Projet:Les Mille Pages/Margaret T. Fuller
Formation | |
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Activités | |
Conjoint |
Matthew P. Scott (en) |
A travaillé pour |
École de médecine de l'université Stanford (en) ( - Université du Colorado à Boulder ( - Université Stanford |
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Chaire |
Reed-Hodgson Professorship in Human Biology (d) |
Membre de | |
Directeur de thèse |
Jonathan A. King (d) |
Site web | |
Distinctions |
Médaille de la Société américaine de génétique (en) () Membre de l'Académie américaine des arts et des sciences |
Margaret "Minx" T. Fuller est une biologiste du développement américaine connue pour ses recherches sur la lignée germinale masculine et pour avoir défini le rôle de l'environnement des cellules souches (les cellules pivots qui établissent la niche de cellules particulières) dans la spécification du destin et de la différenciation des cellules[1],[2].
Margaret Fuller est professeure de biologie humaine Reed-Hodgson à l'université de Stanford et ancienne présidente du département de biologie du développement de Stanford.
Biographie[modifier | modifier le code]
Margaret Fuller obtient un B.A. en physique de l'université Brandeis en 1974, et un doctorat en microbiologie du MIT en 1980, en travaillant avec Jonathan King. Elle effectue son travail postdoctoral en génétique du développement à l'université de l'Indiana, en travaillant avec Elizabeth Raff et Thomas Kaufman, de 1980 à 1983[3], Fuller rejoint la faculté de l'université du Colorado, puis l'université de Stanford en 1990[4], où elle commence à travailler sur la spermatogenèse, en faisant une analyse génétique de la structure et de la fonction des microtubules. 1]
Margaret Fuller est mariée à son collègue biologiste Matthew P. Scott[5].
Articles clés[modifier | modifier le code]
- Raff, E.C. et M. T. Margaret Fuller, et al., "Regulation of tubulin gene expression during embryogenesis in Drosophila melanogaster", Cell v.28, pp. 33-40 (1982).
- Margaret Fuller, M.T. et al, "Genetic Analysis of Microtubule Structure : A b-tubulin Mutation Causes the Formation of Aberrant Microtubule in vivo and in vitro", Journal of Cell Biology, v.104, pp. 385-394 (1987).
- Margaret Fuller, M.T. et P.G. Wilson, "Force and Counter Force in the Mitotic Spindle", Cell, v.71, pp. 547-550 (1992).
- Margaret Fuller, M.T., "Riding the Polar Winds : Chromosomes Motor Down East", Cell, v.81, pp. 5-8 (1995).
- Hales, K.G., M.T. Margaret Fuller, "Developmentally Regulated Mitochondrial Fusion Mediated by a Conserved, Novel, Predicted GTPase", Cell (1997).
- G. J. Hermann, J.W. Thatcher, J.P. Mills, K.G. Hales, M.T. Margaret Fuller, "Mitochondrial Fusion in Yeast Requires the Transmembrane GTPase Fzo1p", Journal of Cell Biology (1998).
- Kiger, A., H. White-Cooper, et M.T. Margaret Fuller, "Somatic support cells restrict germ line stem cell self-renewal and promote differentiation", Nature v.407, pp. 750-754 (2000).
Publications supplémentaires[modifier | modifier le code]
Margaret T. Fuller et Allan C. Spradling, Revue, "Male and Female Drosophila Germline Stem Cells : Two Versions of Immortality", Science, v.316, n.5823, pp. 402-404 (20 avril 2007).
Récompenses[modifier | modifier le code]
- 1980 - Boursier Jane Coffin Childs
- 1985-86 - Boursier Searle
- 2004 - Professeur Reed-Hodgson, Biologie humaine, université de Stanford[4]
- 2006 - Membre élu, Académie américaine des arts et des sciences
- 2008 - Membre élu, Académie nationale des sciences[6]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Margaret T. Fuller » (voir la liste des auteurs).
- (en) « Speaker Profiles: Margaret T. Fuller », sur CDB Symposium 2007
- (en) « Profile: Margaret T. Fuller (1985) » [archive du ], sur Searle Scholars
- (en) « Community Academic Profiles - Faculty & Researchers », sur Stanford Medicine
- (en) « Fuller, Hanley named to endowed professorships », sur Stanford University,
- (en) Ingfei Chen, « A Wild-Angle View » [archive du ], HHMI Bulletin, (consulté le )
- « Five scholars elected to the National Academy of Sciences », sur Stanford University,
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]