. 365 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Portieux
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Portieux
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Portieux
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Portieux

Portieux est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Portessiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Portieux occupe la rive droite de la Moselle en amont de Charmes et vis-à-vis de Vincey. La commune se double du hameau de Magnienville, 4 km à l'est, devenu La Verrerie de Portieux.

La commune de Portieux est composée de Portieux centre, Belval et La Verrerie de Portieux, l'ensemble étant situé sur l'axe du ruisseau "Rochon" dit aussi "Mori" à la Verrerie.

D’après la carte IGN, l’altitude minimale de 277 mètres est au confluent du ruisseau de l'Ermitage tandis que l’altitude maximale de 365 mètres se situe au carrefour de la Verrerie, forêt de Fraize.

Description topographique (donnée par le PLU de Portieux) : le territoire de Portieux se présente globalement sous forme de reliefs émoussés localement entaillés par la vallée de la Moselle qui s’écoule du nord-ouest au sud-ouest du territoire. Une petite vallée se greffe perpendiculairement à cet axe, traversée par le ruisseau du Rochon (appelé aussi "Mori" depuis la commune de Moriville jusqu'à la Verrerie de Portieux), affluent de la Moselle qui déroule son lit à une altitude comprise entre 311 mètres et 280 mètres. Les collines ne culminant guère plus haut, n’atteignent en effet que 365 mètres en leur point le plus élevé.

Situation de Portieux.
Communes limitrophes de Portieux
Langley Damas-aux-Bois
Portieux Moriville
Vincey

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Mosellele ruisseau de la Foret du Terne, le ruisseau le Portieux et le ruisseau de la Laumont[1],[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Portieux.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[3].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 945 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Épinal », sur la commune de Dogneville à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Portieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,5 %), forêts (29,2 %), zones urbanisées (8,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 5] (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Portieux a son origine évidente dans le latin Portus Coelorum (passage des cieux, d'où porte des cieux). Il y a un rapport certain entre Portus Coelorum et le prieuré fondé au tout début du XIIe siècle à Belval qui peut être tenu comme un lieu de vénération à Bel Ualos (Bel, Belenos dieu gaulois de la lumière, ualos = souverain).

Histoire[modifier | modifier le code]

Le retour du croisé (fin du xIIe siècle), en provenance de l'ancien prieuré de Belval[17].

Dénommée primitivement Portus Coelorum, la cité s'est développée autour d'un prieuré sis à Belval, fondé en 1107 par Gérard Ier de Vaudémont, où il fut inhumé avec son épouse selon son souhait. Par la suite, ses restes furent transférés à Nancy en 1718 par Dom Calmet (abbaye Saint-Léopold de Nancy). Le prieuré de Belval en tant que tel fut supprimé par un décret du Pape Paul V. Le la communauté des religieux quitta dès lors Belval pour l'abbaye Saint-Léopold de Nancy. Il resta un prêtre pour desservir le pèlerinage de saint Spinule et la paroisse de Portieux.

La seconde vie de Portieux s'est dessinée au début du XVIIIe siècle par la volonté du duc de Lorraine. C’est en 1705 que François Magnien (Maître d’hôtel du duc de Lorraine) obtient de Léopold Ier de Lorraine l’autorisation de créer une première verrerie à Portieux-village (actuellement rue Gustave-Chardot). Comme Magnien est un favori du Prince, il demande et obtient de nouvelles concessions, de nouveaux arpents de terre et de bois pour développer son industrie. En 1710, il se rapproche de la forêt de Ternes au lieu, dit : « la fontaine de Viller », aujourd’hui « fontaine Jean Ruer » à 4 km de Portieux, sur la rive droite du Mori.

Il y fabrique du verre à vitre, on appellera cette usine « verrerie des bois », par opposition à celle de Portieux, qui est installée au village et qui fabrique des gobelets. En 1714, le duc de Lorraine demande à Magnien de créer une troisième verrerie, pour fabriquer des glaces à miroirs et de carrosses, ainsi que des carreaux pour vitrages en bois et en plomb. Il s’installe en face de la fontaine de Viller sur la rive gauche du Mori, c’est l’emplacement de la verrerie actuelle.

En 1718, il est décidé de fermer l’usine de Portieux-village et de la fontaine de Viller afin de regrouper l’ensemble dans la nouvelle usine. C’est autour d’elle que ce groupent les ouvriers, et ce centre industriel portera alors le nom de « Magnienville » du nom de son fondateur : Cristallerie de Portieux. Magnien obtient le titre de seigneur de Magnienville.

Estampe de la verrerie de Portieux réalisée en 1841 par E. Ravignat

De la nuit du 4 août 1789, qui abolissait les privilèges accordés aux nobles, La Verrerie de Magnienville allait subir les répercussions, et perdre tous les avantages accordés jadis gratuitement par la cour de Lorraine. Le domaine de Magnienville devenait « bien national », et en 1796, il était acheté par les mêmes directeurs qui auparavant l’exploitaient : MM. Lamy et Bour. Ceux-ci achèteront également le monastère de Belval (situé sur la commune de Portieux, entre Portieux village et La Verrerie).

L'entreprise acquit rapidement une renommée dans toute l'Europe.

Le cadastre le plus ancien date de 1824 (date communiquée par le cadastre à Épinal). Les matrices cadastrales les plus anciennes sont de 1823. Elles sont conservées aux A.D.V. (Archives Départementales des Vosges)[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Portieux fait partie de la communauté d'agglomération d'Épinal[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1813 1820 Jean-Charles Mougin   Directeur de la Cristallerie de Portieux
1867 1873 Xavier Mougin Républicain Directeur de la Cristallerie de Portieux
Conseiller d'arrondissement de Mirecourt (1865-1867)
Conseiller général du canton de Charmes (1877-1895)
Député (1889-1902)
1900 1928 Adrien Richard UR Directeur de la Cristallerie de Portieux
Conseiller général du canton de Charmes (1919-1940)
Sénateur (1927-1944)
Les données manquantes sont à compléter.
1992 2014 Philippe Aussedat    
2014 2020 Jean-Paul Bazin    
2020 En cours
(au 21/04/2022)
Christelle Paillart    

Finances locales[modifier | modifier le code]

La mairie.

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[20] :

  • total des produits de fonctionnement : 976 000 , soit 749  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 746 000 , soit 572  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 273 000 , soit 209  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 168 000 , soit 129  par habitant ;
  • endettement : 0 , soit 0  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 19,02 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,44 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 19,70 %.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Portieux n'est jumelée avec aucune autre ville.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 1 222 habitants[Note 6], en diminution de 3,4 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
8749561 0591 0741 1321 0941 1591 2851 302
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 4451 4241 9482 0232 4282 2982 5162 6402 956
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
3 2092 7342 8272 7332 5802 2152 5222 2872 163
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
1 9521 7501 4921 4111 3161 3231 3211 2511 239
2021 - - - - - - - -
1 222--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église de l'Exaltation de la Sainte-Croix.
L'église Saint Laurent de La Verrerie.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La Cristallerie de Portieux date de 1705. Le spectacle encore offert aujourd'hui des souffleurs de verre est accessible aux visiteurs.
  • L'église de l'Exaltation de la Sainte-Croix et son orgue[25].
  • L'église Saint-Laurent de La Verrerie et son orgue[26],[27].
  • La chapelle des sœurs de la Providence et son orgue[28].
  • Les monuments aux morts[29]. Portieux a eu sept fusillés pendant la Seconde Guerre mondiale[30].
  • L'ancienne filature de Vincey inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [31].
  • Plusieurs fermes et maisons d'ouvriers des XVIIe ou XVIIIe siècles.
  • Le Moulin du Pilan[32].
  • Le Moulin de Portieux.
  • Vestiges du prieuré de Belval, établi de 1107 à 1616, près du Rochon, au hameau qui a conservé son nom.

Vestiges archéologiques[modifier | modifier le code]

  • Deux voies romaines se trouvent à Portieux[33] :
    • La voie de Langres à Strasbourg (embranchement de la voie impériale d’Agrippa-Lyon à Trèves ) franchissait la Moselle au plein de Portieux. Elle recoupait la voie de Metz à Bâle sur le territoire de Portieux. En plus du gué du plein de Portieux, il existe un second gué localisé à la ferme de Sous Fraize, sur le territoire de Châtel-sur-Moselle[34]. Il est à noter par ailleurs que la voie romaine Langres-Metz demeura, au Moyen Âge, un axe d'une importance économique majeure.
    • Une voie secondaire partait de Portieux, passait par « Mézières » (territoire de Rehaincourt) gagnait Essegney et probablement Deneuvre près de Baccarat. Mézières fut une station romaine très importante[35]. Des objets antiques furent découverts en 1856 dans la forêt de Ternes lors de fouilles effectuées à cet endroit par l’abbé Pierfitte, curé de Portieux[36]. On ignore si la partie explorée est sur le territoire de Portieux et la nature des objets (médailles antiques et un pied humain).
  • La statue surnommée Le cavalier au géant « anguipède[37],[38]» représente un dieu barbu et armé dont le cheval terrasse un monstre mi-homme, mi-serpent, a été découverte en 1870, en face de la ferme des Sauley (Chevrot), dans la Moselle au lieu-dit « le Plein », gué de la voie romaine de Langley à Strasbourg. Cette statue est exposée dans la salle d’entrée du Musée départemental d'art ancien et contemporain d’Épinal.
  • Le document le plus ancien faisant mention de la commune remonte à 1107. Il est question de Portieux, sous le nom de Portus, dans l’acte de fondation du prieuré de Belval – A.D.M.M. H33[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules, à la bande ondée d'argent chargée en abîme et d'aplomb, d'un cavalier à l'anguipède contourné de sinople, armé d'une lance d'or, accompagnée en chef d'une chapelle d'or, et en pointe d'un service de trois verres à pied décroissant en taille rangés en fasce.
Commentaires : Ce blason créé par l'abbé Gaire, a été adopté par la commune le 24 septembre 1978 pour le 34e anniversaire de la libération du village. La bande figure la Moselle et son gué sur la voie romaine où fut retrouvée la statue du cavalier au géant anguipède. On retrouve de part et d'autre la chapelle de Belval et la tradition verrière.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Portieux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Portieux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « la Moselle »
  3. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Portieux et Dogneville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Épinal », sur la commune de Dogneville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Épinal », sur la commune de Dogneville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Musée Lorrain
  18. Archives départementales des Vosges, E dépôt 362 Archives communales de Portieux (1541-1972)
  19. « Communes membres », sur le site de la communauté d'agglomération d'Épinal.
  20. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Inventaires des orgues : église de l'Exaltation de la Sainte Croix, église Saint Laurent de la Verrerie, chapelle des Sœurs de la Providence
  26. Orgue de l'église saint Laurent de la Verrerie
  27. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 458 à 465
    Présentation des orgues de la commune : pp. 462-463 : Eglise Saint-Laurent de la Verrerie; pp. 464-465 : Chapelle des sœurs de la Providence
    .
  28. Chapelle des sœurs de la Providence. Orgue neuf d'Edmond Alexandre Roethinger
  29. Monument aux Morts de La Verrerie; Monument aux Morts ; Plaque commémorative 1914-1918; Plaques commémoratives 1914-1918 de La Verrerie; Plaque commémorative Dans l'enceinte du couvent des Sœurs de la Providence; Monument tombe; Plaque commémorative "En souvenir des soldats de Portieux et de l'ambulance du couvent"; Carré militaire dans le cimetière communal
  30. Monument spécifique - Aux fusillés
  31. « Filature dite de Vincey (ancienne) », notice no PA00107339, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Le moulin du Pilan
  33. La voie romaine Langres-Strasbourg sur le territoire de la commune de Portieux : Le gué de Portieux
  34. Sources : Mme Chantal Debry, responsable du château-fort de Châtel-sur-Moselle
  35. Sources : Mme Chantal Debry
  36. Voies romaines de Langres à Strasbourg et de Corre à Charmes
  37. Cavalier à l'Anguipède
  38. Vie religieuse en Gaule. Héritage celtique et courants méditerranéens § 6. Jupiter-Taranis et l'invincibilité impériale sur les colonnes « au géant » du nord-est de la Gaule, Fig 25]
  39. Notes et dates historiques de Portieux
  40. François Pelletier, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
  41. Louis-Félix Claudel, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
  42. « Biographie de Pelletier (Dom Ambroise), bénédictin », sur le site personnel de Bernard Visse, Notices biographiques des célébrités vosgiennes/Humbert le Vosgien (consulté le ).