Projet:Lycée Paul-Émile-Victor

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Description du projet[modifier | modifier le code]

Sont concernés :

  • Les élèves de 1BPMIEN (2d Bac Pro Maintenance Industrielle Environnement Nucléaire)
  • Un professeur de Mathématiques – Sciences
  • Un professeur documentaliste (responsable du projet)

Ce projet s'étalera sur 5 séances d'une heure, du 23 février 2010 au 23 mars 2010.

Les sujets choisis traitent de la prévention des risques dans le domaine de l'électricité et du nucléaire.

CITER VOS SOURCES !![modifier | modifier le code]

Rappel : il faut impérativement que vous citiez vos sources !

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Pour citer vos sources, utilisez la formule suivante :

<ref> Auteur. Titre. Éditeur, date d'édition. Numéros des pages utilisées.</ref>

LISTE DES SUJETS[modifier | modifier le code]

Article d'origine : la protection électrique[modifier | modifier le code]

Les risques[modifier | modifier le code]

Les types d'accidents d'origine électrique[modifier | modifier le code]

Lucas : Contacts directs, indirects, incendies

Contact direct :

« Un contact direct est un contact de personne avec une partie active d'un circuit électrique. »


Les risques :

Exemples et Risques

  • Les mauvaises connexions d'alimentation de l'outillage électrique portatif comportent des risques qui entrainent des électrocutions, risques de détérioration du matériel
  • Les installations en mauvais états mènent à une électrocution ou même à la mort à cause d'un isolant détérioré
  • Le travail sous tension est dû à la différence de potentiel phase/terre, la personne s'écroule foudroyé


Contact indirect :

« Contact indirect c'est un contact de personne avec une masse mise sous tension pour suite d'un défaut d'isolent »


Les risques :

Exemples et Risques

  • Ouvrier entrain de percer des ferrures fixées aux bâtis métalliques de l'ateliers en utilisant une perceuse électrique alimentée en 220 V entre neutre et phase, Il s'écroule et meurt
  • Un électricien qui ne croit pas déranger un ouvrier en train de remplacer des gaines matériel électrique veut remplacer des ampoules par d'autres de plus fortes puissance.

En douchant la douille, il tombe au sol sans connaissance et ne pourra pas être ranimé

Brûlure, incendie ou explosion d'origine électrique :

Exemples et Risques

  • Un électricien enlève, dans un coffret de dérivation situé sur une gaine, un coupe-circuit à fusible de 200 A, en charge, sans avoir arrêté la machine correspondante.

Un arc se produit et l'ouvrier est gravement brûlé aux mains et au visage.

  • Dans une fabrique de peinture, lors du transvasement d'un solvant de nettoyage dans un broyeur à boules, une violente explosion se produit : l'ouvrier qui procède à cette opération est fortement commotionné et gravement brûlé[1]
Les facteurs de risques[modifier | modifier le code]

Le risque d'accident électrique est d'autant plus grave que plusieurs facteurs qui sont réunis.

Les facteurs de risques biologiques[modifier | modifier le code]
Les facteurs Humains[modifier | modifier le code]
  • Un mode opératoire inapproprié ou dangereux.
  • la méconnaissance des risques.
  • L’application incomplète des procédures.
  • une formation insuffisante.
  • le manque de préparation ou d'organisation de l'activité[3].
Les facteurs matériels[modifier | modifier le code]
  • Lorsque des poussières ou du liquides rentrent dans un câble ou dans un outil, cela peut endommager le matériel.
  • lorsqu'il y a usure ou frottement, un câble peut être détérioré[4].
Les dommages corporels causes par des accidents d'origine électrique[modifier | modifier le code]

L'électrisation peut causer plusieurs dommage corporel différent tel que[5] :

Brûlure[modifier | modifier le code]

Les brûlures qui peuvent être causés par un contact pendant quelques minutes avec un courant alternatif de très faible intensité (quelques dizaines de milliampères)

Asphyxie[modifier | modifier le code]

Les asphyxies qui peuvent être causés par une intensité d'un courant. 25 à 30 milliampères suffisent a bloquer la respiration par paralysie du diaphragme et des muscles respiratoires

Syncope[modifier | modifier le code]

Les syncope qui peuvent être causés au delà de 50 mA si le cœur reçoit une décharge électrique. Même très brève, ses cellules musculaires vont être excitées de façon désordonnés et ne pourront plus se contracter efficacement pour pomper le sang dans les artères.

La gravité d'une électrisation dépend de plusieurs facteurs parmi lesquels on peut citer[6] :

Un vieux panneau danger de mort
Danger électrique
  • L'intensité du courant (danger à partir de 5 mA)
  • La durée du passage du courant
  • La surface de la zone de contact
  • La trajectoire du courant
  • L'état de la peau (séche, humide, mouillée)
  • La nature du sol
Statistique des accidents du travail d'origine électrique[modifier | modifier le code]

Boubtana :

les chiffres[modifier | modifier le code]

En 2004 il y'a eu 22 décés

La prévention des risques[modifier | modifier le code]

Mesures de sécurité des installations électriques[modifier | modifier le code]

Joey : Sécurité contre les contacts directs, contre les contacts indirects, contre la surintensité

Il existe différents moyens pour qu'une installation électrique soit sécurisée de façon à ce que l'installation soit protégée mais surtout à se protéger soi même.

Se Protéger soi même[7][modifier | modifier le code]

Pour le technicien qui est amené à travaillé sur une [installation électrique] :

  • Le port des gants de sécurité
  • L'utilisation d'outils comportant des matières isolantes tels que des poignées en plastique.

Il existe différents appareils qui doivent êtres sur une installation électrique :

  • [disjoncteur différentiel 30 mA], en résumé c'est un appareil électrique qui coupe le courant lorsqu'il repère une différence entre les intensités des courants dans les deux fils([phase] et [neutre]).
  • [Prise de terre]

Malheureusement cela ne protège pas d'un contact direct. Pour cela il existe d'autres moyens tels que les prises à éclipses.

Protection des appareils[modifier | modifier le code]

Pour protéger un appareil électrique d'un dysfonctionnement on peut y installer des [fusibles] ou des [disjoncteurs divisionnaires] qui sont plus pratique que des [fusibles.]

Mesure de sécurité pour le matériel électrique[modifier | modifier le code]

Bouaroua : Classes de matériels, précaution d'usage

Classe 0[modifier | modifier le code]

Isolation principale : Utilisation interdite au travail.Il n'y a aucun symbole. Un interrupteur en métal fait partit de la classe 0.

Classe 1[modifier | modifier le code]

Isolation principale : Les masses sont reliées entre elles et la terre. Un semi - fixe fait partie de la Classe 1.

Classe 2[modifier | modifier le code]

Isolation principale : Les masses sont non-reliées entre elles et la terre. Un mixeur fait partie de la classe 2.

Classe 3[modifier | modifier le code]

Isolation principale : L'alimentation a une très faible tension et sécurisée. Il n'y a aucun symbole.Une sonnerie d'école fait partie de la classe 3.

Article d'origine : sûreté nucléaire[modifier | modifier le code]

Sûreté des installations nucléaires[modifier | modifier le code]

Sûreté des réacteurs[modifier | modifier le code]

Robin : les trois principes de suretés

L'industrie nucléaire manipule en grande quantité des produits radioactifs potentiellement dangereux. Pour cela les chercheurs on imaginé un système qui consiste a interposé entre les produits radioactifs et l'environnement une série de trois barrières physiques résistantes et étanches[8].

Le premier consiste à maîtriser en toute circonstances la réaction en chaîne avec des barres de contrôle et pouvoir la stopper à tous instants.

Barres de contrôle

Le deuxième sert à évacuer la chaleur à l'aide de circuit de refroidissement engendrée dans le cœur du réacteur par les réacteurs nucléaires.

Le troisième consiste à empêcher la dissémination à l'aide d'une enceinte de confinement vers l'extérieur de produits radioactifs[9].

L'objectif de base est bien entendu de maintenir l'intégrité de ces différentes barrières sachant qu'une seule suffit à assurer le confinement de la radioactivité[10].

La défense en profondeur[modifier | modifier le code]

Tony : les 5 niveaux


====== 1er niveau ======[11]

il porte sur la prévention des anomalies de fonctionnement et des défaillances des systèmes. Les lignes de défense (conception sûre, bonne qualité de réalisation, exploitation rigoureuse) assurent un fonctionnement normal.

2e niveau[modifier | modifier le code]

Moyens de surveillance pour détecter toute anomalie, et systèmes de protection redondants pour amener le système dans un état sûr.

3e niveau[modifier | modifier le code]

Si les premiers niveau sont franchis, un ensemble des système de sauvegarde, redondants, pour assurer la tenue d'au moins une barrière.

4e niveau[modifier | modifier le code]

Il vise à prendre en compte les défaillances multiples pouvant conduire, malgré les dispositions prises au titre des 3 premiers niveaux, à une fusion du cœur.

5e niveau[modifier | modifier le code]

Il englobe les mesures prises pour limiter les conséquences radiologiques pour l'environnement et la population en cas de rejet important[12].

La protection contre les attaques extérieurs[modifier | modifier le code]
Centrale nucléaire de Gundremmingen

[13]

Ergin : risques naturels, risques industriels, risques humains

Le risque des séismes[modifier | modifier le code]

Une étude poussée de la sismicité des différentes zones tectoniques françaises a été faite et a conduit à la réalisation d'une carte sismotectonique détaillée de la France. Une étude historique des données a d'autre part été effectuée, complétée actuellement par un suivi d'enregistrements de capteurs répartis sur tout le territoire. La construction du réacteur devra donc être réalisé de façon à résister aux séismes majorés de sécurité.

Le risque contre les chutes d'avions[modifier | modifier le code]

Les deux tiers des accidents se produisent soit au décollage, soit à l'atterrissage. Une disposition de la sûreté consiste donc à ne pas implanter de centrale électronucléaire près d'un aérodrome et tout particulièrement sous les couloirs d'approche ou de décollage.

Le risque des inondations[modifier | modifier le code]

Les inondations qui pourraient en particulier noyer les installations extérieures d'alimentation électrique de la centrale, donc entraîner l'arrêt des pompes primaires de refroidissement du cœur du réacteur. La protection est assurée simplement en construisant toutes ces installations à des pôtes supérieurs au niveau de la cru milléniale pour les réacteurs implantés au bord d'un fleuve ou d'une rivière.

Le risque de la neige et du vent[modifier | modifier le code]

Les règles de constructions « neige et vent » majorées, doivent être appliquées dans la réalisation de tous les bâtiments contenant des matériels dont l'endommagement pourrait réduire la sûreté de fonctionnement du réacteur car les hivers de 1981, 1986 et 1987 il y a eu des incidents (baisse du débit disponible pour le refroidissement par suite de glace qui bouchait les prises d'eau, gel de canalisations alimentant en eau des systèmes de secours, ...)

Article d'origine : irradiation[modifier | modifier le code]

Les sources de l'irradiation[modifier | modifier le code]

===== Les sources naturelles de l'irradiation =====[14]

Kevin : rayonnement cosmique, croûte terrestre, radioéléments inhalés et/ou ingérés

Les rayonnement cosmiques[modifier | modifier le code]

Les rayonnement cosmiques provient de l'espace extra terrestre où certains corps célestes sont des sources très puissantes de rayonnement, qui pénètre dans l'atmosphère terrestre. Il interagit avec les atomes de l'air et tout en étant progressivement atténué par les couches de plus en plus denses de l'atmosphère, provoque par ces interactions des réactions nucléaires complexes qui donnent lieu à un rayonnement secondaire arrivant jusqu'au niveau du sol ainsi qu'à la création dans l'atmosphère de radioéléments, principalement du tritium, du carbone 14, du béryllium 7 et du sodium 22.

Les rayonnements telluriques[modifier | modifier le code]

Lors de la création de l'Univers, un grand nombre d'éléments radioactifs ont été crées, à la suite du big-bang. Ceux qui avaient des périodes suffisamment longues (plusieurs milliards d'années) ont été incorporés dans les éléments constituant le globe terrestre lors de sa création et ont pu subsister jusqu'à nos jours. Actuellement, on trouve donc principalement dans l'écorce terrestre, les radioéléments primordiaux suivants :

  • uranium 235 (en faible quantité puisque sa période de 704 millions d'années l'a fait très fortement décroître jusqu'à nos jours ;
  • uranium 238 (période 4.47 milliards d'années) ;
  • thorium 232 (période 14.1 milliards d'années) ;
  • potassium 40 (40K, période 1.3 milliard d'années) ;
Le radon et ses descendants[modifier | modifier le code]
le radon

L'uranium est présents naturellement un peu partout, en se désintégrant il forme du radon qui s'accumule et crée des source d'irradiation gazeux.

les autres radioéléments

Le principal autre radioélément est le potassium 40 présents dans l'herbe donc dans le lait et la viande.

Les sources artificielles[modifier | modifier le code]

Anthony : Il existe 3 type de sources artificielles : l'irradiation médicale, l'irradiation d'origine l'industrielle, et la domestique.

Sources artificielles médicales :

Les sources artificielles d'origine médicales sont multiples ; ils concernent les diagnostiques soit les thérapeuties.

Pour les diagnostics :

  • rayons X
  • scanners

Pour les thérapeuties :

  • radiographies
  • médecine nucléaire

Sources artificielles militaire :

Les sources artificielles d'origine militaire concernent principalement les bombes du même nom, provenant des essais nucléaires. Lors de leurs explosions elles entrainent avec eux la dispersion d'une importante quantité de radioéléments.

Sources artificielles dut aux producteurs d'élecricité :

Les sources artificielles dues aux producteurs d'électricité concernent dans une majorité écrasante l'industrie nucléaire et tout particulièrement, les centrales électonucléaires. Ce sont elles qui y contribuent principalement a cause de leurs déchets.

Protection contre l'irradiation[modifier | modifier le code]

[15],[16]


les écrans[modifier | modifier le code]
Centrale Nucléaire

Sébastien : les écrans

Comment ce protéger des rayon Alpha ?[modifier | modifier le code]

Ce sont des écrans très minces d'un matériaux quelconque (Exemple : mica, aluminium, cuivre, argent etc.). L'épaisseur des détecteurs à rayonnement Alpha varie de 3 micromètres à 10 micromètres qui sont extrêmement fragiles qui sont en micas, mylar ou acier inoxydable.


Comment ce prtéger des rayon Bêta ?[modifier | modifier le code]

Il sont moyennement pénétrants on peut sans protéger avec un matériaux à faible poids atomique (Exemple : plexiglas, plastiques). Afin d'eviter la production d'un rayonnement de freinage.

Comment ce protéger des rayon X et rayon gamma ?[modifier | modifier le code]

Ce sont des écrans dont les caractéristiques dépendent du rayonnement et de l'activité de la source. On utilise des numéro atomique élevé.


Ecran contre les neutrons[modifier | modifier le code]

On utilise des écrans de Z faible (eau, béton, paraffine) / Écrans de bore ou de cadium.

le temps, la distance[modifier | modifier le code]

La distance :

Plus l'on s'éloigne de la source d'émission, moins l'exposition est importante, c'est la loi de Radioprotection en :

autrement dit, l'intensité d'irradiation à deux mètres de la source ponctuelle sera quatre fois plus faible qu'à un mètre.

Le temps = Il peut intervenir de 2 manières :

  • en diminuant la durée d'exposions avec une bonne préparation du travaille et de multiples répétitions à blanc
  • en jouant sur la période radioactive.

Article d'origine : contamination radioactive[modifier | modifier le code]

Les risques de la contamination radioactive[modifier | modifier le code]

La contamination de l'environnement[modifier | modifier le code]

Nicolas : l'atmosphère, les sols et les eaux, la chaîne alimentaire

La contamination de l'atmosphère[modifier | modifier le code]

Se produit grâce a plusieurs facteur il y a l'eau, l'air et les conditions météorologiques. Les particules les plus lourdes retombent aux environs immédiats du point d'émission et contamine le sol. Les aérosols ou le gaz de de faible densité ont tendance à se disperser donc se diluer dans l'air ambiant.


II/ La contamination des sols et des eaux[modifier | modifier le code]

La contamination de l'eaux et du sols se fait dans le sol en fonction de multiples facteurs, tels que la géologie du lieu la prospérité et la perméabilité des roches et aussi les reseaux hydrologiques (courants, débits ...)


III/ La contamination de la chaînes alimentaire[modifier | modifier le code]

La contamination des chaînes alimentaire se font suite a la contamination de l'eaux et du sols car les animaux boivent l'eau des rivières ... et les bétail mange l'herbe et les animaux se nourrissent les uns des autres, les planctons se contamine comme l'eau est contaminer. comme l'homme se nourri avec de la viande du poisson du laitage sa donne une contamination de la chaîne alimentaire.

La contamination des lieux de travail[modifier | modifier le code]
La contamination[modifier | modifier le code]

La contamination, pour une brève explication, est la présence d’éléments radioactifs en excès sur l'outillage ou les surfaces en question.


Le danger de la contamination[modifier | modifier le code]

La contamination est dangereuse, sur les poussières ou détachée des surfaces, elles peuvent contaminer nos corps. La radioactivité détruit certaines cellules du corps, même si un léger contact peut paraître infime, la régénération des cellules peut provoquer tumeurs ou malformations des fœtus, en privilégiant la zone de la tyroïde.


La décontamination des outils et des surfaces[modifier | modifier le code]

La décontamination des outils et des surfaces doit s'effectuer grâce à des méthodes et des produits ou matériaux adaptés, étant diversement efficaces selon leurs usages. Le choix de ces méthodes et produits n'est pas à prendre à la légère du fait de la nature de ces produits.


Les technique de décontamination[modifier | modifier le code]

Les techniques de décontamination sont relativement diverses :

  • une aspiration des solides et des liquides.
  • un lavage aux détergents.
  • un bain de trempage.
  • un jet de vapeur.
  • une pulvérisation.
  • une dilution isotopique.
  • divers effets mécaniques (brossage, polissage, abrasion, projection de cristaux de glace.).
  • étalement puis raclage de produits pâteux.


Les produits décontaminant[modifier | modifier le code]

Les décontaminants sont des mélanges complexes de produits servant à supprimer les dangers potentiels de contamination d'une surface. Ils sont :

  • des acides forts
  • des bases fortes
  • des hydrocarbures
  • le chrome
  • des agents tensio-actifs


Petit détail important[modifier | modifier le code]

La décontamination des outils et des surfaces n'est pas obligatoire. Lorsque le prix de la décontamination est supérieur aux prix de l'outillage et des traitements, il est préféré par les gestionnaires de considérer comme déchet les outils contaminés.

Pour les structures ou autre élément peu pratique à transporter, qui provoquerais l’arrêt de la central par exemple, il est préférable d'utiliser des décontaminants adaptés à la situation. Dans certains cas, un prélèvement est nécessaire pour évaluer les bonnes réactions.

La surveillance de la contamination en France[modifier | modifier le code]

[17] Anthony : La contamination radioactive de l’environnement en France fait l’objet d’une surveillance.

les acteurs[modifier | modifier le code]

les acteurs de la surveillance de la contamination en France sont :

  • le gouvernement français.
  • IRSN qui assure une surveillance de la radioactivité de l’environnement.
  • il y a aussi des organisme tel que la DSND et ASN:autorité de sûreté nucléaire.

DSND:les Délégué à la Sûreté Nucléaire et à la radioprotection pour les activités et installations intéressant la Défense

objectifs[modifier | modifier le code]

L'objectif de ces organismes est de surveiller les zones de radioactivité des sites nucléaires tel que : la zone autour d'une centrale nucléaire mais aussi dans les zones dite civile. ces surveillance on pour bute de dépisté des fuites de matière dans l'environnement et aussi de contrôlé la présence de radiation dans l'environnement en générale.

les méthodes[modifier | modifier le code]

Les méthodes utilisées sont :

  • le prélèvement d'échantillons dans des sites nucléaire mais aussi dans des territoires non soumis a l'influence directe des installations nucléaire.
  • les prélèvements effectuer sont de nature biologique : herbe, salade, eau, ces échantillons seront comparé au normes.
  • les actions de irsn Étude environnementales en zone atelier, expertise et suivis radiologiques autours des sites nucléaires.
  • irsn possède plusieurs stations d'observation autour des sites nucléaires.
Protection contre la contamination[modifier | modifier le code]
Les tenues de travail adapter[modifier | modifier le code]

-La tenue de base :

La tenue de base est la tenue de travail obligatoire qui remplace en zone contrôlée les vêtements de ville. elle est composée d'un tee-shirt, chaussettes, combinaison, charlotte, casque, chaussures de sécurité et d'une paire de gants en coton.

-Les tenues Complémentaire : (tenue de base + tenue tissée + appareil filtrant + cagoule + gants + surbottes).

En phase humide :

Tenue de base, tenue complémentaire complète, gants, surbottes (ou sur chaussures), veste, vinyle, pantalon vinyle.

La tenue étanche ventilée :

Tenue de base, tenue complémentaire, gants, vinyles, surbottes, tenue étanche ventilées + adduction d'air.

L'habillage et le déshabillage[modifier | modifier le code]

L'habillage :(exemple pour la tenue complémentaire)

Les étapes de l'habillage à partir de l'arrivée dans le sas d'habillage :

  • enfiler la première paire de surbottes.
  • préparer 6 bandes de scotch de 30 à 40 cm.
  • mettre la première paire de gants + scotch.
  • enfiler la tenue complémentaire et mettre la deuxième paire de gants sur la tenue et la deuxième paire de surbottes.
  • Mettre en place l'appareil filtrant (tester l'étanchéité et vérifier qu'aucun cheveux se trouve sous le caoutchouc).
  • enfiler le calot en dégagent la visière.
  • et éventuellement mettre encore une paire de gants et une paire de surbottes.

Le déshabillage :

Les étapes du déshabillage :

  • Changer de gants de travail.
  • Enlever sa paire de surbottes en quittant le plan de travail et en rentrant dans le sas de sortie.
  • Enlever une paire de gants.
  • enlever le calot (et la cagoule).
  • Retirer la tenue complémentaire.
  • Retirer une paire de surbottes en passant à l'extérieur.
  • retirer la dernière paire de gants.
  • contrôle de non contamination des mains.
  • contrôle de l'appareil filtrant et de certaines zones (semelles, chaussures, genoux, coudes...).
  • retrait du masque[18].
La surveillance de la contamination en France[modifier | modifier le code]

Anthony : La contamination radioactive de l’environnement en France fait l’objet d’une surveillance.

les acteurs[modifier | modifier le code]

Les acteurs de la surveillance de la contamination en France sont :

  • le gouvernement français.
  • IRSN qui assure une surveillance de la radioactivité de l’environnement.
  • il y a aussi des organisme tel que la DSND et ASN:autorité de sûreté nucléaire.

DSND:les Délégué à la Sûreté Nucléaire et à la radioprotection pour les activités et installations intéressant la Défense

objectifs[modifier | modifier le code]

L'objectif de ces organismes est de surveillé les zones de radio activité des sites nucléaires tel que : la zone autour d'une centrale nucléaire mais aussi dans les zones dite civile. ces surveillance on pour bute de dépisté des fuites de matière dans l'environnement et aussi de contrôlé la présence de radiation dans l'environnement en générale.

les méthodes[modifier | modifier le code]

Les méthodes utilisée sont :

  • le prélèvement d'échantillons dans des sites nucléaire mais aussi dans des territoires non soumis a l'influence directe des installations nucléaire.
  • les prélèvements effectuer sont de nature biologique : herbe, salade, eau, ces échantillons seront comparé au normes.
  • les actions de irsn Étude environnementales en zone atelier, expertise et suivis radiologiques autours des sites nucléaires.
  • irsn possède plusieurs stations d'observation autour des sites nucléaires.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. INRS. « Accidents d'origine électrique ».INRS,1998
  2. ANSELMEB,ALBASINI F. « Les risques professionnels ». Nathan, 2006.
  3. « Moins d'accident mais toujours du danger ». Travail & Sécurité juin 2006 n°663 p.36-37.
  4. INRS.« Termes principaux de l'électrotechnique traditionnelle relatifs a la sécurité ». Inrs, 1994.
  5. Les risques professionnels. Nathan 2006
  6. Introduction au risque électrique
  7. Natalie Granjoux, Sciences Physiques (seconde professionnelle), édition Delagrave,
  8. Barre Bertrand,Banquis Pierre-René/Comprendre l'avenir : L'énergie nucléaire/Hirlé/2007
  9. Morvan Pierre « Nucléaire,les chemins de l'uranium » Ellipses 2004
  10. Barre Bertrand,Banquis Pierre-René/Comprendre l'avenir : L'énergie nucléaire/Hirlé/2007
  11. BARRE Bertrand, BAUQUIS Pierre-René. « Comprendre l'avenir : l'énergie nucléaire ». Hirlé 2007
  12. MORVAN Pierre. « Nucléaire, les chemins de l'uranium ». Ellipses, 2004.
  13. De CHOUDENS Henri. « Le risque nucléaire ». Technique et documentation, 2001.
  14. manuel pratique de radioprotection, Gambini D.J., Granier R. 1997 technique et documentation.
  15. CHOUDENS Henri / Le risque nucléaire / 2001
  16. GAMBINI D.J / GRANIER R. / Manuel de radioprotection / 1997
  17. http://www.irsn.fr/fr/base
  18. Personne Compétente en Radioprotection, Radioprotection pratique pour les INB et ICPE, Alain Pin, 2008.