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Projet:Les Mille Pages/Cynthia Jones

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Cynthia Jones
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Cynthia M. Jones est une scientifique et un professeure américain. Jones est une éminente scientifique et professeure à l'Old Dominion University, où elle est titulaire de la chaire de sciences A.D. et Annye L. Morgan de 2009 à 2014.

Éducation[modifier | modifier le code]

Cynthia Jones obtient une licence en zoologie avec les honneurs summa cum laude et Phi Beta Kappa à l'Université de Boston en 1968. Sa thèse de spécialisation portait sur le rôle des acides pectiniques dans l'abscission foliaire. Elle obtient une maîtrise (1973) et un doctorat (1984) en océanographie à l'Université de Rhode Island[1]. Son mémoire de maîtrise était intitulé Ecology and Physiology of Cancer spp. et sa thèse était intitulée The Otolith Ageing Technique in Larval Fish[2]. Son directeur de thèse était Saul Saila[3]. Elle est associée postdoctorale au département des ressources naturelles de l'université Cornell de 1984 à 1985[2].

Carrière[modifier | modifier le code]

Cynthia Jones est biologiste des pêches de 1978 à 1980 au National Marine Fisheries Service (NMFS) où elle a analysé le changement de la structure de la communauté du zooplancton et des poissons larvaires au banc Georges. Elle a également effectué des analyses statistiques et la programmation de la base de données MARMAP au NMFS. De 1982 à 1983, Cynthia Jones est programmeuse statistique au Pawtucket Heart Health Program. À Pawtucket, elle travaille à la programmation d'applications statistiques et à la gestion de bases de données pour une évaluation médicale d'intervention communautaire visant à prévenir les maladies cardiaques[2]. De 1986 à 1988, Jones est professeure adjointe au Virginia Institute of Marine Science et professeure adjointe au département d'océanographie de l'Old Dominion University (ODU). Jones fait partie de la faculté du département des sciences biologiques de l'ODU de 1988 à 2003. En 2003, il est devenu un éminent chercheuse et professeure au département des sciences océaniques, terrestres et atmosphériques de l'ODU. De 2009 à 2014, elle est titulaire de la chaire de sciences A.D. et Annye L. Morgan à l'ODU[2]. Elle est directrice du Center for Quantitative Fisheries Ecology à l'ODU.

Publications choisies[modifier | modifier le code]

  • Thorrold, S.R. ; Latkoczy, C. ; Swart, P.K. ; Cynthia Jones, C.M. (12 janvier 2001). "Natal Homing in a Marine Fish Metapopulation ". Science. 291 (5502) : 297-299. doi:10.1126/science.291.5502.297.
  • Wells, Brian K. ; Rieman, Bruce E. ; Clayton, James L. ; Horan, Dona L. ; Cynthia Jones, Cynthia M. (2003). " Relations entre les chimies de l'eau, de l'otolithe et du tartre de la truite fardée versicolore de la rivière Coeur d'Alene, Idaho : The Potential Application of Hard-Part Chemistry to Describe Movements in Freshwater". Transactions de l'American Fisheries Society. 132 (3) : 409-424. doi:10.1577/1548-8659(2003)132<0409:RBWOAS>2.0.CO;2.
  • Bath, Gretchen E ; Thorrold, Simon R ; Cynthia Jones, Cynthia M ; Campana, Steven E ; McLaren, James W ; Lam, Joseph W.H (mai 2000). " Strontium and barium uptake in aragonitic otoliths of marine fish ". Geochimica et Cosmochimica Acta. 64 (10) : 1705-1714. doi:10.1016/S0016-7037(99)00419-6.
  • Cynthia Jones, C. M. ; Palmer, M. ; Schaffler, J. J. (février 2017). "Au-delà du Zar : l'utilisation et l'abus des statistiques de classification pour la chimie des otolithes : statistiques de classification de la chimie des otolithes". Journal of Fish Biology. 90 (2) : 492-504. doi:10.1111/jfb.13051.

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

En 2009, elle est élue Fellow de l'American Association for the Advancement of Science[4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Cynthia Jones » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ (en) « Cynthia Jones », sur Old Dominion University (consulté le )
  2. ↑ a b c et d (en) « Cynthia M. Jones », sur Old Dominion University (consulté le )
  3. ↑ (en) Cynthia Jones, The otolith increment ageing technique: application in larval fish, (lire en ligne)
  4. ↑ (en) Institute of Medicine, Board on Population Health and Public Health Practice et Research Roundtable on Environmental Health Sciences, Speaker Biographical Sketches, National Academies Press (US), (lire en ligne)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]



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